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Les articles du ML papier
par Justhom • le 21 février 2021
Alors que le Covid-19 continue ses ravages C’est la peste kaki qui nous menace…
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Article extrait du Monde libertaire n°1824 de janvier 2021
« L’erreur de ceux qui, de bonne foi dans leur amour de la liberté, ont accordé à la souveraineté du peuple un pouvoir sans bornes, vient de la manière dont se sont formées leurs idées en politique. Ils ont vu dans l’histoire un petit nombre d’hommes ou même un seul, en possession d’un pouvoir immense, qui faisait beaucoup de mal ; mais leur courroux s’est dirigé contre les possesseurs du pouvoir, et non contre le pouvoir lui-même. Au lieu de le détruire, ils n’ont songé qu’à le remplacer. »
Benjamin Constant (Principes de politique)
Actuellement, les tenants du capitalisme ferraillent dur pour trouver le meilleur candidat susceptible, lors des prochaines élections présidentielles, de représenter et défendre leurs intérêts. Certes, ils fourbissent leurs armes car leurs partis traditionnels (droite, PS, centre) se sont discrédités au point de faire naufrage.
La République en marche, un parti gobe-mouches
Le dernier en date (la République en marche), le parti gobe-mouches de Macron, a tenté de rassembler en son sein les rescapés.es de tous les partis, cela s’avère un échec total et ce malgré les mesures autoritaires, la répression et les lois liberticides qu’il a mises en place.
Le danger a été grand que Macron et sa bande se fassent déborder par le peuple très en colère (les Gilets jaunes, les personnels soignants, les avocats, les retraité.es, les cheminots…), mais les menaces sont toujours plus que présentes.
Il faut donc que, lors des prochaines élections présidentielles, sorte de cette « loterie » le candidat idoine propre à défendre et protéger leurs intérêts et ceux du grand patronat et ce, sans fléchir. C’est-à-dire être implacable face au peuple.
Cette fois, ils ont le choix entre plusieurs nuances de la peste brune. Ou ils continuent avec l’apprenti sorcier « Macron » qui pourtant n’a pas démérité mais est à leurs yeux un peu tendre. Ou ils font appel à l’hystérique Marine Le Pen qui servira leurs intérêts sans sourciller en employant la manière encore plus forte pour faire rentrer dans le rang les récalcitrants. Elle tient la corde mais à leurs yeux pas suffisamment sinon il y a belle lurette qu’ils l’auraient propulsée au pouvoir pour gérer leurs affaires. Son inconstance ne les rassure pas. L’expérience de Macron les a sûrement échaudés. Comme le disait Louise Michel, le pouvoir est maudit. Il rend fou.
Un de Villiers peut en cacher un autre...
Ce qui les amène aujourd’hui avec l’aide des médias serviles à courtiser le général Pierre de Villiers. À leurs yeux, ce militaire est paré de toutes les vertus et qui plus est, il a des comptes à régler avec Macron qui l’a limogé ou contraint à la démission, un certain 19 juillet 2017.
Il mettra au pas le peuple, et ceux qui n’obéiront pas et qui n’auront pas le petit doigt sur la couture du pantalon ou ne seront pas alignés, les récalcitrants, il les punira en leur imposant le parcours du combattant, celui qui forge les vrais hommes (sic).
Actuellement, le bougre se fait désirer. Il joue « à je t’aime moi non plus ». Pour le moment, il écarte tout désir d’être candidat à la présidentielle mais, si les circonstances l’y obligent et que l’appel des siens (les militaires) se fait pressant, il ira… en tant que militaire il a le devoir d’obéir et de réparer la France, dit-il.
Il ajoute qu’il faut adapter les textes de l’État de droit pour être en mesure de faire de manière opérationnelle, un certain nombre de choses qu’on a du mal à faire manifestement. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que le tout répression sera à l’ordre du jour. L’État policier et militaire sera instauré, la violence et l’ordre seront quotidiens. Il préconise les manières fortes pour faire entrer dans le rang les déviants. Les terroristes ou assimilés n’ont qu’à bien se tenir.
Au sujet des jeunes, il dit « Je les respecte, ils sentent mon autorité, mon humanité, je les aime. » (re-sic). À condition qu’ils soient obéissants et disent « oui chef ».
Pour justifier ses dires, il précise : qu’il ne cherchera qu’à transmettre ce qu’il a appris en tant que militaire d’expérience et familier de l’appareil d’État. Cela on peut lui faire confiance, il a bourlingué, baroudé et supervisé les différents conflits dans le monde (au Kosovo, au Mali, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Centrafrique) lorsqu’il était chef de cabinet militaire du Premier ministre François Fillon, sous la présidence de Sarkozy, de 2008 à 2010.
