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Chroniques du temps réel

par Justhom • le 28 septembre 2025
De Rothschild ou le bouclier rouge
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De Meyer à Mayer en passant par de Rothschild
L’idée d’écrire sur les de Rothschild m’est venue en lisant le livre de Jules Verne Voyage à reculons en Angleterre et en Écosse. Dans ce livre Jules Verne écrit : « Monsieur de Rothschild, dont le vrai nom est Mayer, qui pour les Germains est tout simplement le baron de bouclier rouge... »
Cela m’a interrogé ce qui m’a amené à éplucher le pedigree de l’individu. En fait, l’ancêtre des De Rothschild se nommait Meyer Amschel Bauer… Mais ce commerçant très subtile et âpre aux gains était très opportuniste. Il avait compris qu’à Francfort-Sur-Le-Main, avec un nom à consonance hébraïque, il aurait du mal à se faire un nom dans le milieu financier et aristocratique...
En fait, De Rothschild n’est pas un nom propre. Cette famille porte un nom commun. On pourrait l’appeler « Comme toi » qui est le nom que j’ai donné à mon chien qui, lui, est très fidèle et sur lequel je peux compter. On ne peut pas en dire autant de cette famille d’arrivistes qui a la solidarité familiale et sélective (de classe).
« Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois. »
Meyer Amshel de Rothschild
Meyer, surnommé le prince des marchands
Le vrai nom de de Rothschild est Meyer Amschel Bauer. Il est né le 23 février 1744 dans le ghetto juif de Francfort-sur-le-Main, en ce qui est maintenant l’Allemagne. Francfort-Sur-Le-Main était un centre commercial de première importance. C’était la cité des banquiers, des marchands et des artisans.
A la porte principale de la ville avait été peinte une fresque, à la demande des autorités locales. Cette fresque représentait une « truie » énorme levant la queue afin de permettre à un Juif de lécher ses excréments.
Francfort était une des grandes villes d’Allemagne à traiter les Juifs en parias. C’est dans ce quartier sordide et insalubre que vivait Meyer Amschel Bauer. Il était marchand/négociant/commerçant : fripier, biens d’occasions, vieilles pièces de monnaie, brocanteur, prêteur sur gages, changeur.
Rot (rouge) et schild (bouclier)
C’est dans ce ghetto que se fit l’ascension du fondateur de la plus célèbre et le plus mythique des dynasties de banquiers : les Rothschild.
Meyer prit le nom de Rothschild en référence au nom de son échoppe appelée « Zu Roten Shild », Le Bouclier Rouge, symbole qui figurait au fronton de son échoppe.
Il parvient à s’imposer comme l’intermédiaire financier incontournable au service des familles princières. Sa réussite sera étroitement liée à un homme, Guillaume IX Landgrave de Hesse, un des princes les plus riches d’Allemagne. En 1785, après la mort de Landgrave, son successeur Guillaume XI, ancien client et protecteur de Meyer, est à la tête d’une fortune colossale. En même temps, le 29 janvier 1800 à Vienne, l’empereur Franz II Habsburg, donne à Meyer Amschel un brevet commun d’agents de cour de l’empire.
Un changement de nom qui n’est pas innocent quand le E devient A
Deux ans plus tard, Meyer change son nom en remplaçant le Meyer (hébreu) par Mayer qui est d’une consonance germanique.
Le début de la fortune de MAYER, un homme âpre aux gains
Il se voit confier une opération particulièrement juteuse : assurer la conversion des lettres de changes en monnaie locale, une opération délicate qui suppose d’échelonner la vente des lettres afin d’éviter, par un afflux trop brutal, de déprécier la monnaie locale.
Il réussira à s’imposer comme l’intermédiaire financier et conseiller incontournable au service des familles princières, des rois, des empereurs…
1810, l’acte de naissance de la compagnie Mayer Rothschild et fils
En 1810, il introduit ses cinq fils dans le monde des affaires et les initie à l’entregent. Deux ans avant sa mort, le 18 septembre 1810, il crée « la Compagnie Mayer Amshel Rothschild et fils ». Il donne ainsi à cette entreprise financière familiale une dimension européenne et internationale.
