Actualité de Radio Libertaire

par EMISSION FEMMES LIBRES • le 30 juin 2025
Arts et Spectacles

par Evelyne Trân • le 30 juin 2025
Le Brigadier y los recuerdos de su abuela
Ma grand-mère disait
Une adaptation théâtrale des textes de Serge Pey par Eva Castro ...
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Histoire

Histoire

par Francis PIAN • le 28 juin 2025
> Histoire
Littérature

par Patrick Schindler • le 27 juin 2025
Juillet, rat noir, qu’est-ce que tu lis pour les vacances ?
Pour commencer ce petit voyage estival de juillet ...
Arts et Spectacles

par Evelyne Trân • le 23 juin 2025
Le brigadier de la cité
PAROLES DE FEMMES EN PIED D’IMMEUBLE ...
Histoire

par Jean-Marc Raynaud • le 22 juin 2025
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Actualité de Radio Libertaire

par Emission Un classique, s’il vous plaît ! • le 22 juin 2025
Actualité de Radio Libertaire

par Emission Au fil des pages • le 22 juin 2025
Brèves de combat
2020...dédain !
le 2 janvier 2020 | PAR Lune
Pour ses vœux dédaigneux à la populace, Macron réclame un compromis rapide.
Euh, oui...mais non, un compromis ça va pas être possible.
Par contre un CON-promis , ça peut le faire.
A lui de comprendre qui va tenir le rôle !
Euh, oui...mais non, un compromis ça va pas être possible.
Par contre un CON-promis , ça peut le faire.
A lui de comprendre qui va tenir le rôle !
Retour de manif
le 30 décembre 2019 | PAR David
Carhaix ( centre Bretagne ) 150 à 200 personnes se sont réunies au niveau du champ de foire à l’appel de la CGT locale.
Le discours s’est centré autour du soutien aux grévistes à travers les caisses de grèves pour répondre à la tactique d’usure (et de dédain !) du gouvernement Macron.
La météo le permettant, la CGT a sorti la sono et a réussi à mettre un peu plus d’animation que d’habitude.
Présence du NPA , un peu de PC, Fo, Sud et quelques bonnets rouges , gilets jaunes.
A noter, l’infiltration de la manif par trois provocateurs du Parti Socialiste ( la CFDT n’a pas suivi ! )
Manque pas d’air ceux-là !
Le discours s’est centré autour du soutien aux grévistes à travers les caisses de grèves pour répondre à la tactique d’usure (et de dédain !) du gouvernement Macron.
La météo le permettant, la CGT a sorti la sono et a réussi à mettre un peu plus d’animation que d’habitude.
Présence du NPA , un peu de PC, Fo, Sud et quelques bonnets rouges , gilets jaunes.
A noter, l’infiltration de la manif par trois provocateurs du Parti Socialiste ( la CFDT n’a pas suivi ! )
Manque pas d’air ceux-là !
Marche à Nîmes
le 18 décembre 2019 | PAR Daniel
Retraites : au Chili aussi !
le 16 décembre 2019 | PAR Pat de Botul
Décidément les systèmes de retraites font sortir dans la rue.
Au chili, le système des fonds de pension privés, hérités de la dictature de Pinochet est vivement critiqué par le mouvement social qui a envahit les rues depuis huit semaines. Actuellement, les travailleurs chiliens doivent verser 10 % de leur salaire sur un compte géré par l’une des sept AFP (Administratrices de Fonds de Pension ». Ces entreprises privées, qui placent ces économies sur les marchés financiers – et en tirent généralement d’immenses bénéfices – reversent ensuite ces fonds aux retraités chiliens en calculant les mensualités sur la base d’une espérance de vie moyenne. Ce système de capitalisation individuelle, pionnier du genre, a été mis en place durant la dictature du général Augusto Pinochet, en 1981. Son auteur, l’économiste ultralibéral José Piñera – le frère de l’actuel président de droite Sebastian Piñera – le comparait, il y a encore trois ans, à « une Mercedes-Benz : une voiture de luxe, bien faite et sophistiquée ».
Pourtant, aujourd’hui, la moitié des retraités ayant cotisé au système AFP perçoivent moins de 134 000 pesos (157 euros) par mois, selon le Centre d’études du conflit et de la cohésion sociale (COES). « Il y a plusieurs raisons à cela. Les salaires sont bas, et les cotisations également. De plus, il n’y a aucun apport patronal. Le marché du travail est aussi particulièrement fragile, dans un pays où près de 30 % des emplois ne sont pas déclarés.
« Il est rare que les personnes conservent longtemps le même travail, et il n’existe pas de mécanisme de solidarité permettant d’offrir une compensation aux personnes ayant moins cotisé. »
Au chili, le système des fonds de pension privés, hérités de la dictature de Pinochet est vivement critiqué par le mouvement social qui a envahit les rues depuis huit semaines. Actuellement, les travailleurs chiliens doivent verser 10 % de leur salaire sur un compte géré par l’une des sept AFP (Administratrices de Fonds de Pension ». Ces entreprises privées, qui placent ces économies sur les marchés financiers – et en tirent généralement d’immenses bénéfices – reversent ensuite ces fonds aux retraités chiliens en calculant les mensualités sur la base d’une espérance de vie moyenne. Ce système de capitalisation individuelle, pionnier du genre, a été mis en place durant la dictature du général Augusto Pinochet, en 1981. Son auteur, l’économiste ultralibéral José Piñera – le frère de l’actuel président de droite Sebastian Piñera – le comparait, il y a encore trois ans, à « une Mercedes-Benz : une voiture de luxe, bien faite et sophistiquée ».
