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Chroniques du temps réel
par Pierre Sommermeyer • le 11 mai 2020
Bris-collages, vers la sortie
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Quelques petits retours sur une drôle de période
La Française des jeux est au pouvoir ! Un grand pari national a été lancé ! Depuis lundi tout est permis ! Si, si ! il y a donc deux France, une rouge et une verte. Il est tout à fait difficile de chercher les différences de comportement à suivre selon que l’on soit d’une couleur ou d’une autre. Tout le monde est d’accord pour estimer que les capacités de la comm de travestir la réalité sont immenses. Des écoles existent, des agences existent, des spécialistes courent les couloirs des pouvoirs. Et pourtant avoir choisi le vert pour indiquer les régions où le virus est moins à l’œuvre est d’une bêtise monumentale. Quand au feu on trépigne d’impatience devant le feu rouge, on sait que le vert va nous libérer. Si d’aventure le feu passe à l’orange clignotant, nous faisons alors attention.
Il aura suffi que deux foyers d’infection apparaissent en nouvelle Aquitaine pour que naissent de nouvelles inquiétudes. Deux endroits très particuliers. Deux clusters, comme on dit pour faire in, qui ne peuvent que se renouveler dans les jours qui suivent. Un enterrement et il va y en avoir, un grand nombre et une rentrée d’école et on est en plein dedans.
Pour le premier des cas, la famille proteste, disant qu’elle a respecté toutes les consignes de sécurité à la lettre. Qui a donné ces consignes à suivre ? Le gouvernement sous toutes ses formes. Elles ne sont pas efficaces, c’est la faute à Macron ! Le contrat qui lie les citoyens aux pouvoirs n’est valable. La sécurité en échange de l’obéissance. Eh bien avec le virus cela ne marche pas !
Le capitalisme numérique. Si nous avons pu tenir, contenir notre inquiétude, continuer à nous écrire, à nous parler, à nous voir c’et bien grâce à lui. Il a envahi nos vies. Il était déjà là. Caché derrière d’autres formes de pouvoirs il est passé devant. Il est présent dans tout ce qui relève de la médecine, des soins en tout genre et des statistiques desquelles nous sommes devenus dépendant.
Il est présent plus qu’il n’a jamais été dans tout ce qui relève de l’éducation nationale en ligne. Peu ou prou, toute une génération d’enseignants et de d’élèves du primaire comme du secondaire se sont trouvé plongés du jour au lendemain dans des processus éducatifs qu’ils ne maitrisaient ni les uns ni les autres. Il leur a fallu faire une apprentissage qui pour certains a été douloureux.
Il est présent à travers le télétravail. Cette idée, à l’origine, avait un petit côté écolo, travailler aux champs, loin de la ville. Façon de faire réservée à quelques élus, des gens un peu en marge, traducteurs, concepteurs, graphistes, webdesigner, etc. Les entreprises ne prisaient pas trop cette façon de faire, d’une certaine façon leurs employés leur échappaient physiquement. Avec ce qui vient de se passer, ces deux mois de rodage, il apparait qu’il peut y avoir de grands avantages à ce type de travail, dont l’isolement social n’est pas le moindre. Syndiquer online va se révéler encore plus difficile, ou peut être pas, mais les actions collectives ne seront plus possibles sans franchir des lignes rouges. Par ailleurs, il semblerait que dans le petit monde des développeurs le temps de travail ait augmenté pendant cette période de confinement. Les dépassements de 30 à 60 minutes par jour seraient fréquents avec des débordements sur les week-ends. Tout profit pour qui vous savez. Cela explique la campagne des pouvoirs à continuer autant que cela est possible le travail à la maison. Retour au XIXème siècle ?
Il est présent à travers toutes les vidéos qui nous ont tant fait rire pendant ces mois d’isolement. Il en est de même de toutes ces plates formes de diffusion de films qui ont squattées notre quotidien. OCS, Netflix, Amazon Prime et bien d’autres se sont créées une base d’addicts qu’il sera difficile de décrocher.
Il est présent sous sa forme financière, les cartes de crédit devenant, sans contact, de véritables substituts à l’argent liquide à travers le passage de 2à 50 euros maximum de transfert lors d’un achat. Ce qui va diminuer d’autant les passages aux distributeurs de monnaie, donc augmenter la rentabilité de l’argent numérique et en diminuer par là même le coût.
Pour le capital numérique, ce confinement total ou partiel selon les pays a été l’occasion de tester à moindre frais ses capacités d’extension dans tous les domaines. C’est un succès !
