Littérature > Общая положительная оценка, товарищ Жорж ?
Littérature
par Sylvain Boulouque • le 29 janvier 2022
Общая положительная оценка, товарищ Жорж ?
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Bilan globalement positif, camarade Georges ?
Souvarine et Chalamov ont éclairé chacun à leur manière la réalité tragique du communisme en URSS. Leurs écrits permettent encore aujourd’hui de la violence et de la cruauté du système.
L’ouvrage publié il y a plus de vingt ans par les éditions Agone est aujourd’hui réédité dans une version revue et augmentée. L’ancienne préface de Charles Jacquier est devenue postface et il signe un nouveau texte de présentation. En outre, plusieurs textes de Souvarine ont été ajoutés, par beaucoup issus du Figaro, la grande presse de gauche restant alors muette sur les procès de Moscou.
Charles Jacquier présente avec brio la vie et l’itinéraire de Boris Souvarine.
Au tournant des années 1930, il est en pleine mutation intellectuelle, quelque peu contrainte et forcée par les événements et ses engagements. Né Boris Lifschitz en 1895 à Kiev, sa famille se réfugie en France en 1897. Il commence à se familiariser avec la culture socialiste avant la guerre, avant d’adhérer en 1916 à la Section française de l’internationale ouvrière dans laquelle il anime la minorité hostile à la guerre.
Très tôt, il se rapproche des bolcheviks pour défendre l’adhésion à l’Internationale communiste. Emprisonné avant le congrès de Tours, il rédige néanmoins une partie motion d’adhésion du fond de sa cellule. Membre de la direction du PC, il se rend à Moscou où il représente le Parti français. Bien que thuriféraire du régime, il fréquente les milieux des militants critiques, voire hostiles, au régime à l’image de l’anarchiste Nicolas Lazarévitch.
Après son retour en France, après un passage par la direction du Parti, il en est évincé en 1924. Commence alors sa carrière d’oppositionnel gravitant dans les petits groupes qui se forment aux grés des exclusions successives. Il anime le cercle communiste démocratique, participe un temps à la Fédération communiste indépendante de l’est. Homme de revue, il fonde la Critique sociale à laquelle participe notamment Simone Weil ou Raymond Queneau. Mais surtout, il s’attelle à son grand livre Staline, aperçu historique du bolchevisme publié en 1935.
Excepté la gauche antistalinienne et les libertaires, dire que l’accueil est mitigé est un euphémisme. Le temps est à l’antifascisme, la critique de l’URSS conduisant, selon le chantage intellectuel des communistes immanquablement au fascisme.
Pour Souvarine, la vérité prime. Même s’il n’est pas le seul. Par exemple, André Gide publie Retour d’URSS, Ante Ciliga, Au pays du grand mensonge et Victor Serge, 16 fusillés à Moscou. Leurs appels restent lettre morte. Il choisit de continuer d’informer sur ce qu’il peut lire en russe et recevoir comme information.
C’est tout l’intérêt de ce livre l’analyse des procès, truqués, bien évidement. Les procès sont disséqués grâce à la lecture de la presse officielle. Pendant deux ans entre 1936 et 1938, Souvarine en démontre point par point les mécanismes de ce grand spectacle macabre : aveux extorqués, sentences connues à l’avance, exécution des accusés. Fin connaisseurs des arcanes du pouvoir soviétique, il présente chacune des victimes pour souligner le caractère absurde des accusations, mais politiquement lourdes de sens. Les démonstrations sont imparables et la critique vertigineuse. L’éditeur a malicieusement ajouté en contre point les titres de l’Humanité…
Souvarine a été plus qu’un observateur attentif de la réalité soviétique. Ces analyses soulignent l’acuité du regard. Il est aussi possible de mesurer depuis l’ouverture, même partielle, des archives ex soviétique, le décalage entre la perception et la réalité. L’ampleur de la répression et de la violence contre les peuples de l’Union soviétique a dépassé ce qu’il était possible d’envisager par la simple observation de la presse, les procès n’étant qu’une partie émergée d’un iceberg dans lequel plus d’un million cinq cent mille citoyens soviétique, dont la quasi-totalité n’était pas et n’avait pas été communiste, a été jugé et pour une moitié exécutée et l’autre déportée dans les camps sibériens.