Pourtant, aujourd’hui, la moitié des retraités ayant cotisé au système AFP perçoivent moins de 134 000 pesos (157 euros) par mois, selon le Centre d’études du conflit et de la cohésion sociale (COES). « Il y a plusieurs raisons à cela. Les salaires sont bas, et les cotisations également. De plus, il n’y a aucun apport patronal. Le marché du travail est aussi particulièrement fragile, dans un pays où près de 30 % des emplois ne sont pas déclarés.
« Il est rare que les personnes conservent longtemps le même travail, et il n’existe pas de mécanisme de solidarité permettant d’offrir une compensation aux personnes ayant moins cotisé. »
Amazonie : Pour qui sonne le glas ?
le 15 décembre 2019 | PAR Pat de Botul
Que vont de venir les Cuivas et les autres derniers peuples de chasseurs-cueilleurs nomades d’Amazonie ?
Pour les onze premiers mois de l’année, qui coïncident avec le début du mandat du président Bolsonaro, la déforestation amazonienne au Brésil a atteint plus de 8 970 km², selon des données officielles obtenues par satellite du Prodes, un des systèmes utilisés par l’INPE pour mesurer la déforestation. De fait, la plus grande forêt tropicale du monde a perdu 10 100 km² en un an.
C’est près du double du total de janvier à novembre 2018 (4 878 km²). Soit une hausse de 43 % par rapport aux douze mois précédents
. Mais, ces données révèlent une progression encore plus alarmante : la déforestation dans les territoires indigènes a augmenté de 74,5 % !
D’vant les prisons de Nîmes
le 14 décembre 2019 | PAR Daniel
États-Unis / antisémitisme : Trump le roi de l’arnaque
le 12 décembre 2019 | PAR Pat de Botul
Donald Trump a signé, mercredi 11 décembre, un décret visant à lutter contre l’antisémitisme sur les campus américains.
Ce texte est sensé élargir la définition de l’antisémitisme utilisée par le ministère de l’éducation lorsqu’il fait appliquer loi sur les droits civiques de 1964. Il ordonne en particulier d’utiliser la définition de l’antisémitisme donnée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA).
Or, les défenseurs de la liberté d’expression redoutent qu’une définition trop large et trop vague de l’antisémitisme soit utilisée pour interdire tous les propos critiques envers la politique menée par le gouvernement israélien.
Selon Jeremy Ben-ami, président de l’organisation progressiste juive J-Street, le décret présidentiel "semble moins destiné à combattre l’antisémitisme qu’à limiter la liberté d’expression et sévir sur les campus contre les critiques visant Israël"...
Nimes: Polyclinique du Gd Sud en grève reconductible.
le 9 décembre 2019 | PAR Daniel
grève à Radio libertaire !
le 5 décembre 2019 | PAR Si vis pacem
Radio Libertaire : "L’émission de Si vis pacem ( animée par des militants de l’Union Pacifiste) a décidé de se mettre en grève et ne pas parler d’antimilitarisme. À partir de 16 H 30, les animateurs feront faire un suivi/retour sur la journée de mobilisation à Paris. L’idée est d’informer des choses pratiques et concrètes (lieux de rdv, manif, répression, temoignages directs, info des AG après manif, etc)".
Israël : décidément !
le 26 novembre 2019 | PAR Pat de Botul
Le directeur en Israël de l’organisation HRW (Human Right Watch), Omar Shakir, a été contraint de quitter le pays, lundi 25 novembre, après épuisement de ses recours en justice.
C’est la première fois que le représentant d’une structure internationale majeure de défense des droits humains se trouve ainsi expulsé du pays. , et ce précédent interroge sur le respect par la justice israélienne de ses propres fondements démocratiques. Le ministère de l’intérieur avait refusé, fin 2018, de renouveler le visa de travail de M. Shakir, citoyen irakien et américain, après près de deux ans d’exercice. Il l’accusait d’avoir soutenu la campagne BDS (boycott, désinvestissement, sanctions) contre Israël – ce que M. Shakir nie.
« Cela démontre le caractère de plus en plus restreint de la démocratie israélienne », a relevé Kenneth Roth, le directeur de HRW, déclarant « Qu’une telle expulsion place le pays dans un cercle étroit d’États répressifs ayant récemment interdit leur territoire à ses enquêteurs : l’Iran, l’Égypte et le Venezuela... »
C’est la première fois que le représentant d’une structure internationale majeure de défense des droits humains se trouve ainsi expulsé du pays. , et ce précédent interroge sur le respect par la justice israélienne de ses propres fondements démocratiques. Le ministère de l’intérieur avait refusé, fin 2018, de renouveler le visa de travail de M. Shakir, citoyen irakien et américain, après près de deux ans d’exercice. Il l’accusait d’avoir soutenu la campagne BDS (boycott, désinvestissement, sanctions) contre Israël – ce que M. Shakir nie.
« Cela démontre le caractère de plus en plus restreint de la démocratie israélienne », a relevé Kenneth Roth, le directeur de HRW, déclarant « Qu’une telle expulsion place le pays dans un cercle étroit d’États répressifs ayant récemment interdit leur territoire à ses enquêteurs : l’Iran, l’Égypte et le Venezuela... »