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Non-Violence
par Bernard • le 13 juillet 2016
La musique qui marche au pas...
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Pour en finir avec le 14 juillet
Un texte lu au rassemblement pacifiste de Joyeuse (07) le 11 novembre 2012. Ou comment parler du 14 juillet un jour de souvenance... On pourra remplacer Françoise Parisot par Pierre Gattaz.
Le 11 novembre 1918 était signé la fin de la grande boucherie, les industriels des deux camps s’étant suffisamment engraissés. Dans chaque village, dans chaque famille les dividendes étaient de larmes et de sang.
Le 14 juillet 1919 le défilé traditionnel céda la place à un défilé de la victoire avec en tête 1000 mutilés à pied pour ceux qui en avaient encore. Suivaient, à cheval, les glorieux maréchaux dont Pétain sur son fier destrier blanc puis les troupes françaises et alliées. Le long du parcours, des monticules de canons ennemis brisés surmontés de sculptures de coqs géants.
Le défilé dura trois heures. A la même cadence, si tous les morts avaient pu se lever et marcher, le défilé, la Guerre Pride, aurait duré onze jours et onze nuits…
Le 14 juillet 1880 fut instaurée la fête nationale par la jeune 3e république. Le sacre n’étant pas de mise pour porter la république sur les fonts baptismaux du pouvoir, il fallait alors créer des symboles pour souder le régime.
Mais pourquoi ce choix du 14 juillet ?
Le 14 juillet 1789 ?... Trop sanglant, trop populo pour les conservateurs.
Le 14 juillet 1790 - premier anniversaire de la prise de la Bastille mais surtout fête de la Fédération - fut choisi car marquant la naissance de la nation française.
Pourquoi le défilé militaire le 14 juillet 1880 ? Dix ans après la défaite de Napoléon III à Sedan, il fallait montrer que la nation s’était redressée. D’où le défilé militaire sur l’hippodrome de Longchamp avec remise par Jules Ferry de nouveaux drapeaux et de nouveaux étendards à cette glorieuse armée qu’on présente alors comme la protectrice de la nation et de la république.
Le peuple souverain de France tout heureux se trouva alors riche d’une fête nationale, d’un hymne sanglant et d’un joli défilé d’uniformes républicains qu’on allait rapidement pouvoir admirer hors de nos frontières puisque, à commencer par la Tunisie en 1881, le modèle républicain fut exporté manu-militari dans ce qui devint nos « colonies ».
Le 14 juillet 1936, suite à la victoire du Front Populaire, les syndicats décidèrent de défiler le même jour que l’armée protectrice de la nation et de la république. 6 jours plus tard, le Frente popular espagnol demanda l’aide du gouvernement de front populaire français contre le soulèvement franquiste. L’armée française s’avéra alors être la protectrice de la seule nation française et de la seule république française…
Ainsi donc, on a mis dans l’inconscient collectif des individus vivant sur le sol de France que chaque année, il fallait fêter cette armée si républicaine. Cette même armée qui pouvait être royaliste, impériale, d’ordre moral, pétainiste selon la main qui remplissait la gamelle.
Cette armée qui ne sert qu’à défendre le pouvoir en place qu’il soit politique ou économique.
Nous avons pu prendre connaissance du déroulement d’un futur défilé du 14 juillet.
Le défilé de la victoire du Capitalisme contre les forces obscures des héritiers du progrès social...
Le défilé débutera comme de coutume par les différents corps d’armées. On remarquera particulièrement les bataillons de maintien de l’ordre dans les cités, les forces stratégiques d’expulsion de squats, les brigades anti-grèves, les régiments anti-manifs, la force d’intervention légère spécialisée dans la protection des banques et des supermarchés avec un hommage rendu aux vétérans ayant œuvré à la construction d’un aéroport inutile en milieu hostile.
Grande nouveauté cette année, défileront ensuite les forces vives de la nation :
Ouvrant la marche et forçant le respect, en silence viendra la brigade mobile des DRH. Suivront les traders dans leur uniforme d’apparat le regard fixé vers la ligne bleue des cotations. Puis viendra la cavalerie bancaire. Quelques petits épargnants égarés à la recherche de crottin hypothétique. Toute une cohorte de fourgons blindés et enfin les délégations étrangères Moody’s, Standard and Poor’s, FMI et autres maîtres du monde.