C’est certainement pour bons et loyaux services qu’il sera nommé général d’armée en 2010. Il sera nommé chef d’État-major des armées de 2014 à 2017 auprès de Hollande et reconduit sous Macron avant d’être remercié par le « chef suprême » des armées, le même Macron.
Un coup d’État soft ?
Pierre le Jolis de Villiers de Saintignon est devenu la coqueluche des médias, les patrons s’arrachent ses interventions, il est l’invité des « grandes écoles ». Il multiplie les conférences, les tables rondes à HEC, Sciences-Po lui confie des cours... Ses interventions et diagnostics sont repris en boucle comme celle où il estime qu’il y a désormais un risque de guerre civile en France.
Mais cette déclaration suinte à grosses gouttes la haine et la peur du peuple, je le cite : « La faiblesse du peuple (re-re-sic) qui subit la crise sanitaire, la crise sociale et la crise économique, fait que nous sommes vulnérables et il y a un risque de guerre civile. » Ce qu’il ne dit pas, mais il le pense très fort, c’est qu’il faut à la tête du pays un homme fort, un homme qui n’hésitera pas à prendre des mesures radicales et rapidement. Un militaire !
L’homme prétend être doté d’une grande expertise et d’un savoir-faire que n’ont pas ces deux principaux concurrents : Macron aime l’armée mais il n’a pas fait son service militaire et cela est un handicap pour gouverner et diriger, même s’il fait voter des lois de plus en plus répressives et scélérates, il n’a pas les couilles et tarde à les mettre en application.
Il trouve que Marine Le Pen, malgré que ce soit une femme et qu’elle n’ait pas fait son service militaire, fait un certain nombre de constats - comme le patriotisme, l’immigration, le racisme, l’insécurité, la lutte contre l’islamisme, la souveraineté - qui vont dans le bon sens. Ces constats sont, dit-il, trop souvent cadenassés par le pouvoir en place. Mais surtout les solutions qu’elle propose ne sont pas les bonnes.
Il méprise les élus(es) et les partis politiques qui, dit-il, ont fait leur temps, ils sont discrédités auprès des citoyens, le danger est grand de voir le peuple prendre le pouvoir. Il brandit « le risque de guerre civile » et s’apitoie sur le sort du peuple car, dit-il, si cela arrivait, les Français et les Françaises se tueraient entre eux. Ce grand humaniste veut éviter un bain de sang et se pose en sauveur !
L’armée cénacle du parler vrai et du marcher droit ! Ce qu’il faut éviter à tout prix c’est que justement l’armée (les militaires) accède au pouvoir. Sinon, une chape de plomb s’étendra sur le pays et les libertés seront emprisonnées. Seul le peuple libéré de ses chaînes et uni peut s’opposer à cette espèce de coup d’État en préparation avec la complicité des Macron, Le Pen, Hollande, Sarkozy et l’ensemble de la classe politicarde qui déblayent le terrain.
Je vais terminer en citant un extrait de la lettre qu’Élisée Reclus a adressée à Jean Grave, le 26 septembre 1885 et qui montre à quel point, il est suicidaire de se faire représenter par des maîtres. Cette lettre est aujourd’hui, en 2020 d’une actualité criante : « Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous porterez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommerez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir. »
Justhom
Benjamin Constant (Principes de politique)
Actuellement, les tenants du capitalisme ferraillent dur pour trouver le meilleur candidat susceptible, lors des prochaines élections présidentielles, de représenter et défendre leurs intérêts. Certes, ils fourbissent leurs armes car leurs partis traditionnels (droite, PS, centre) se sont discrédités au point de faire naufrage.
La République en marche, un parti gobe-mouches
Le dernier en date (la République en marche), le parti gobe-mouches de Macron, a tenté de rassembler en son sein les rescapés.es de tous les partis, cela s’avère un échec total et ce malgré les mesures autoritaires, la répression et les lois liberticides qu’il a mises en place.
Le danger a été grand que Macron et sa bande se fassent déborder par le peuple très en colère (les Gilets jaunes, les personnels soignants, les avocats, les retraité.es, les cheminots…), mais les menaces sont toujours plus que présentes.
Il faut donc que, lors des prochaines élections présidentielles, sorte de cette « loterie » le candidat idoine propre à défendre et protéger leurs intérêts et ceux du grand patronat et ce, sans fléchir. C’est-à-dire être implacable face au peuple.
Cette fois, ils ont le choix entre plusieurs nuances de la peste brune. Ou ils continuent avec l’apprenti sorcier « Macron » qui pourtant n’a pas démérité mais est à leurs yeux un peu tendre. Ou ils font appel à l’hystérique Marine Le Pen qui servira leurs intérêts sans sourciller en employant la manière encore plus forte pour faire rentrer dans le rang les récalcitrants. Elle tient la corde mais à leurs yeux pas suffisamment sinon il y a belle lurette qu’ils l’auraient propulsée au pouvoir pour gérer leurs affaires. Son inconstance ne les rassure pas. L’expérience de Macron les a sûrement échaudés. Comme le disait Louise Michel, le pouvoir est maudit. Il rend fou.
