Le théâtre de l’absurde
« Je trouve que le théâtre est un lieu de vérité. On dit généralement, il est vrai, que c’est le lieu de l’illusion. N’en croyez rien.
C’est la société plutôt qui vivrait d’illusion et vous rencontrerez sûrement moins de cabotins à la scène qu’à la ville. »
Albert Camus / Pourquoi je fais du théâtre ?
Le metteur en scène qui sévit depuis plus de sept années sur la grande scène de la vie sociale du pays impose, tel un dictateur, une mise en scène de « classe ». Ce personnage pue tant il considère le peuple, les travailleurs comme du menu fretin. Il n’a pour eux que mépris. Ils peuvent toujours manifester, autant qu’ils veulent, il ne les entend pas. Et, s’ils insistent trop, il leur envoie sa police.
Même si sa façon de mettre en scène la politique du pays est contestée par 75 % de la population et que les actes de la pièce qu’il nous joue sont hués, sifflés et ponctués de démissions, de quolibets… qu’à cela ne tienne.
Il est investi , prétend-il, de pouvoir… des pouvoirs qu’il s’octroie. Un pouvoir qui le rend odieux et fat. C’est clair qu’il jouit de ce pouvoir avec une délectation malsaine et maladive.
Il a à ses côtés une troupe de cabotins pour le servir dévotement et très dévoués mais tout aussi méprisants envers les travailleurs. C’est à qui, chacun dans son rôle, proposera des lois plus scélérates les unes que les autres pour ponctionner, asservir et maintenir les travailleurs dans la précarité et faire en sorte qu’ils ne se rebellent pas contre le petit Macron.
Quant à la Dame du petit Macron, elle se fait la représentante de cette entreprise de luxe qu’est LVMH et assiste à toutes les sauteries organisées par la deuxième fortune du monde. Comme le dit si bien mon camarade Jean-Marc Raynaud, c’est à faire vomir un vélo.
Cette troupe de mauvais comédiens s’accoquine avec les milliardaires du CAC 40 et le grand patronat, ils ne peuvent rien leur refuser. Pendant que ces vils coquins se goinfrent et s’enrichissent sur le dos des portefaix, les hommes et les femmes qui créent les richesses et font leur fortune dansent devant le buffet.
Il serait judicieux que la population laissée pour compte investisse la scène théâtrale et joue les premiers rôles. Puis tire le rideau sur le passé.
Il s’agit de bâtir sur les ruines de cette société castratrice un théâtre ouvert à toutes et à tous où la parole ne sera pas confisquée. La population ne sera plus spectatrice mais pourra, si elle le désire, participer en direct aux choix sociaux et économiques dans les communes et dans les entreprises.
Justhom
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le 14 octobre 2024 21:53:34 par jean jean de garrigues |
Tu as su dire en quelques lignes ce que j’avais posé dans un article à la marge, le "théâtre de l’absurde" se confond avec "l’apologie du terrorisme" , bravo à toi. Ce sont ces gens là qui font l’apologie du terrorisme. Nous sommes sur la même longueur d’onde, c’est l’essentiel en ses temps difficiles, nous sommes des moutons, et les loups s’amusent à nous crever pour le plaisir. Léo disait " je les aime ces loups qui mon rendu non loup", c’est je crois le seul point de désaccord que j’ai avec lui, perso ces loups là j’ai la haine de leur goinfreries et de leurs foutages de gueules. Gilet jaune un jour, gilet jaune toujours, libertaire un jour, libertaire toujours...