Enfin, la présidente Françoise Parisot descendra de la tribune officielle afin de déposer une gerbe sur les pieds de Liliane Bettencourt.
Le défilé s’achèvera alors avec le passage de l’aviation, de nos espoirs envolés et du Père Noël dans son traîneau.
Il ne tient qu’à nous de foutre en l’air cette triste mascarade. En abattant nos idoles :
L’Armée qui n’a été, n’est et ne sera que le protecteur du seul pouvoir du moment.
L’idée de Nation qui nous pousse à nous trouver plus de similitudes avec les vampires qui nous exploitent chez nous qu’avec les « collègues » d’outre frontières.
Le Travail salarié qui nous fait aimer notre maître pour la gamelle presque vide qu’il condescend à nous tendre.
Le Capitalisme, cet ennemi triomphant, descendant direct des compagnies d’exploitation durable de la forêt saharienne
Les Religions qui nous apprennent l’obéissance et l’acceptation de notre condition contre une très très très hypothétique part de tarte céleste…
Mettons à bas ces mascarades, ces défilés. Abolissons la parade de nos gardiens. C’est à nous de marcher dans les rues. C’est à nous d’être les garants de notre avenir.
À bas toutes les armées. À bas tous les exploiteurs.
Ni dieux ni maîtres ni patries ni moines ni patrimoines.
Le 11 novembre 1918 était signé la fin de la grande boucherie, les industriels des deux camps s’étant suffisamment engraissés. Dans chaque village, dans chaque famille les dividendes étaient de larmes et de sang.
Le 14 juillet 1919 le défilé traditionnel céda la place à un défilé de la victoire avec en tête 1000 mutilés à pied pour ceux qui en avaient encore. Suivaient, à cheval, les glorieux maréchaux dont Pétain sur son fier destrier blanc puis les troupes françaises et alliées. Le long du parcours, des monticules de canons ennemis brisés surmontés de sculptures de coqs géants.
Le défilé dura trois heures. A la même cadence, si tous les morts avaient pu se lever et marcher, le défilé, la Guerre Pride, aurait duré onze jours et onze nuits…
Le 14 juillet 1880 fut instaurée la fête nationale par la jeune 3e république. Le sacre n’étant pas de mise pour porter la république sur les fonts baptismaux du pouvoir, il fallait alors créer des symboles pour souder le régime.
Mais pourquoi ce choix du 14 juillet ?
Le 14 juillet 1789 ?... Trop sanglant, trop populo pour les conservateurs.
Le 14 juillet 1790 - premier anniversaire de la prise de la Bastille mais surtout fête de la Fédération - fut choisi car marquant la naissance de la nation française.
Pourquoi le défilé militaire le 14 juillet 1880 ? Dix ans après la défaite de Napoléon III à Sedan, il fallait montrer que la nation s’était redressée. D’où le défilé militaire sur l’hippodrome de Longchamp avec remise par Jules Ferry de nouveaux drapeaux et de nouveaux étendards à cette glorieuse armée qu’on présente alors comme la protectrice de la nation et de la république.
Le peuple souverain de France tout heureux se trouva alors riche d’une fête nationale, d’un hymne sanglant et d’un joli défilé d’uniformes républicains qu’on allait rapidement pouvoir admirer hors de nos frontières puisque, à commencer par la Tunisie en 1881, le modèle républicain fut exporté manu-militari dans ce qui devint nos « colonies ».
Le 14 juillet 1936, suite à la victoire du Front Populaire, les syndicats décidèrent de défiler le même jour que l’armée protectrice de la nation et de la république. 6 jours plus tard, le Frente popular espagnol demanda l’aide du gouvernement de front populaire français contre le soulèvement franquiste. L’armée française s’avéra alors être la protectrice de la seule nation française et de la seule république française…
Ainsi donc, on a mis dans l’inconscient collectif des individus vivant sur le sol de France que chaque année, il fallait fêter cette armée si républicaine. Cette même armée qui pouvait être royaliste, impériale, d’ordre moral, pétainiste selon la main qui remplissait la gamelle.
