Choisis ton camp, camarade !
Pensées solidaires avec tou.te.s les manifestant.e.s blessé.e.s par des armes qui n’auraient pas dû être...
La répression sauvage - comme unique réponse du pouvoir socialiste à la détermination des individus en lutte - livre quotidiennement son lot d’exactions policières. Les armes utilisées par les tuniques bleues laissent de plus en plus de blessé.e.s sur le pavé. Le moment peut-être de ressortir un texte lu le 11 novembre 2010 au rassemblement au monument pacifique de Joyeuse (07)...
Bonjour à toutes et tous et réciproquement.
Port-Fontenoy, dans l’Aisne, le 12 décembre 1914, Léonard Leymarie, cultivateur dans la vie libre, se retrouve face à 12 canons de fusil Lebel modèle 1886-93. Il vient d’être condamné à mort par le Conseil de guerre spécial de la 63e division d’infanterie pour « mutilation volontaire » alors qu’il avait été blessé à la main à son poste de guet.
Le même jour, le même tribunal de guerre condamnera pour le même motif et fera exécuter, à trois kilomètres de là, par un autre peloton armé de 12 fusils Lebel modèle 1886-93, Jean Grataloux né à Saint-Just-sur-Loire dans le 42 à une quinzaine de kilomètres de Saint-Étienne.
Léonard, lui, est né à Seilhac en Corrèze à une quinzaine de kilomètres de Tulle.
Quelle aura été leur dernière vision: sûrement la bouche béante de ces douze canons de fusils Lebel modèle 1886-93. Leur dernière pensée : peut-être le souvenir du sourire d’un proche, d’un parent, d’un ami d’enfance content d’avoir trouvé à vendre ses muscles et sa sueur au bureau d’embauche des manufactures D’État de Saint-Étienne ou de Tulle. Manufactures qui, avec celle de Châtellerault, s’étaient vues confier par l’État-major la fabrication des fusils Lebel modèle 1886-93…
Le fusil Lebel avait été voulu par le Général Boulanger, alors ministre de la Guerre, en janvier 1886. Adopté officiellement le 1er mai 1887. Utilisé la première fois sur le terrain lors de la fusillade de Fourmies le 1er mai 1891 (neuf manifestants militairement assassinés). Les trois manufactures, grâce à leurs bons ouvriers, purent ainsi fournir un peu plus de deux millions de fusils Lebel avant le début de la grande boucherie. Jusqu’en 1920, ce sont environ trois millions cinq cent mille fusils qui furent minutieusement fabriqués par les ouvriers obéissants et consciencieux des trois manufactures.
Face au pauvre type en passe d’être fusillé, des douze canons de ces douze fusils Lebel modèle 1886-93, onze balles seulement allaient jaillir. Un fusil était doté d’une balle à blanc ainsi, chacun des douze membres du peloton d’exécution pouvait espérer se convaincre qu’il n’était en rien responsable de la mort du condamné… Louable effort des soudards galonnés… Tout faire pour que les soldats puissent manger leur rata et dormir en paix une fois la détente pressée. Ne surtout pas réfléchir…
Est-ce ce manque de réflexion qui avait pu laisser un ouvrier façonner cette détente sans remords ? Comment des prolétaires avaient-ils pu rivaliser de conscience professionnelle et d’inconscience sociale pour peaufiner les armes qui allaient trouer la peau d’autres prolos ? Gagner sa croûte et ne surtout pas réfléchir.
A quoi pensent les ouvriers de Giatt industries lorsqu’ils suivent les prouesses des fruits de leur boulot ? Pensent-ils aux plus 53% de chiffre d’affaires en 2009 par rapport à 2008, au carnet de commandes plein pour plusieurs années ou au sang et aux larmes ? Les yeux rivés sur la ligne bleue du bulletin de salaire et surtout ne pas réfléchir !
En ce temps d’ultra sécuritaire et de répression de la moindre opposition radicale, à quoi pensent les ouvriers de chez Verney-Carron à Saint-Etienne en assemblant les flash-ball qui ne tarderont pas à blesser, mutiler des manifestants, jeunes, femmes, hommes tous humainement respectables ? Les yeux rivés sur la ligne bleue des flics et la tronche en grève.
Que peut-il bien y avoir dans le crâne de l’un des 150 salariés de la SAE Alsetex, filiale du groupe Lacroix, lorsqu’il assemble une grenade lacrymogène, assourdissante, aveuglante, à effets combinés ou le lanceur Cougar qui va avec ? Ne surtout pas dégoupiller la boîte à réfléchir.