Il sera anobli à titre posthume en 1817 comme Mayer Amshel von Rothschild. Le 29 septembre 1822, l’empereur d’Autriche François 1er élèvera au rang de baron, Mayer ainsi que ses cinq fils, leurs descendants légitimes masculins et féminins, portant le nom de de Rothschild sans distinction de nationalité.
La pieuvre rothschildienne sera dotée de cinq bras, les cinq frères, tous avides de pouvoir politique et financier. Mayer installe ses fils dans les grands centres financiers et industriels en devenir en Europe :Amshel à Francfort, Nathan, à Londres, James à Paris, Salomon, à Vienneet Karl, à Naples.
Ils mèneront une lutte acharnée contre la concurrence. Les frères Pereire et Eugène Bontoux se sont heurtés à des « tueurs » qui ne supportaient pas la concurrence.
Les de Rothschild se sont alliés et sont entrés dans les différents conseils d’administration des sociétés et des banques créées par les frères Pereire. Ce qui permettait aux de Rothschild d’avoir un regard sur les projets de développement et sur la gestion financière.
Les de Rothschild : des tueurs
La banque Rothschild est une banque qui travaille avec son argent, celui de la famille tandis que la banque Pereire est fondamentalement une banque qui travaille avec l’argent des particuliers (les actionnaires).
Les frères Pereire sont des entrepreneurs, des hommes d’affaires et des banquiers. Ils jouent un rôle très important dans le décollage industriel de la France. Ils investissent dans la quasi totalité de l’activité : alimentaire, commerciale immobilière, résidentielle, les chemins de fer, le charbonnage, les transports maritimes, les assurances…
Ils fondent, en 1835, avec le soutien de James de Rothschild, la Compagnie des chemins de fer Paris-Saint-Germains et quelques projets immobiliers.
Par contre, James de Rothschild refuse de participer au financement et à la construction de plusieurs immeubles résidentiels de luxe donnant sur le parc Monceau.
C’est le début du déclin de l’empire Pereire : les frères Pereire se sont considérablement endettés pour constituer le capital financier de la société immobilière qui, sans le soutien des de Rothschild, est difficilement viable. D’autant que la rentabilité de l’hôtel du Louvre et du grand hôtel n’est pas au rendez-vous.
En 1866, le crédit mobilier qui détenait des créances considérables sur le patrimoine de la société immobilière est réduit à lancer une augmentation du capital pour se refinancer. Cela suscite la méfiance des actionnaires.
Les relances et les attaques provenant de la Banque de France relayées par les de Rothschild les contraignent à démissionner de leur propre banque, démis par les actionnaires en 1867. Le Crédit mobilier fait faillite en 1868 et la Compagnie immobilière est liquidée en 1872. Les frères Pereire sont ruinés, Rothschild demeure…
La famille de Rothschild : une mante religieuse qui dévore ses associés
Eugène Bontoux est un industriel, banquier et hommes d’affaires catholique monarchiste. Il est à la tête de la Compagnie des chemins de fer de l’État autrichien fondée en 1855 par un groupe d’investisseurs franco-autrichiens réunis par les frères Péreire. Il sera le chef du service financier de la Banque Rothschild. La Sudbahn appelée « les chemins Lombards », principal réseau ferroviaire du sud de l’empire Austro-hongrois, est elle dirigée et appartenant à la famille de Rothschild.
En 1874, Bontoux lance sur les marchés publics un emprunt pour l’exploitation de la « lignite » en Autriche. C’est une vraie réussite. Cela le motive à mettre en place de nouveaux projets en Europe centrale. Il acquiert une précieuse expérience et devient un interlocuteur incontournable des hommes d’États roumain, serbe, bulgare…) Il fera de l’ombre à la famille de de Rothschild. James de Rothschild voyant d’un mauvais œil ses grands projets se méfiera des liens que Bontoux a tissés avec le comte de Chambord. Bontoux sera licencié de la Banque Rothschild.
Eugène Bontoux fonde et dirige la banque l’Union générale en 1875, qu’il dirige jusqu’à sa chute en 1882. Eugène Bontoux est amené à la banqueroute par les de Rothschild. Ils ont manœuvré et manipulé les cours de la Bourse pour faire couler la banque l’Union générale dirigée par Bontoux, pour ensuite apparaître comme les sauveteurs des banques qui avaient des participations financières. Au passage, les de Rothschild ont engrangé de somptueux profits.
