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par Jean-Pierre Tertrais • le 5 octobre 2020
Lettre ouverte à M. Castex
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Article extrait du Monde libertaire n° 1820 de septembre 2020
Dans une tribune pour Ouest-France du 27 juillet, vous proclamiez : « Dans mon esprit, la netteté de cette réponse (à la question : « l’écologie est-elle une priorité ? ») a sans doute été retardée par les tenants d’une écologie punitive et décroissante, d’une écologie moralisatrice voire sectaire qui, sans doute de parfaite bonne foi, ont beaucoup nui et continuent de desservir la cause » !!
Véritable insulte à tous ceux qui œuvrent pour retarder la dégradation des milieux de vie, ce procédé odieux, abject, peut, sans exagération, être qualifié de stalinien. Parce que – chacun l’aura compris – les responsables du désastre écologique actuel, selon vous, ce ne sont pas les multinationales qui pratiquent l’extractivisme à outrance depuis des décennies avec des technologies de plus en plus dévastatrices, les banques qui financent les projets pétroliers les plus fous, les castes politiques qui élaborent un cadre juridique sur mesure pour les prédateurs de haut vol, la justice de classe qui assure l’impunité de ceux qui assassinent l’avenir des générations futures, les requins de l’agro-business qui stérilisent les sols et assèchent les nappes phréatiques, les grandes firmes semencières qui privent les paysans du droit le plus fondamental – la reproduction de la vie, les publicitaires qui forgent l’hyper-consumérisme en colonisant l’imaginaire de désirs artificiels, les grands médias qui leur préparent du temps de cerveau disponible, les ingénieurs longtemps payés à la longueur de haies abattues... et tous ceux qui ont assimilé la puissance à la liberté, qui ont transformé la planète en chantier permanent, l’aménagement du territoire en arme de destruction massive, c’est-à-dire créer l’irréversible.
Les responsables, selon vous, de cette dévastation, ce ne sont pas les politiques publiques mises en place pendant les Trente glorieuses et poursuivies avec zèle par la faune des politiciens à laquelle vous appartenez désormais : l’expansion délirante du « complexe militaro-industriel » comme instrument illusoire de la paix, le règne de la voiture individuelle au détriment des modes de transport collectifs, l’encouragement au tourisme de masse, l’agriculture chimique et lourdement mécanisée contre l’agro-écologie, le développement des filières viande et lait aux dépens des productions de fruits et légumes, l’expansion d’un urbanisme délirant qui fragilise l’équilibre psychique en détruisant les terres agricoles, la transformation des forêts en usines à bois, le nucléaire (aujourd’hui fiasco industriel et financier) et le gaspillage au lieu des énergies renouvelables et la sobriété, les incitations à la natalité dans un monde déjà surpeuplé… et le rêve fatal de tout obtenir sans qu’il en coûte rien, la résurgence de la pensée magique.
Les responsables, selon vous, du saccage de la planète ne sont pas ceux qui ont transformé l’utopie des Lumières en un mythe mortifère d’expansionnisme économique, ceux qui ont accéléré la spéculation sur les produits agricoles, la marchandisation du vivant, la financiarisation de la nature dans une fuite en avant éperdue pour alimenter leurs comptes en banque, mais plutôt les « lanceurs d’alerte » - chercheurs, médecins, employés, simples citoyens – qui ont voulu avertir, à l’aide d’une argumentation pertinente, d’un danger potentiel et l’ont payé souvent très cher : menaces, diffamations, réductions de crédits, suppressions de postes, ostracismes ou « placardisations » au sein de leur entreprise, assignation en justice, parfois jusqu’au suicide.
Les responsables, selon vous, de l’extermination des espèces animales et végétales, ce sont les centaines de militants écologistes assassinés depuis plusieurs décennies (212 en 2019) pour s’être opposés aux projets miniers, forestiers ou agroalimentaires conduits par les États, les mafias (la différence est parfois mince) et les multinationales. Les responsables, selon vous, des dérives de l’agriculture, ce sont les associations environnementales qui luttent contre les projets d’usines à vaches ou l’importation massive de soja transgénique, les maires qui prennent des arrêtés contre les poisons chimiques, les dizaines de milliers de paysans qui ont choisi l’agriculture biologique. C’est pourquoi le projet Demeter (cellule militaire pour surveiller les opposants à l’agro-industrie) au service de la mafia FNSEA, est de la plus haute importance !
