Poème
mis en ligne le 18 octobre 2001
Suivre la ligneA blessure de vivre
Des corbeaux déchirent le trait
Nuit martyre que suis-je
Survie de ma sœur
Luise à mort la nuit est longue
Elle achève l'agonie
La nuit n'est plus
Oripeaux de présence
Achtung l'œil conscience s'éveille
Le regard sans fard
Afghane de France les Français sont afghans
Morceaux de chair sur electric-chaise
Achtung la vie
R. Gruel
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N°1870 - mars 2025
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