Une lutte à mort entre banquiers catholiques et juifs
En 1875, il fonde la banque l’Union générale à Lyon. Il a l’appui des cléricaux et des conservateurs royalistes pour créer une banque catholique. Il est soutenu et compte de nombreux actionnaires ecclésiastiques : le comte de Chambord, le cardinal Jacobini, secrétaire du pape Léon XIII, qui investit 335 000 francs. Il rassemble 2 000 souscripteurs. Le capital financier de la banque a atteint 200 millions en 1881. Son tort a été de vouloir concurrencer les grandes banques à capitaux juifs et protestants comme les Höttinger, les Neuflize, et surtout son ennemi intime, les de Rothschild.
C’était sans compter sur la rapacité maladive de la famille De Rothschild et sur sa capacité à éliminer tous ses principaux concurrents. D’autant que Bontoux avait affiché son objectif, à savoir damer le pion financier à Rothschild et à son groupe financier le « Crédit Anstalt » à Vienne.
D’où le début de la descente aux enfers pour Eugène Bontoux
La capacité de nuisance de la famille de Rothschild s’est mise en branle face au danger de perte de son hégémonie sur la place financière européenne et mondiale. Les manipulations sont menées de main de maître par les de Rothschild et leurs alliés pour manipuler le cours de la Bourse en jouant sur la hausse et à la baisse des actions de la banque l’Union générale.
Le résultat ne s’est pas fait attendre, c’est la crise. La Bourse comptait plus de valeurs qu’elle ne pouvait en recevoir, au point où l’Union générale pour retarder l’échéance (la faillite), achetait ses propres actions.
C’est ainsi que lors de la séance boursière du 19 janvier quatre milliards de francs partent en fumée. En janvier 1882, Eugène Bontoux est arrêté pour mauvaise gestion et faillite frauduleuse. Il passera plusieurs mois en prison et sera condamné à cinq ans de prison. Il ne les fera pas, il fuit en Espagne.
Les responsables de ce krach boursier, Moïse de Camondo, Louis de Caheu d’Anvers et James De Rothschild sont à pied d’œuvre pour se partager les bénéfices, les profits de cette mise à mort.
Alors qu’ils sont à l’initiative de la faillite de la banque l’Union générale, les hypocrites donnent le change en se présentant comme les sauveteurs des petites banques, des investisseurs et actionnaires qui auront été pris dans cette crise !
Ascension internationale
Heine a écrit : « L’argent est le Dieu de notre époque, et de Rothschild est son prophète. »
Avant leur anoblissement, les Mayer-Rothschild vont essaimer dans toute l’Europe et en partie aux États-Unis. Les fils donneront corps à la vision internationale de leur père concernant la finance et l’industrie.
En 1811, Nathan propose ses services au gouvernement britannique pour acheminer clandestinement 800 000 livres en or à l’armée de Wellington, bloquée au Portugal, faute d’argent.
La compagnie Mayer-Rothschild prête également aux Autrichiens, aux Prussiens et aux Russes, les aidant financièrement dans leur combat contre Napoléon. Elle sera largement payée après la chute de Napoléon en 1815.
L’endogamie une composante essentielle de la stratégie de la famille de Rothschild. Les mariages entre les branches permettront à la famille le contrôle des activités. L’endogamie maintient les dots dans le capital familial et écarte les intrus.
L’origine de la famille n’est pas un mythe, elle est plongée dans la réalité de cette société capitaliste et industrielle naissante. Au sein de cette entreprise financière familiale, les capitaux, toute l’activité spéculative et d’investissement est répartie entre les frères. L’argent, quand il sortait du cercle familial, devait être synonyme de profit. Chez les de Rothschild, le capital était familial, la solidarité fraternelle était érigée en dogme. L’argent ne sort pas de la famille.