Si vous fustigez une écologie « punitive », ce n’est pas par excès de sensibilité ou par nostalgie de Mai 68 où il était « interdit d’interdire », mais parce que la cible n’est autre que les multinationales, ces « zones à défendre » du capitalisme. Qui s’indigne en effet de cette « écologie punitive » ? Le patronat, les constructeurs automobiles, le lobby pétrolier, le secteur de la chimie… ceux qui n’ont jamais été mis à contribution pour les dégâts qu’ils ont occasionnés. Sous couvert de « responsabilisation », il s’agit de défendre un microcosme de privilèges jamais remis en cause, de pouvoir continuer à piller et à polluer sans vergogne. Directeur de la rédaction du Figaro magazine, G. Roquette résumait la Convention citoyenne pour le climat, qui n’est pourtant qu’un réel enfumage : « Un interminable catalogue de contraintes, d’obligations, d’interdictions, de sanctions et de taxes en tout genre. L’écologie punitive dans toute sa splendeur !!! » Alors que l’imposture du développement durable n’a accouché au contraire, depuis trente ans, que de législations peu contraignantes, de « chartes éthiques » sans engagement réel et de rares condamnations, avec par contre d’alléchantes incitations financières ; le leitmotiv étant de faire confiance au marché, de surfer sur la bonne volonté des rapaces… qui savent utiliser le chantage à l’emploi ou à la délocalisation, et contourner les lois nationales ou les cours de justice.
On aimerait que cette aversion pour la sanction s’applique aussi aux employés licenciés à la moindre faute, aux automobilistes verbalisés à la première négligence, aux bénéficiaires de minimas sociaux assimilés à des fraudeurs systématiques, aux citoyens lambdas pénalisés à la plus petite entorse aux procédures administratives... Mais il semblerait que la bienveillance, la mansuétude ou le discernement soient réservés aux puissants, la sévérité, l’intolérance et la rigueur aux « gens de rien ». Vous vous annoncez favorable « au dialogue, à la concertation ». C’est aussi ce que souhaiteraient les manifestants lorsqu’ils revendiquent de la dignité, des libertés, des droits, dont celui de vivre dans un « environnement » sain. Or en guise d’écoute, c’est la brutalité de la répression policière qu’ils reçoivent.
L’écologie à laquelle vous croyez, c’est l’écologie de proximité… qui évite de penser globalement, c’est l’écologie technocratique qui enterre l’écologie radicale et pourrait devenir totalitaire pour sauver ce qui peut encore l’être. C’est l’écologie « politiquement correcte », consensuelle, qui évacue les intérêts antagonistes des classes sociales, celle des petits gestes quotidiens auxquels s’astreignent les « bons citoyens » (de préférence ultra-connectés) pendant que se poursuivent les « purges » des navires en haute mer qui ont un impact majeur sur la biodiversité marine et les fonctions écologiques de l’océan. C’est celle qui fait croire que les efforts conjoints du capitalisme et de l’État vont résoudre la question écologique ; celle du développement durable à propos duquel L. Schweitzer, ex-PDG de Renault, reconnaissait qu’il n’était « ni une utopie ni même une contestation, mais la condition de survie de l’économie de marché » ! Une écologie compatible avec le soutien sans faille à l’aéronautique, au tourisme ou à l’automobile, sous couvert de « relance verte ».
Vous ne pouvez ignorer que les contraintes mises en évidence par l’écologie sont rigoureusement incompatibles avec les exigences du capitalisme, notamment l’opposition irréductible entre le temps long des processus biophysiques et la rentabilité à court terme. Non seulement ce système ne peut donc offrir la moindre solution, mais il constitue le cœur même du problème, puisqu’il exige une croissance continue ; or une croissance illimitée – même verte (ce qui est une imposture) – dans un monde limité est strictement impossible. De plus, la croissance ne se réalise qu’à la condition d’en faire porter le poids et le prix sur la nature, les conditions de travail des salariés, la santé des consommateurs et les générations futures. Et le discours autour d’une prétendue dématérialisation de l’économie est un leurre qu’avouent eux-mêmes beaucoup de partisans du numérique. Vous n’ignorez rien de cette réalité ; vous placez seulement – sans doute au nom d’un service rendu à la nation – vos ambitions personnelles au-dessus d’un « intérêt général » : le maintien des conditions d’habitabilité de la planète.
