

Le blasphème en danger
Avec l’affaire Mila ressurgit le débat, mon dieu... vieux comme le monde sur le droit au blasphème. ...

Macron, le troisième larron
Le troisième larron est le plus jeune des « derniers » présidents, mais il est aussi et surtout le plus abject… Il n’est pas pas là par hasard. ...


Le brigadier est de retour...
Deux spectacles qui valent le détour ...


La solution qui marche à tous les coups
Ce qui est embêtant avec la non-violence, c’est qu’elle est contre-intuitive. Quand on est révolté, quelle qu’en soit la raison, l’instinct ne porte pas vers la non-violence mais plutôt à la violence. ...

Ancien article : Les intellectuels, les francs-maçons et la Seconde République espagnole.
Article à la Une le 13 octobre 2017
Antonio Machado et Federico García Lorca, “voix de l’Espagne” et… francs-maçons ? ...

9 mars 2020 : Les rendez-vous de Publico. ATTENTION (R)évolution permanente

Publico n’est pas qu’une librairie : ...

Paganisme ? Encyclopé-disons !
Définition issue de l’Encyclopédie anarchiste

Paganisme : ...

Le rendez-vous de presque sur les quais
Marseille, le vendredi 21 février, à 19h, à Mille Babords, 61,rue consolat 13001.

Ecologie sociale et communalisme: une voie libertaire portée par l’actualité
présentée par Annick Stevens ...


Du présent faisons table rase...
L’École biblique et archéologique française de Jérusalem (Ebaf), avait tout un stock de vestiges archéologiques en dépôt.
Manque de chance, ce tas de vieux trucs était dans un immeuble de Gaza City, menacé par un bombardement de l’armée israélienne.
Alors le stock a été déplacé et mis à l’abri par des religieux.
« C’est une opération à haut risque, dans un contexte extrêmement dangereux pour tous les acteurs, c’est vraiment un sauvetage de dernière minute », a expliqué à l’AFP Olivier Poquillon, le directeur de l’Ebaf.
Et les Gazaouis ? Qu’ils se débrouillent, z’ont qu’à demander le statut de futurs vestiges d’archéologiques...
Les USA, c’est de la balle...
Surement la liberté de porter une arme…
« Je pense que cela vaut la peine d’avoir, malheureusement, quelques décès par arme à feu chaque année, afin que nous puissions avoir le deuxième amendement pour protéger nos autres droits donnés par Dieu. » Dixit

En attendant le 10. Malle d’infos non définitive
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Le brigadier rencontre Camus
le 8 septembre 2025par Evelyne Trân
Besançon, les rendez-vous d’automne
le 8 septembre 2025par Des anar·es bisontin·es
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le 7 septembre 2025par C MOA