C’est ces camps qu’évoquent Varlam Chalamov, l’écrivain, dans ses Souvenirs de la Kolyma. Avec ces milliers de femmes et d’hommes arrivés là-bas happés par la machine infernale de la répression lors de la Grande terreur de 1937-1938. Ils sont à lire en même temps que les écrits de Souvarine et peuvent être complétés par l’analyse qu’en propose Luba Jurgenson dans le Semeur d’yeux. Sentier de Varlam Chalamov.
L’écrivain né en 1907 dans le Grand nord russe est le fils d’un prêtre orthodoxe. Installé à Moscou pour ses études, il rejoint le PCUS où il est un temps acquis à l’opposition de gauche diffusant sous le manteau le Testament de Lénine. Arrêté une première fois en 1929, il est relégué en Sibérie pendant trois ans. A Vichéra, il s’identifie aux socialistes révolutionnaires qui défiaient le tzar. Libéré, il est à nouveau arrêté en 1937 et condamné à 5 ans de camps puis dans le camp une nouvelle fois à dix ans, dans un camp de travail particulièrement dur de la Kolyma.
L’enseignante propose une réflexion complexe, à livre ouvert sur l’écrivain et son œuvre dans laquelle elle essaye de décortiquer l’œuvre de l’écrivain. En quatre chapitres, elle analyse l’œuvre : la littérature comme une forme d’art, dans lequel elle explique les ambitions de l’écrivain – après sa libération des camps en 1951, son départ de Sibérie en 1953 et son arrivée à Moscou trois ans après en 1956 – à décrire la réalité concentrationnaire. Chalamov écrit entre 1956 et sa mort en 1982, plusieurs centaines de pages publiées sous le titre Récits de la Kolyma, dans lesquels sous forme de bref récit, il restitue par bribes ce qu’il a pu voir et comprendre.
Luba Jurgenson en propose une analyse à travers trois grands thèmes qui traversent les récits : le corps, le paysage et le peuple des zeks, les déportés. L’œuvre est marquée par les qualités poétiques de l’écrivain, qui use souvent de figures métaphoriques pour donner un sens aux événements et aux faits qu’il narre. Elle interroge son ambition de passer des messages, dans une société, l’URSS, où il put à tout moment être à nouveau arrêté. Ce sont ces ombres ayant peuplé l’enfer de la Kolyma qu’il tente de faire ressurgir, n’ayant jamais réussi, à sortir lui-même du souvenir des camps. Ces récits sont aujourd’hui complétés par un inédit, Souvenirs de la Kolyma, écrit en 1972. Il y revient sur son arrestation de 1937, les interrogatoires à la prison de la Loubianka, la déportation à bord d’un bateau, la violence des gardes chiourmes de la police politique, le NKVD. En arrivant au camp, il est aussi frappé par les regards les yeux décharnés de ses compagnons d’infortune et de misère. Versé dans la compagnie de travail renforcé, qui condamne les déportés à la mort lente par épuisement. Il évoque ses souffrances, son envie d’en finir, la chance dans le malheur de se retrouver à l’infirmerie. L’univers goulaguien c’est aussi les coups des hommes du NKVD mais aussi des blatnoï, les hommes du milieu, prêts à tout pour imposer leur pouvoir aux simples déportés. Toutes les nationalités, même si les Soviétiques représentent la quasi-totalité des zeks. Le calvaire de Chalamov dure jusqu’en 1951, car une troïka de juges décide en 1941 de prolonger sa peine de dix ans. Il est versé dans un autre camp, dans lequel se trouve une bibliothèque, "ce monde bariolé et dangereux", selon l’expression de Stéphane Zweig, qu’il cite. La bibliothèque le sauvera. Il évoque les auteurs tous de qualité, dont Kropotkine, mais aussi Pouchkine, Balzac et Zola et d’ajouter : " un livre c’est un soutien spirituel, un compagnon fidèle dans n’importe quel malheur". Il évoque son retour son envie d’écrire, de retrouver une vie « normale » avec le sentiment d’être revenu de l’enfer, qui continue de le hanter.
L’URSS était pas qu’un cauchemar et le goulag est une réalité.
Sylvain Boulouque
- Cauchemar en URSS. Les procès de Moscou 1936-1938, Boris Souvarine. Edition établie par Charles Jacquier et Éric Sevault. Smolny Toulouse 2021 224 p. 10 €
- Souvenirs de la Kolyma, Varlam Chalamov. Verdier 2022 22,5 € 312 p.