Le virus et ses effets On a entendu partout les parallèles faits entre le nombre de morts de telle ou telle épidémie et celles relevant du covid-19. Hormis le fait de considérer la nature morbide de ce type de comptabilité, qui eut lieu dans tous les milieux, il y eut peu d’analyses qui aient expliqué le mécanisme qui a conduit, avec si peu de morts, à l’arrêt de l’économie mondiale.
Pendant les deux guerres mondiales comme pendant les guerres coloniales l’économie ne s’est jamais arrêtée, tout au plus reconvertie dans une industrie militaire. Cette fois le covid-19 a eu pour effet de faire entrevoir un monde où la pollution sous ses différentes formes avait presque disparue. Et alors nombre de gens se sont extasiés devant le retour du ciel bleu, le chant retrouvé des oiseaux, les animaux déambulant dans les villes etc. Tout cet émerveillement n’a duré qu’un petit mois. Depuis l’annonce d’un retour à l’état normal, c’est-à-dire au travail cette prise de conscience semble avoir déserté les individus.
Coûte que coûte Ce qui a précédé ou suivi cette déclaration l’a rendu immortelle. Les sommes d’argent, les milliers de milliards déversés partout sur toutes les entreprises qui en avait besoin mais aussi sous formes directe ou pas de salaires plus ou moins universels illustre bien la panique qui a emporté les décideurs de tout poils. Le sempiternel refrain « Il n’y pas d’agent » ne tient plus. Il y en a, pléthore, mais pas forcément où il faudrait. Il va falloir dans les milieux de gauches mais aussi parmi nous affronter les problèmes qui en découlent. Cela ne sera pas triste.
YAKAFOKON Voici ce sur quoi s’ouvre cette nouvelle période. Nombre de textes, de pétitions, de déclarations ont utilisé ce mot valise. Le pompon revient à Mossieur Piketty qui dans la même tribune du journal Le Monde déclare :
- Il faut d’abord mettre à profit cet arrêt économique forcé pour redémarrer autrement.
- Il faut le faire en investissant dans de nouveaux secteur
- il faut créer des millions d’emplois et augmenter les salaires
- Que faire ? D’abord prendre conscience que la zone euro restera fragile
En lisant cela, je ne peux m’empêcher de penser, venant de sa part, à une offre de bons et loyaux services. Ce Mossieur cherche une place. Ce n’est pas ce que font les nombreux signataires de cette tribune intitulée Plus jamais ça ! qui est une suite de vœux pieux demandant poliment aux pouvoirs de changer. Un pouvoir qui n’a eu de cesse de briser tout ce qui pouvait s’opposer à lui. Les forces populaires qui ont été cassées avant la crise ne pourront pas être aux rendez-vous qui s’imposent. Il va falloir des années pour qu’elles se reconstituent. Ce qui n’empêche pas d’espérer.
La Française des jeux est au pouvoir ! Un grand pari national a été lancé ! Depuis lundi tout est permis ! Si, si ! il y a donc deux France, une rouge et une verte. Il est tout à fait difficile de chercher les différences de comportement à suivre selon que l’on soit d’une couleur ou d’une autre. Tout le monde est d’accord pour estimer que les capacités de la comm de travestir la réalité sont immenses. Des écoles existent, des agences existent, des spécialistes courent les couloirs des pouvoirs. Et pourtant avoir choisi le vert pour indiquer les régions où le virus est moins à l’œuvre est d’une bêtise monumentale. Quand au feu on trépigne d’impatience devant le feu rouge, on sait que le vert va nous libérer. Si d’aventure le feu passe à l’orange clignotant, nous faisons alors attention.
Il aura suffi que deux foyers d’infection apparaissent en nouvelle Aquitaine pour que naissent de nouvelles inquiétudes. Deux endroits très particuliers. Deux clusters, comme on dit pour faire in, qui ne peuvent que se renouveler dans les jours qui suivent. Un enterrement et il va y en avoir, un grand nombre et une rentrée d’école et on est en plein dedans.
Pour le premier des cas, la famille proteste, disant qu’elle a respecté toutes les consignes de sécurité à la lettre. Qui a donné ces consignes à suivre ? Le gouvernement sous toutes ses formes. Elles ne sont pas efficaces, c’est la faute à Macron ! Le contrat qui lie les citoyens aux pouvoirs n’est valable. La sécurité en échange de l’obéissance. Eh bien avec le virus cela ne marche pas !