Sinon comment fabriquer sans scrupules des matraques, des menottes, des canons à eau et autres armes de répression et de domination.
Le camp d’en face l’a bien compris : La lutte de classes n’a jamais cessé, ne cessera jamais dans cette société capitaliste. La guerre sociale est là. Il n’y a, il n’y aura pas de trêve. Depuis le 3 mai 2010, en cas de crise majeure, l’armée peut désormais, selon une instruction interministérielle, engager 10.000 hommes sur le territoire national. Les spécialistes militaires, les ministres de la défense et les chefs d’états-majors européens sont tombés d’accord sur le constat que la guerre moderne sera sûrement urbaine et civile, l’ennemi peut-être intérieur et qu’il conviendrait de réviser toutes les procédures, tous les schémas tactiques. Idem pour l’armement, avec des véhicules forcément plus petits, des gaz, des armes électriques. Tout un attirail que le camp d’en face se propose d’utiliser contre ses opposants.
Voilà ce que des individus normalement de notre camp fabriquent à longueur de journée pour le profit, la sécurité et le maintien aux commandes du camp d’en face.
Pour notre émancipation, cessons de forger nos propres chaînes. Que les patrons, les dirigeants, les bourgeois se retroussent les manches s’ils veulent des armes. Que les ouvriers cessent d’armer le camp d’en face.
La recherche d’un emploi, la nécessité de « faire vivre » sa famille ne justifiera jamais qu’un travailleur soit le complice de la mort d’un pauvre bougre ou de son asservissement.
Guerre sociale contre les exploiteurs. Alors, choisis ton camp, camarade.
Et vive la Sociale qui n’a plus le temps d’accorder le moindre crédit à la Finance.
Une porte qui doit s’ouvrir
Les cahiers au feu, la ministre au milieu
Une bonne pub pour l’abstention
Au revoir Madame Catherine Ribeiro
L’ajustice chronique
Le silence des anneaux
Juste quelqu’une de bien...
Pour tout bagage, il y a trente ans...
Le Pandraud de l’année
Début juillet à Publico
Debout les damnés Soulèvements de la Terre !
Mouettes, goélands vs "poulets"
ÉDITO DU ML N°1851
Si c’est lui qui le dit...
un repas qui coûte une fortune
Ce gag vous est offert par la police
ÉDITO DU ML N°1850
je suis dans les temps...
Ah, ces article définis (dé)contractés !...
Se loger c’est la Santé...
ÉDITO DU ML N°1849
Ce n’est ni un poisson d’avril ni un lapin de Pâques.
Si ça vous chante encore
si ça vous chante...
ça devait arriver...
Procto logique !
ÉDITO DU ML N°1847
Un peu partout, le 19, c’est dans la rue.
Retombées.
Quand on aime on ne compte pas...
Edito du Monde libertaire n° 1845 de décembre 2022
ÉDITO DU ML N°1845
à devenir foot !!!
la liberté de la presse agressée
8.000.000.000
L’Ardèche jumelée avec le Donbass ou quand les militaires jouent à la guerre…
Comme ça...
Faire rimer Bühler et Radio libertaire
Il pleut et c’est une sale journée
ÉDITO DU ML N°1844
ÉDITO DU ML N°1843
Where is Charly ( third of the name) ?
J’avais pas dit "Jaques a dit dehors" !
Cocoricons !!!
Le vrai visage du capitalisme
On a d’autres crèmes à fouetter !!!
Élève zélé
Ecrivains prolétaires de tous les pays…
Souffrance muette sur mer calme
T’ar taggeurs à la récraie !
ÉDITO DU ML N°1841
Juste parce que c’était bien
A quand le retour des gibets à Salem ?
Civil, deviens un site culturel
La recette du candidat melba...
ÉDITO DU ML N°1840
Ecce homo
Victor Simal est définitivement libre…
Constat
Au pays de la Bible et du fusil.
Lettre à Élise
Souvenir... du présent
ÉDITO DU ML N°1837
Multirécidivistes
ÉDITO DU ML N°1834
Sur mes cahiers de lycéenne, j’écris ton nom… Liberté
A la dérive...
Sur le voile qu’on m’oblige à porter, j’écris ton nom...
161
Machin Machine papier machine
Les Éditions libertaires au pays du soleil levant
Des jeunes... ou plutôt, déjeune avec Zemmour
Justice vraiment aveugle...
Eh bien mes Cauchon ! ...