Le refus, collectif mais surtout des « élites », d’assumer les conséquences de ses actes, le déni consternant des réalités géophysiques de la Terre, le prélèvement des « ressources » plus rapide que le rythme de leur renouvellement ont rendu insoutenables nos modes de vie, ont conduit l’humanité à dépasser de nombreuses limites de la planète jusqu’à atteindre des « points de basculement », prélude à un effondrement dont nul ne sait ce qui peut émerger. Le seul espoir de maintenir les conditions d’une vie décente sur la planète est l’anéantissement du capitalisme. Garant de ce système en tant que Premier ministre, vous constituez un obstacle non négligeable à l’émancipation de l’humanité, et même à sa seule survie. Ce qui devrait vous dissuader d’asséner des leçons.
« Une écologie punitive et décroissante, une écologie moralisatrice voire sectaire qui ont beaucoup nui et continuent de desservir la cause », dites-vous. Coluche aurait sans doute glissé : « Quand on n’a que ça à dire, on devrait fermer sa gueule » !
Jean-Pierre Tertrais, août 2020
Véritable insulte à tous ceux qui œuvrent pour retarder la dégradation des milieux de vie, ce procédé odieux, abject, peut, sans exagération, être qualifié de stalinien. Parce que – chacun l’aura compris – les responsables du désastre écologique actuel, selon vous, ce ne sont pas les multinationales qui pratiquent l’extractivisme à outrance depuis des décennies avec des technologies de plus en plus dévastatrices, les banques qui financent les projets pétroliers les plus fous, les castes politiques qui élaborent un cadre juridique sur mesure pour les prédateurs de haut vol, la justice de classe qui assure l’impunité de ceux qui assassinent l’avenir des générations futures, les requins de l’agro-business qui stérilisent les sols et assèchent les nappes phréatiques, les grandes firmes semencières qui privent les paysans du droit le plus fondamental – la reproduction de la vie, les publicitaires qui forgent l’hyper-consumérisme en colonisant l’imaginaire de désirs artificiels, les grands médias qui leur préparent du temps de cerveau disponible, les ingénieurs longtemps payés à la longueur de haies abattues... et tous ceux qui ont assimilé la puissance à la liberté, qui ont transformé la planète en chantier permanent, l’aménagement du territoire en arme de destruction massive, c’est-à-dire créer l’irréversible.
Les responsables, selon vous, de cette dévastation, ce ne sont pas les politiques publiques mises en place pendant les Trente glorieuses et poursuivies avec zèle par la faune des politiciens à laquelle vous appartenez désormais : l’expansion délirante du « complexe militaro-industriel » comme instrument illusoire de la paix, le règne de la voiture individuelle au détriment des modes de transport collectifs, l’encouragement au tourisme de masse, l’agriculture chimique et lourdement mécanisée contre l’agro-écologie, le développement des filières viande et lait aux dépens des productions de fruits et légumes, l’expansion d’un urbanisme délirant qui fragilise l’équilibre psychique en détruisant les terres agricoles, la transformation des forêts en usines à bois, le nucléaire (aujourd’hui fiasco industriel et financier) et le gaspillage au lieu des énergies renouvelables et la sobriété, les incitations à la natalité dans un monde déjà surpeuplé… et le rêve fatal de tout obtenir sans qu’il en coûte rien, la résurgence de la pensée magique.
Les responsables, selon vous, du saccage de la planète ne sont pas ceux qui ont transformé l’utopie des Lumières en un mythe mortifère d’expansionnisme économique, ceux qui ont accéléré la spéculation sur les produits agricoles, la marchandisation du vivant, la financiarisation de la nature dans une fuite en avant éperdue pour alimenter leurs comptes en banque, mais plutôt les « lanceurs d’alerte » - chercheurs, médecins, employés, simples citoyens – qui ont voulu avertir, à l’aide d’une argumentation pertinente, d’un danger potentiel et l’ont payé souvent très cher : menaces, diffamations, réductions de crédits, suppressions de postes, ostracismes ou « placardisations » au sein de leur entreprise, assignation en justice, parfois jusqu’au suicide.
