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Dans un sale État
par Miss Terre • le 26 avril 2020
La démocra chie...
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La montagne du pouvoir cache une forêt de mégalos, chercheurs, politiciens et spéculateurs, qui méprisent l’intérêt général au profit d’objectifs particuliers, égoïstes et dangereux. Le peuple a été, est, et reste encore, la proie de tous les excès : on le conditionne, manipule, méprise, condamne ou sacrifie.
Quel que soit le motif invoqué, tout est prétexte à imposer par tous les moyens ce qu’une caste considère bénéfique à la majorité que ce soit par le discours, les décisions, la violence ou répression.
Les monuments aux morts oublient de spécifier le cri des survivants à la grande guerre « Plus jamais ça ! » et n’ont pas ralenti la course aux armements. Les recherches sur l’atome n’ont pas empêché le nucléaire d’être responsable de milliers de morts et profusion de déchets ingérables. Celle sur les virus de défaillances sécuritaires. La mondialisation d’ôter l’autonomie et capacité d’une gestion locale des besoins vitaux. Le numérique de s’imposer ouvrant la porte au délire capitaliste d’un pouvoir qui veut maîtriser, posséder, écraser l’autre considéré adversaire, pour le fric, la suprématie ! Qui peut garantir que l’intelligence artificielle sera-respectueuse de l’environnement, du confort, de la santé physique et morale de l’humain qui l’a conçue ? Le fiel des penchants les plus pervers se répand, la convoitise, la délation, la manipulation, rien n’arrête cette course incessante et ignoble, irrespectueuse de la qualité de nos modes de vie.
Le peuple est l’otage permanent, réduit au silence ou dépossédé de sa culture, exploité, qui offre son énergie, sa combativité, pour un bien-être que tout être humain (qui n’a pas demandé à venir sur terre) est pourtant en DROIT d’espérer. Mais la question vitale est ce qui au fond nous anime, motive, satisfait, au-delà de notre personne car l’égoïsme est une porte qui condamne l’autre. Or nous avons besoin d’échange, d’égalité, de disposer de moyens de survie, d’autonomie et de solidarité, d’émulation, de confiance en nos capacités, de connaissance. Tout ce qui l’empêche est toxique à l’esprit comme la pollution détruit notre terre d’accueil et condamne notre survie. Pas besoin d’être instruit, énarque ou savant, pour s’en rendre compte. L’information circule mais reste noyée sous l’emprise de la consommation qui nous rend aveugle et lâche. La politique comme le commerce, impose ses lois, préceptes, comme garantie d’un monde meilleur au-delà de tout jugement. Les dictateurs peu ou jamais condamnés, les génocides entretenus pour le commerce des armes ou de l’agro-alimentaire qui maintien et augmente les famines, l’emploi de produits toxiques ou génétiquement modifiés au détriment de la santé et de la diversité biologique et animale
L’injustice est inacceptable !
Les révoltes en sont le témoignage constant et l’histoire occultée ou déformée par les puissants regorge d’initiatives équitables et durables qui ont combattu et aboli ces formes d’exploitations.
La démocratie directe basée sur le rassemblement, discussion de tous les problèmes, propositions soumises au vote général, gestion directe, abolition de la hiérarchie, mandats révocables, sens de la responsabilité et cohésion, valorisation de chacun-e sans distinction de fonction, formation permanente, émulation et reconnaissance, capacité à reconnaître son erreur ou faiblesse, cohésion de l’ensemble pour empêcher la récupération, déformation du projet ou la présence d’éléments toxiques, pratique du troc ennemi de la spéculation, et principe commun
DE CHACUN-E SELON SES MOYENS
A CHACUN-E SELON SES BESOINS
Miss Terre
Quel que soit le motif invoqué, tout est prétexte à imposer par tous les moyens ce qu’une caste considère bénéfique à la majorité que ce soit par le discours, les décisions, la violence ou répression.
Les monuments aux morts oublient de spécifier le cri des survivants à la grande guerre « Plus jamais ça ! » et n’ont pas ralenti la course aux armements. Les recherches sur l’atome n’ont pas empêché le nucléaire d’être responsable de milliers de morts et profusion de déchets ingérables. Celle sur les virus de défaillances sécuritaires. La mondialisation d’ôter l’autonomie et capacité d’une gestion locale des besoins vitaux. Le numérique de s’imposer ouvrant la porte au délire capitaliste d’un pouvoir qui veut maîtriser, posséder, écraser l’autre considéré adversaire, pour le fric, la suprématie ! Qui peut garantir que l’intelligence artificielle sera-respectueuse de l’environnement, du confort, de la santé physique et morale de l’humain qui l’a conçue ? Le fiel des penchants les plus pervers se répand, la convoitise, la délation, la manipulation, rien n’arrête cette course incessante et ignoble, irrespectueuse de la qualité de nos modes de vie.
Le peuple est l’otage permanent, réduit au silence ou dépossédé de sa culture, exploité, qui offre son énergie, sa combativité, pour un bien-être que tout être humain (qui n’a pas demandé à venir sur terre) est pourtant en DROIT d’espérer. Mais la question vitale est ce qui au fond nous anime, motive, satisfait, au-delà de notre personne car l’égoïsme est une porte qui condamne l’autre. Or nous avons besoin d’échange, d’égalité, de disposer de moyens de survie, d’autonomie et de solidarité, d’émulation, de confiance en nos capacités, de connaissance. Tout ce qui l’empêche est toxique à l’esprit comme la pollution détruit notre terre d’accueil et condamne notre survie. Pas besoin d’être instruit, énarque ou savant, pour s’en rendre compte. L’information circule mais reste noyée sous l’emprise de la consommation qui nous rend aveugle et lâche. La politique comme le commerce, impose ses lois, préceptes, comme garantie d’un monde meilleur au-delà de tout jugement. Les dictateurs peu ou jamais condamnés, les génocides entretenus pour le commerce des armes ou de l’agro-alimentaire qui maintien et augmente les famines, l’emploi de produits toxiques ou génétiquement modifiés au détriment de la santé et de la diversité biologique et animale
L’injustice est inacceptable !
Les révoltes en sont le témoignage constant et l’histoire occultée ou déformée par les puissants regorge d’initiatives équitables et durables qui ont combattu et aboli ces formes d’exploitations.
La démocratie directe basée sur le rassemblement, discussion de tous les problèmes, propositions soumises au vote général, gestion directe, abolition de la hiérarchie, mandats révocables, sens de la responsabilité et cohésion, valorisation de chacun-e sans distinction de fonction, formation permanente, émulation et reconnaissance, capacité à reconnaître son erreur ou faiblesse, cohésion de l’ensemble pour empêcher la récupération, déformation du projet ou la présence d’éléments toxiques, pratique du troc ennemi de la spéculation, et principe commun
DE CHACUN-E SELON SES MOYENS
A CHACUN-E SELON SES BESOINS
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