« L’air de la réussite, quand il est porté d’une certaine manière, rendrait un âne enragé. » Albert Camus (La chute)

Image par Manfred Antranias Zimmer

Les ânes instruits défilent à la queue leu leu sur les chaînes de télé, les stations de radio ou écrivent dans des journaux, dans les médias au service du système capitaliste et appartenant aux milliardaires du CAC 40. Ces ânes instruits sont en principe censés nous informer et nous expliquer (pédagogiquement), le pourquoi des crises (sanitaire, économique, sociale, écologique...) Tous ces premiers de la classe se relayent et viennent doctement nous asséner leurs vérités. Nous sommes priés de les croire, de ne pas remettre en doute leurs paroles et leurs écrits, sinon gare à la matraque.
Ces ânes instruits ont pour titres : psychologues, sociologues, économistes, philosophes, chercheurs, journalistes, politologues, médecins, épidémiologistes, réanimateurs, anesthésistes, professeurs émérites... experts divers variés et avariés... Ils se servent de leur instruction, non pas pour éduquer le peuple mais pour le désinformer et le maintenir dans les rets du système capitaliste. Ce sont d’ignobles larbins.
Ils sont là, assénant leur « vérité » avec l’autorité des gens qui savent et surtout beaucoup de mépris envers le peuple qu’ils considèrent être un ignorant. On peut donc lui faire avaler n’importe quel mensonge, il n’aura pas la possibilité de vérifier l’information.

Ils façonnent les cerveaux
Et trop souvent, le peuple prend leurs discours comme du « bon pain ». Il faut entendre les propos des citoyens lorsqu’ils discutent entre eux. Ils répètent les propos de ces manipulateurs souvent mal compris qu’ils interprètent.

Diviser pour régner
Trop souvent, ce qu’ils taisent et que le peuple ne peut pas comprendre, c’est que le contenu de leurs propos et de leurs écrits est destiné à opposer les citoyens entre eux. C’est bien connu, il s’agit de diviser les citoyens entre eux afin qu’ils se fassent la guerre. Pendant qu’ils se cherchent des poux dans la tonsure et s’accusent mutuellement d’être les responsables des crises, le pouvoir se fait oublier et peut agir en toute tranquillité, faire voter des lois scélérates, continuer à casser le système social, (le service public hospitalier, menacer de licenciement, priver de salaire le personnel médical qui ne sera pas vacciné...) à procéder à des augmentations vertigineuses (du gaz, de l’électricité, des denrées alimentaires...), à porter atteintes aux libertés fondamentales (imposer le masque, instaurer des amendes, imposer le vaccin, le pass sanitaire...)
Tels des charognards, ces oiseaux de malheur planent en permanence au-dessus de leur proie et malheur à celles et ceux qui sortiront du troupeau ou qui oseront remettre en cause leur diktat.

Les duègnes des politicards et des milliardaires sont d’ignobles larbins de la plume et de la parole
Le seul vaccin pour mettre hors d’état de nuire et faire en sorte que leurs bouches se ferment afin qu’ils ne puisent plus distiller leur venin, c’est le peuple.
Pour cela, il est nécessaire qu’il sorte de sa léthargie et prenne son destin en main et cesse de faire confiance à toute cette engeance de malfrats qui gravite autour de lui. Il lui faut prendre le contrôle et la gestion de ses affaires, (entreprises, collectivités...). N’est-ce pas lui qui crée les richesses que s’accaparent ceux qui prétendent vouloir son bonheur ?
Il est nécessaire de ne plus croire en leurs promesses qui, vous pouvez en être sûrs et certains, verront le jour « à la saint jamais ».
La prise de conscience ne peut plus attendre, il y a urgence. Les prédateurs sont en train de détruire toute vie sur la planète au nom de cette sacro-sainte « croissance », synonyme de profits, de dividendes et d’enrichissements indécents.

« Ce n’est pas le singe ou le tigre que je crains dans l’homme, mais l’âne. » William Temple

Justhom