Cette armée qui ne sert qu’à défendre le pouvoir en place qu’il soit politique ou économique.
Nous avons pu prendre connaissance du déroulement d’un futur défilé du 14 juillet.
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Le défilé débutera comme de coutume par les différents corps d’armées. On remarquera particulièrement les bataillons de maintien de l’ordre dans les cités, les forces stratégiques d’expulsion de squats, les brigades anti-grèves, les régiments anti-manifs, la force d’intervention légère spécialisée dans la protection des banques et des supermarchés avec un hommage rendu aux vétérans ayant œuvré à la construction d’un aéroport inutile en milieu hostile.
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Enfin, la présidente Françoise Parisot descendra de la tribune officielle afin de déposer une gerbe sur les pieds de Liliane Bettencourt.
Le défilé s’achèvera alors avec le passage de l’aviation, de nos espoirs envolés et du Père Noël dans son traîneau.
Il ne tient qu’à nous de foutre en l’air cette triste mascarade. En abattant nos idoles :
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L’idée de Nation qui nous pousse à nous trouver plus de similitudes avec les vampires qui nous exploitent chez nous qu’avec les « collègues » d’outre frontières.
Le Travail salarié qui nous fait aimer notre maître pour la gamelle presque vide qu’il condescend à nous tendre.
Le Capitalisme, cet ennemi triomphant, descendant direct des compagnies d’exploitation durable de la forêt saharienne
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PAR : Bernard
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Pour tout bagage, il y a trente ans...
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Debout les damnés Soulèvements de la Terre !
Mouettes, goélands vs "poulets"
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Ce n’est ni un poisson d’avril ni un lapin de Pâques.
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Sur le voile qu’on m’oblige à porter, j’écris ton nom...
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Les Éditions libertaires au pays du soleil levant
Des jeunes... ou plutôt, déjeune avec Zemmour
Justice vraiment aveugle...
Eh bien mes Cauchon ! ...
Pan le piaf, t’es mort !
Texas, ton univers impitoyable.
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ÉDITO DU ML N°1831
Le truc qu’il fallait éviter
Voilà enfin que...
Miracle
C’est le moment de garder une part de nostalgie
Soldat de dieu, sous ta soutane tu restes un travailleur !
Ne nous faisons pas prier...
Angélique Ionatos
Juste comme ça...
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Tout bénef pour Matzneff
Arrêtez les massacres !
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Arrête ton char, Dassault !
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Ne se courber devant aucune autorité, si respectée qu’elle soit ; n’accepter aucun principe, tant qu’il n’est pas établi par la raison.
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Chair à virus !
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Cause toujours !...
Pas de chance pour les Pieds Nickelés
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Toussez avec la Poste
c’est la guerre !
Fusion ou confusion ?
Obrigado ?
Au pays de Mickey et Donald
"Contingent rebelle". Rencontre débat à Alès (30)
Les migrants, pions d’un vieux conflit de voisinage
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Surement un sabotage du grand complot !!!
Un ennemi public arrêté cette nuit
... mais il faut que tu t’en ailles
L’amer de glace
La honte !
Pour "les mettre à l’abri" ?
Michelin se dégonfle
Gonflés les gus
Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
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Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
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Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
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Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
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Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Choisis ton camp, camarade !
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
Terrorisme d’Etat
L’noisavé
Alors, rat... compte !
Révoltée !
C’est pour ton bien
Usine d’aliénés
Prédateur Social
Fourrière pour tous
Maudits codes-barres
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
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1 |
le 6 août 2016 15:45:26 par Paul S. |
publié le 13 juillet, avant Nice... Percutant.
2 |
le 10 août 2016 12:52:23 par bernard |
Paul S.
j’espère que ton commentaire concernait bien le texte, dans ce cas merci. Mais le choix du tout dernier mot est juste de très mauvais goût vu les circonstances...