En 1824, et pour les générations suivantes, sur dix-huit mariages, seize furent contractés entre cousins germains. La fille de Salomon a épousé son oncle James. Karl, épouse sa cousine, la fille de Nathan. Le second fils de Nathan, Lionel, s’est marié avec la fille de son frère Charles… famille, famille... Elle faisait feu de tout bois pour s’imposer. Elle n’hésitera pas à spéculer, à servir d’entremetteur pour les tenants du pouvoir politique. Tout en étendant ses tentacules au niveau international tant pour les aides financières aux États que pour faciliter l’évasion des capitaux… Elle a su se rendre indispensable et incontournable auprès des États pontificaux, l’Italie, Le Brésil, l’Espagne, l’Autriche, l’Allemagne, la Turquie, l’Angleterre, la Belgique…
On comprend que depuis ce temps et même encore aujourd’hui le nom de de Rothschild symbolise le capitalisme financier.
« Je prétends que ni le travail, ni l’occupation, ni la loi ne permet de créer la propriété : qu’elle est un effet sans cause. »
Proudhon pose cette question et y répond : « L’autorité de l’homme sur l’homme est-elle juste ? Tout le monde répond : non, l’autorité de l’homme n’est que l’autorité de la loi. »
« La propriété, c’est le vol… Nul homme ne peut s’enrichir sans qu’un autre s’appauvrisse. »
Pierre Joseph Proudhon / Qu’est-ce que la propriété ?
Depuis le début du capitalisme et la marche triomphante de l’industrialisation et des entreprises de la finance (banque, assurances…) accompagnée par la noblesse, les bourgeois, les politicards, les sectes religieuses (juive, protestante et catholique), le système politique de manipulation et d’exploitation n’a guère changé.
Si ce n’est qu’il a évolué et s’est sophistiqué jusqu’à rendre légal le vol organisé et la mise à sac des finances publiques par des prédateurs sans foi ni loi.
Magouilleurs et compagnie
les voleurs sont les exploiteurs au nom de la liberté et les usurpateurs sont ceux qui s’attribuent le titre d’élus au nom de la démocratie. Ils n’ont aucune loi, ni morale. Ils sont sans foi ni loi.
Aujourd’hui les seuls endroits où ces délinquants sont protégés et vivent en toute impunité, ce sont leurs entreprises, leurs châteaux (l’Élysée), leurs ministères, le Palais-Bourbon (l’Assemblée nationale), le palais du Luxembourg (le Sénat), et tous les lieux où le pouvoir est roi (hôtels de ville, de département, de région). Ils ont pour noms : chefs entreprises, patrons des compagnies d’assurance, des banques… accompagnés qu’ils sont des présidents, des représentants des Églises, des ministres, des députés, des sénateurs et tous ceux qui votent des lois, des décrets, des circulaires et des délibérations pour protéger leurs amis. Au nom de l’égalité et de la justice !
Cependant, de temps en temps, certains se font rattraper par la patrouille. Ils sont condamnés mais ne ne purgent jamais leur peine.
Réagir, et vite !
Si on laisse faire les prédateurs, le pays va tout droit vers une dictature. Les prémices sont déjà apparents. Il y a urgence à ce que le peuple réagisse et prenne ses responsabilités. Il nous faut arrêter de courber l’échine, de tout accepter sans réagir. Nous sommes le nombre. Nous avons les moyens de nettoyer les écuries d’Augias.
C’est nécessaire, il nous faut bâtir une société sur des bases saines et propres par le fédéralisme autogestionnaire fondé sur le principe de la coopération, afin que personne ne décide à notre place.
Cette société c’est à nous et à nous seuls de la bâtir en concertation avec tous les membres de la société en libre association. Elle reposera sur la responsabilité des diverses composantes.
Cette société révolutionnaire que nous voulons construire avec toutes les personnes qui ont soif de liberté et prêtes à contribuer par leurs idées, leurs expériences, leurs connaissances, leur savoir-faire, n’est pas utopique. Elle peut devenir réalité, c’est-à-dire sans exploitation économique, sans domination politique et religieuse, sans rapport de soumission, donc sans hiérarchie.
C’est possible à condition que chacun et chacune prenne conscience de ses responsabilités. Le capitalisme n’est pas la fin de l’histoire et n’est pas une fin en soi...
Justhom
Groupe de Rouen
PAR : Justhom
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