Dans un long entretien à l’Express, le 17 décembre 2020, le premier bonimenteur de France a montré que la Covid 19 ne s’attaque pas à sa langue. Certes, il a été déclaré positif au covid 19 et s’est isolé à la Lanterne, à Versailles, même si le virus s’attaque aux poumons et provoque des difficultés respiratoires. Il a laissé intacte sa langue, ce qui permet au super contaminateur de continuer à distiller son venin, tout aussi mortel que le coronavirus. De cet entretien, fumeux, je ne retiendrais que ce qui suit :

« On finit par ne plus croire en rien ».

Il ne peut pas mieux dire, car il participe largement et au titre de président de la république, c’est lui qui donne le la.
C’est pour cela qu’il sait de quoi, il parle lorsqu’il décrit : « Le cercle vicieux : un nivellement, qui crée du scepticisme, engendre de l’obscurantisme et qui, au contraire du doute cartésien fondement de la construction rationnelle et de la vérité, conduit au complotisme. » Comme d’habitude, cet adepte de la restriction mentale dit les choses à moitié pour abuser ceux à qui il s’adresse. C’est lui et toute sa bande de pégriots [note] (experts, spécialistes divers et variés, médecins, économistes, sociologues, psychologues, pédagogues… ) qui défilent à la télévision pour nous expliquer les tenants et les aboutissants des différentes crises générées par le système capitaliste. Tous ces jean-foutre cultivent l’art de nous enfumer, de faire croire qu’ils nous informent alors que c’est le contraire. Seulement, ils pourront toujours s’échiner à vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Ils ont oublié que le peuple a un cerveau et qu’il n’est pas totalement asservit et qu’il réfléchit. Leurs discours destinés à nous aseptiser, à nous décerveler sont quasiment sans effet. Le peuple se méfie. Il a raison. Il finit par ne plus croire en rien. Ne faites pas l’étonner, Monsieur le président, tout le sens de votre action politique est la désinformation. Et ça le peuple l’a compris.

Vous Messieurs et Mesdames ceux et celles qui distillez vos mensonges, vous vous rendez compte que vous allez dans le mur. C’est pour cela que vous êtes omniprésents (es) dans nos vie, que vous tentez désespérément de façonner nos cerveaux à la pensée dominante. Mais nous ne sommes pas des animaux. Comme vous, nous avons une tête, un cerveau, des jambes et des bras. Vous avez peur. Les mesures répressives que vous prenez, le régime policier que vous mettez en place pour que le peuple ne brise pas ses chaînes, pour vous protéger ainsi que vos biens et le régime capitaliste, en sont la preuve. C’est vrai que la majorité des Français ne croît plus en rien et donc en vous. Vous faites bien d’être inquiets car la colère du peuple gronde et monte et rien ne l’arrêtera, lorsqu’il sera EN MARCHE.

Vous avez une chance extraordinaire, nous ne sommes plus au XVI car, pour vous punir de toutes les vilenies, les saloperies que vous lui avez fait subir vous et ceux qui vous ont précédés, le peuple aurait pu vous faire subir le «supplice de la langue »
A cet époque, les tortionnaires étaient très inventifs, vous auriez eu le choix entre avoir :
La langue coupée, l’exécuteur la coupait au couteau.
La langue percée avec un fer rouge, pointu ou à froid, suivant l’arrêt.
La langue arrachée avec un arracheur de langue, un genre de ciseaux mais pas coupant surdimensionnés (comme l’ego) de l’actuel,président. Cet arracheur surdimensionné permettait d’attraper la langue et de la bloquer entre les pinces. Une fois la prise assurée, le bourreau n’avait plus qu’à tirer un coup sec.

Méfiez-vous, tout de même cela vous pend au nez, vous qui avez la langue bien pendue.