Pan le piaf, t’es mort !
Texas, ton univers impitoyable.
On se réveille ?
ÉDITO DU ML N°1831
Le truc qu’il fallait éviter
Voilà enfin que...
Miracle
C’est le moment de garder une part de nostalgie
Soldat de dieu, sous ta soutane tu restes un travailleur !
Ne nous faisons pas prier...
Angélique Ionatos
Juste comme ça...
ÉDITO DU ML N°1829
Tout bénef pour Matzneff
Arrêtez les massacres !
Le Monde et l’immonde...
Désaccord d’Evian
ÉDITO DU ML N°1827
Arrête ton char, Dassault !
Le 17
Ne se courber devant aucune autorité, si respectée qu’elle soit ; n’accepter aucun principe, tant qu’il n’est pas établi par la raison.
ça me fout le cafard
Des larmes de sang
Basta Giscard !
Con fini vs confinés
Je ne me donnerai pas la peine de pleurer, je ne me donnerai pas la peine d’avoir peur....
L’Aube a perdu sa dorure...
Rude Nouvelle : David Graeber...
Camarde versus camarade
Inspecteur Labavure...
My dealer is rich…
Des nouvelles du Rojava
Nomination
En pensant à Rajsfus
un 18 juin peut en cacher un autre...
13 juin.
Pollution
Chair à virus !
Copinage éphémère
Cause toujours !...
Pas de chance pour les Pieds Nickelés
Pour "Délation" composez le 17...
Meutre à Béziers
Toussez avec la Poste
c’est la guerre !
Fusion ou confusion ?
Obrigado ?
Au pays de Mickey et Donald
"Contingent rebelle". Rencontre débat à Alès (30)
Les migrants, pions d’un vieux conflit de voisinage
Chadri Sdiri
Surement un sabotage du grand complot !!!
Un ennemi public arrêté cette nuit
... mais il faut que tu t’en ailles
L’amer de glace
La honte !
Pour "les mettre à l’abri" ?
Michelin se dégonfle
Gonflés les gus
Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
propos de haine ordinaire
Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
La lumière contre l’obscurantisme
Encore une régression sociale !
jusqu’où ?
Avenir irradieux ?
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
Complètement barge
Acquittée !
état de terrorisme. La bourse aux alibis
Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
Terrorisme légal
Et le Valls a mis le temps...
No comment !
Méfiance
Un réfugié parmi tant d’autres : Le caricaturiste bielorusse Denis Lopatin.
Et une [MA]c[R]onnerie de plus !
Vox populi...
Notre père qui êtes odieux.
Goaaaaal !
Actualité brûlante
Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
La musique qui marche au pas...
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
Terrorisme d’Etat
L’noisavé
Alors, rat... compte !
Révoltée !
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Prédateur Social
Fourrière pour tous
Maudits codes-barres
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
1 |
le 13 mai 2016 09:47:51 par luc lefort |
"La recherche d’un emploi, la nécessité de « faire vivre » sa famille ne justifiera jamais qu’un travailleur soit le complice de la mort d’un pauvre bougre ou de son asservissement."
très bon article. l’alibis conformiste de devoir "faire vivre" sa famille, peut s’étendre à un grand nombre d’individus et pas seulement aux ouvriers producteurs d’armes.
la vraie guerre sociale contre les exploiteurs, c’est d’éviter le plus possible d’être coincé par les déterminismes vitaux.
2 |
le 13 mai 2016 13:19:25 par brice |
Choisir "un camp" est une fable détestable. le seul camp possible est celui du pacifisme sans compromis ! Et espérer la guerre civile n’est pas une valeur anarchiste pour moi ! Quant à l’ouvrier qui construit des armes il est autant à plaindre que les ouvriers des abbatoirs ! alors si tu veux lutter contre les abbatoirs : ne mange plus de viande ! Et si tu veux lutter contre les armes enfile ton costume de bisounours ! Oui l’anarchisme bisounours est, pour moi, le meilleur choix qui soit !
3 |
le 18 mai 2016 21:31:07 par Bernard |
Brice, "Choisir "un camp" est une fable détestable. le seul camp possible est celui du pacifisme sans compromis !"... Tu as donc choisi un camp. Le pacifisme sans compromis, l’anarchisme bisounours... J’aime bien cette phrase d’un mec :"Là où il n’y a le choix qu’entre lâcheté et violence, je conseillerai la violence." Pourtant le mec s’appelait Gandhi. Ceci étant, je ne prône pas la violence. Mais je ne la refuse pas si...