Relaxe pour les antifascistes Nîmois
Suite à ce rassemblement, le MNR entamait des poursuites judiciaires à l'encontre de deux militants Nîmois accusés de violences sur l'élue d'extrême droite.
Ces militants sont : le président de Ras L'Front-Nîmes, absent le jour des faits et un membre d'Alternative libertaire qui, rappelons-le, travaillait ce jour là. Ce dernier était reconnu par les témoins d'E. Pascal comme son agresseur à partir de photos prises par les services de police deux ans auparavant pour un rassemblement similaire.
Un nouveau procès aura lieu ce 23 octobre. Deux affaires seront examinées : celle d'un militant d'Alternative libertaire toujours accusé par E. Pascal de l'avoir frappée et, celle d'un militant antifasciste, qui témoigne avoir réagi aux réactions violentes de l'entourage d'E. Pascal le jour des faits.
Soutenons ces militants antifascistes notamment en étant à leurs côtés, devant le palais de justice de Nîmes, jeudi 23 octobre 2003 à 13 h 45.