Un de Villiers peut en cacher un autre...
Ce qui les amène aujourd’hui avec l’aide des médias serviles à courtiser le général Pierre de Villiers. À leurs yeux, ce militaire est paré de toutes les vertus et qui plus est, il a des comptes à régler avec Macron qui l’a limogé ou contraint à la démission, un certain 19 juillet 2017.
Il mettra au pas le peuple, et ceux qui n’obéiront pas et qui n’auront pas le petit doigt sur la couture du pantalon ou ne seront pas alignés, les récalcitrants, il les punira en leur imposant le parcours du combattant, celui qui forge les vrais hommes (sic).
Actuellement, le bougre se fait désirer. Il joue « à je t’aime moi non plus ». Pour le moment, il écarte tout désir d’être candidat à la présidentielle mais, si les circonstances l’y obligent et que l’appel des siens (les militaires) se fait pressant, il ira… en tant que militaire il a le devoir d’obéir et de réparer la France, dit-il.
Il ajoute qu’il faut adapter les textes de l’État de droit pour être en mesure de faire de manière opérationnelle, un certain nombre de choses qu’on a du mal à faire manifestement. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que le tout répression sera à l’ordre du jour. L’État policier et militaire sera instauré, la violence et l’ordre seront quotidiens. Il préconise les manières fortes pour faire entrer dans le rang les déviants. Les terroristes ou assimilés n’ont qu’à bien se tenir.
Au sujet des jeunes, il dit « Je les respecte, ils sentent mon autorité, mon humanité, je les aime. » (re-sic). À condition qu’ils soient obéissants et disent « oui chef ».
Pour justifier ses dires, il précise : qu’il ne cherchera qu’à transmettre ce qu’il a appris en tant que militaire d’expérience et familier de l’appareil d’État. Cela on peut lui faire confiance, il a bourlingué, baroudé et supervisé les différents conflits dans le monde (au Kosovo, au Mali, en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Centrafrique) lorsqu’il était chef de cabinet militaire du Premier ministre François Fillon, sous la présidence de Sarkozy, de 2008 à 2010.
C’est certainement pour bons et loyaux services qu’il sera nommé général d’armée en 2010. Il sera nommé chef d’État-major des armées de 2014 à 2017 auprès de Hollande et reconduit sous Macron avant d’être remercié par le « chef suprême » des armées, le même Macron.
Un coup d’État soft ?
Pierre le Jolis de Villiers de Saintignon est devenu la coqueluche des médias, les patrons s’arrachent ses interventions, il est l’invité des « grandes écoles ». Il multiplie les conférences, les tables rondes à HEC, Sciences-Po lui confie des cours... Ses interventions et diagnostics sont repris en boucle comme celle où il estime qu’il y a désormais un risque de guerre civile en France.
Mais cette déclaration suinte à grosses gouttes la haine et la peur du peuple, je le cite : « La faiblesse du peuple (re-re-sic) qui subit la crise sanitaire, la crise sociale et la crise économique, fait que nous sommes vulnérables et il y a un risque de guerre civile. » Ce qu’il ne dit pas, mais il le pense très fort, c’est qu’il faut à la tête du pays un homme fort, un homme qui n’hésitera pas à prendre des mesures radicales et rapidement. Un militaire !
L’homme prétend être doté d’une grande expertise et d’un savoir-faire que n’ont pas ces deux principaux concurrents : Macron aime l’armée mais il n’a pas fait son service militaire et cela est un handicap pour gouverner et diriger, même s’il fait voter des lois de plus en plus répressives et scélérates, il n’a pas les couilles et tarde à les mettre en application.
Il trouve que Marine Le Pen, malgré que ce soit une femme et qu’elle n’ait pas fait son service militaire, fait un certain nombre de constats - comme le patriotisme, l’immigration, le racisme, l’insécurité, la lutte contre l’islamisme, la souveraineté - qui vont dans le bon sens. Ces constats sont, dit-il, trop souvent cadenassés par le pouvoir en place. Mais surtout les solutions qu’elle propose ne sont pas les bonnes.
Il méprise les élus(es) et les partis politiques qui, dit-il, ont fait leur temps, ils sont discrédités auprès des citoyens, le danger est grand de voir le peuple prendre le pouvoir. Il brandit « le risque de guerre civile » et s’apitoie sur le sort du peuple car, dit-il, si cela arrivait, les Français et les Françaises se tueraient entre eux. Ce grand humaniste veut éviter un bain de sang et se pose en sauveur !
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Justhom
PAR : Justhom
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