Le capitalisme numérique. Si nous avons pu tenir, contenir notre inquiétude, continuer à nous écrire, à nous parler, à nous voir c’et bien grâce à lui. Il a envahi nos vies. Il était déjà là. Caché derrière d’autres formes de pouvoirs il est passé devant. Il est présent dans tout ce qui relève de la médecine, des soins en tout genre et des statistiques desquelles nous sommes devenus dépendant.
Il est présent plus qu’il n’a jamais été dans tout ce qui relève de l’éducation nationale en ligne. Peu ou prou, toute une génération d’enseignants et de d’élèves du primaire comme du secondaire se sont trouvé plongés du jour au lendemain dans des processus éducatifs qu’ils ne maitrisaient ni les uns ni les autres. Il leur a fallu faire une apprentissage qui pour certains a été douloureux.
Il est présent à travers le télétravail. Cette idée, à l’origine, avait un petit côté écolo, travailler aux champs, loin de la ville. Façon de faire réservée à quelques élus, des gens un peu en marge, traducteurs, concepteurs, graphistes, webdesigner, etc. Les entreprises ne prisaient pas trop cette façon de faire, d’une certaine façon leurs employés leur échappaient physiquement. Avec ce qui vient de se passer, ces deux mois de rodage, il apparait qu’il peut y avoir de grands avantages à ce type de travail, dont l’isolement social n’est pas le moindre. Syndiquer online va se révéler encore plus difficile, ou peut être pas, mais les actions collectives ne seront plus possibles sans franchir des lignes rouges. Par ailleurs, il semblerait que dans le petit monde des développeurs le temps de travail ait augmenté pendant cette période de confinement. Les dépassements de 30 à 60 minutes par jour seraient fréquents avec des débordements sur les week-ends. Tout profit pour qui vous savez. Cela explique la campagne des pouvoirs à continuer autant que cela est possible le travail à la maison. Retour au XIXème siècle ?
Il est présent à travers toutes les vidéos qui nous ont tant fait rire pendant ces mois d’isolement. Il en est de même de toutes ces plates formes de diffusion de films qui ont squattées notre quotidien. OCS, Netflix, Amazon Prime et bien d’autres se sont créées une base d’addicts qu’il sera difficile de décrocher.
Il est présent sous sa forme financière, les cartes de crédit devenant, sans contact, de véritables substituts à l’argent liquide à travers le passage de 2à 50 euros maximum de transfert lors d’un achat. Ce qui va diminuer d’autant les passages aux distributeurs de monnaie, donc augmenter la rentabilité de l’argent numérique et en diminuer par là même le coût.
Pour le capital numérique, ce confinement total ou partiel selon les pays a été l’occasion de tester à moindre frais ses capacités d’extension dans tous les domaines. C’est un succès !
Le virus et ses effets On a entendu partout les parallèles faits entre le nombre de morts de telle ou telle épidémie et celles relevant du covid-19. Hormis le fait de considérer la nature morbide de ce type de comptabilité, qui eut lieu dans tous les milieux, il y eut peu d’analyses qui aient expliqué le mécanisme qui a conduit, avec si peu de morts, à l’arrêt de l’économie mondiale.
Pendant les deux guerres mondiales comme pendant les guerres coloniales l’économie ne s’est jamais arrêtée, tout au plus reconvertie dans une industrie militaire. Cette fois le covid-19 a eu pour effet de faire entrevoir un monde où la pollution sous ses différentes formes avait presque disparue. Et alors nombre de gens se sont extasiés devant le retour du ciel bleu, le chant retrouvé des oiseaux, les animaux déambulant dans les villes etc. Tout cet émerveillement n’a duré qu’un petit mois. Depuis l’annonce d’un retour à l’état normal, c’est-à-dire au travail cette prise de conscience semble avoir déserté les individus.
Coûte que coûte Ce qui a précédé ou suivi cette déclaration l’a rendu immortelle. Les sommes d’argent, les milliers de milliards déversés partout sur toutes les entreprises qui en avait besoin mais aussi sous formes directe ou pas de salaires plus ou moins universels illustre bien la panique qui a emporté les décideurs de tout poils. Le sempiternel refrain « Il n’y pas d’agent » ne tient plus. Il y en a, pléthore, mais pas forcément où il faudrait. Il va falloir dans les milieux de gauches mais aussi parmi nous affronter les problèmes qui en découlent. Cela ne sera pas triste.
YAKAFOKON Voici ce sur quoi s’ouvre cette nouvelle période. Nombre de textes, de pétitions, de déclarations ont utilisé ce mot valise. Le pompon revient à Mossieur Piketty qui dans la même tribune du journal Le Monde déclare :
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PAR : Pierre Sommermeyer
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