- Le semeur d’yeux. Sentiers de Varlam Chalamov, Luga Jurgenson. Verdier 2022 21 € 328 p.
L’ouvrage publié il y a plus de vingt ans par les éditions Agone est aujourd’hui réédité dans une version revue et augmentée. L’ancienne préface de Charles Jacquier est devenue postface et il signe un nouveau texte de présentation. En outre, plusieurs textes de Souvarine ont été ajoutés, par beaucoup issus du Figaro, la grande presse de gauche restant alors muette sur les procès de Moscou.
Charles Jacquier présente avec brio la vie et l’itinéraire de Boris Souvarine.
Au tournant des années 1930, il est en pleine mutation intellectuelle, quelque peu contrainte et forcée par les événements et ses engagements. Né Boris Lifschitz en 1895 à Kiev, sa famille se réfugie en France en 1897. Il commence à se familiariser avec la culture socialiste avant la guerre, avant d’adhérer en 1916 à la Section française de l’internationale ouvrière dans laquelle il anime la minorité hostile à la guerre.
Très tôt, il se rapproche des bolcheviks pour défendre l’adhésion à l’Internationale communiste. Emprisonné avant le congrès de Tours, il rédige néanmoins une partie motion d’adhésion du fond de sa cellule. Membre de la direction du PC, il se rend à Moscou où il représente le Parti français. Bien que thuriféraire du régime, il fréquente les milieux des militants critiques, voire hostiles, au régime à l’image de l’anarchiste Nicolas Lazarévitch.
Après son retour en France, après un passage par la direction du Parti, il en est évincé en 1924. Commence alors sa carrière d’oppositionnel gravitant dans les petits groupes qui se forment aux grés des exclusions successives. Il anime le cercle communiste démocratique, participe un temps à la Fédération communiste indépendante de l’est. Homme de revue, il fonde la Critique sociale à laquelle participe notamment Simone Weil ou Raymond Queneau. Mais surtout, il s’attelle à son grand livre Staline, aperçu historique du bolchevisme publié en 1935.
Excepté la gauche antistalinienne et les libertaires, dire que l’accueil est mitigé est un euphémisme. Le temps est à l’antifascisme, la critique de l’URSS conduisant, selon le chantage intellectuel des communistes immanquablement au fascisme.
Pour Souvarine, la vérité prime. Même s’il n’est pas le seul. Par exemple, André Gide publie Retour d’URSS, Ante Ciliga, Au pays du grand mensonge et Victor Serge, 16 fusillés à Moscou. Leurs appels restent lettre morte. Il choisit de continuer d’informer sur ce qu’il peut lire en russe et recevoir comme information.
C’est tout l’intérêt de ce livre l’analyse des procès, truqués, bien évidement. Les procès sont disséqués grâce à la lecture de la presse officielle. Pendant deux ans entre 1936 et 1938, Souvarine en démontre point par point les mécanismes de ce grand spectacle macabre : aveux extorqués, sentences connues à l’avance, exécution des accusés. Fin connaisseurs des arcanes du pouvoir soviétique, il présente chacune des victimes pour souligner le caractère absurde des accusations, mais politiquement lourdes de sens. Les démonstrations sont imparables et la critique vertigineuse. L’éditeur a malicieusement ajouté en contre point les titres de l’Humanité…
Souvarine a été plus qu’un observateur attentif de la réalité soviétique. Ces analyses soulignent l’acuité du regard. Il est aussi possible de mesurer depuis l’ouverture, même partielle, des archives ex soviétique, le décalage entre la perception et la réalité. L’ampleur de la répression et de la violence contre les peuples de l’Union soviétique a dépassé ce qu’il était possible d’envisager par la simple observation de la presse, les procès n’étant qu’une partie émergée d’un iceberg dans lequel plus d’un million cinq cent mille citoyens soviétique, dont la quasi-totalité n’était pas et n’avait pas été communiste, a été jugé et pour une moitié exécutée et l’autre déportée dans les camps sibériens.
C’est ces camps qu’évoquent Varlam Chalamov, l’écrivain, dans ses Souvenirs de la Kolyma. Avec ces milliers de femmes et d’hommes arrivés là-bas happés par la machine infernale de la répression lors de la Grande terreur de 1937-1938. Ils sont à lire en même temps que les écrits de Souvarine et peuvent être complétés par l’analyse qu’en propose Luba Jurgenson dans le Semeur d’yeux. Sentier de Varlam Chalamov.
L’écrivain né en 1907 dans le Grand nord russe est le fils d’un prêtre orthodoxe. Installé à Moscou pour ses études, il rejoint le PCUS où il est un temps acquis à l’opposition de gauche diffusant sous le manteau le Testament de Lénine. Arrêté une première fois en 1929, il est relégué en Sibérie pendant trois ans. A Vichéra, il s’identifie aux socialistes révolutionnaires qui défiaient le tzar. Libéré, il est à nouveau arrêté en 1937 et condamné à 5 ans de camps puis dans le camp une nouvelle fois à dix ans, dans un camp de travail particulièrement dur de la Kolyma.
L’enseignante propose une réflexion complexe, à livre ouvert sur l’écrivain et son œuvre dans laquelle elle essaye de décortiquer l’œuvre de l’écrivain. En quatre chapitres, elle analyse l’œuvre : la littérature comme une forme d’art, dans lequel elle explique les ambitions de l’écrivain – après sa libération des camps en 1951, son départ de Sibérie en 1953 et son arrivée à Moscou trois ans après en 1956 – à décrire la réalité concentrationnaire. Chalamov écrit entre 1956 et sa mort en 1982, plusieurs centaines de pages publiées sous le titre Récits de la Kolyma, dans lesquels sous forme de bref récit, il restitue par bribes ce qu’il a pu voir et comprendre.
Luba Jurgenson en propose une analyse à travers trois grands thèmes qui traversent les récits : le corps, le paysage et le peuple des zeks, les déportés. L’œuvre est marquée par les qualités poétiques de l’écrivain, qui use souvent de figures métaphoriques pour donner un sens aux événements et aux faits qu’il narre. Elle interroge son ambition de passer des messages, dans une société, l’URSS, où il put à tout moment être à nouveau arrêté. Ce sont ces ombres ayant peuplé l’enfer de la Kolyma qu’il tente de faire ressurgir, n’ayant jamais réussi, à sortir lui-même du souvenir des camps. Ces récits sont aujourd’hui complétés par un inédit, Souvenirs de la Kolyma, écrit en 1972. Il y revient sur son arrestation de 1937, les interrogatoires à la prison de la Loubianka, la déportation à bord d’un bateau, la violence des gardes chiourmes de la police politique, le NKVD. En arrivant au camp, il est aussi frappé par les regards les yeux décharnés de ses compagnons d’infortune et de misère. Versé dans la compagnie de travail renforcé, qui condamne les déportés à la mort lente par épuisement. Il évoque ses souffrances, son envie d’en finir, la chance dans le malheur de se retrouver à l’infirmerie. L’univers goulaguien c’est aussi les coups des hommes du NKVD mais aussi des blatnoï, les hommes du milieu, prêts à tout pour imposer leur pouvoir aux simples déportés. Toutes les nationalités, même si les Soviétiques représentent la quasi-totalité des zeks. Le calvaire de Chalamov dure jusqu’en 1951, car une troïka de juges décide en 1941 de prolonger sa peine de dix ans. Il est versé dans un autre camp, dans lequel se trouve une bibliothèque, "ce monde bariolé et dangereux", selon l’expression de Stéphane Zweig, qu’il cite. La bibliothèque le sauvera. Il évoque les auteurs tous de qualité, dont Kropotkine, mais aussi Pouchkine, Balzac et Zola et d’ajouter : " un livre c’est un soutien spirituel, un compagnon fidèle dans n’importe quel malheur". Il évoque son retour son envie d’écrire, de retrouver une vie « normale » avec le sentiment d’être revenu de l’enfer, qui continue de le hanter.
L’URSS était pas qu’un cauchemar et le goulag est une réalité.
Sylvain Boulouque
- Cauchemar en URSS. Les procès de Moscou 1936-1938, Boris Souvarine. Edition établie par Charles Jacquier et Éric Sevault. Smolny Toulouse 2021 224 p. 10 €
- Souvenirs de la Kolyma, Varlam Chalamov. Verdier 2022 22,5 € 312 p.
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PAR : Sylvain Boulouque
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Une double proposition de lecture
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Vous me trouverez bien un complot ?
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