Les responsables, selon vous, de l’extermination des espèces animales et végétales, ce sont les centaines de militants écologistes assassinés depuis plusieurs décennies (212 en 2019) pour s’être opposés aux projets miniers, forestiers ou agroalimentaires conduits par les États, les mafias (la différence est parfois mince) et les multinationales. Les responsables, selon vous, des dérives de l’agriculture, ce sont les associations environnementales qui luttent contre les projets d’usines à vaches ou l’importation massive de soja transgénique, les maires qui prennent des arrêtés contre les poisons chimiques, les dizaines de milliers de paysans qui ont choisi l’agriculture biologique. C’est pourquoi le projet Demeter (cellule militaire pour surveiller les opposants à l’agro-industrie) au service de la mafia FNSEA, est de la plus haute importance !
Si vous fustigez une écologie « punitive », ce n’est pas par excès de sensibilité ou par nostalgie de Mai 68 où il était « interdit d’interdire », mais parce que la cible n’est autre que les multinationales, ces « zones à défendre » du capitalisme. Qui s’indigne en effet de cette « écologie punitive » ? Le patronat, les constructeurs automobiles, le lobby pétrolier, le secteur de la chimie… ceux qui n’ont jamais été mis à contribution pour les dégâts qu’ils ont occasionnés. Sous couvert de « responsabilisation », il s’agit de défendre un microcosme de privilèges jamais remis en cause, de pouvoir continuer à piller et à polluer sans vergogne. Directeur de la rédaction du Figaro magazine, G. Roquette résumait la Convention citoyenne pour le climat, qui n’est pourtant qu’un réel enfumage : « Un interminable catalogue de contraintes, d’obligations, d’interdictions, de sanctions et de taxes en tout genre. L’écologie punitive dans toute sa splendeur !!! » Alors que l’imposture du développement durable n’a accouché au contraire, depuis trente ans, que de législations peu contraignantes, de « chartes éthiques » sans engagement réel et de rares condamnations, avec par contre d’alléchantes incitations financières ; le leitmotiv étant de faire confiance au marché, de surfer sur la bonne volonté des rapaces… qui savent utiliser le chantage à l’emploi ou à la délocalisation, et contourner les lois nationales ou les cours de justice.
On aimerait que cette aversion pour la sanction s’applique aussi aux employés licenciés à la moindre faute, aux automobilistes verbalisés à la première négligence, aux bénéficiaires de minimas sociaux assimilés à des fraudeurs systématiques, aux citoyens lambdas pénalisés à la plus petite entorse aux procédures administratives... Mais il semblerait que la bienveillance, la mansuétude ou le discernement soient réservés aux puissants, la sévérité, l’intolérance et la rigueur aux « gens de rien ». Vous vous annoncez favorable « au dialogue, à la concertation ». C’est aussi ce que souhaiteraient les manifestants lorsqu’ils revendiquent de la dignité, des libertés, des droits, dont celui de vivre dans un « environnement » sain. Or en guise d’écoute, c’est la brutalité de la répression policière qu’ils reçoivent.
L’écologie à laquelle vous croyez, c’est l’écologie de proximité… qui évite de penser globalement, c’est l’écologie technocratique qui enterre l’écologie radicale et pourrait devenir totalitaire pour sauver ce qui peut encore l’être. C’est l’écologie « politiquement correcte », consensuelle, qui évacue les intérêts antagonistes des classes sociales, celle des petits gestes quotidiens auxquels s’astreignent les « bons citoyens » (de préférence ultra-connectés) pendant que se poursuivent les « purges » des navires en haute mer qui ont un impact majeur sur la biodiversité marine et les fonctions écologiques de l’océan. C’est celle qui fait croire que les efforts conjoints du capitalisme et de l’État vont résoudre la question écologique ; celle du développement durable à propos duquel L. Schweitzer, ex-PDG de Renault, reconnaissait qu’il n’était « ni une utopie ni même une contestation, mais la condition de survie de l’économie de marché » ! Une écologie compatible avec le soutien sans faille à l’aéronautique, au tourisme ou à l’automobile, sous couvert de « relance verte ».
Vous ne pouvez ignorer que les contraintes mises en évidence par l’écologie sont rigoureusement incompatibles avec les exigences du capitalisme, notamment l’opposition irréductible entre le temps long des processus biophysiques et la rentabilité à court terme. Non seulement ce système ne peut donc offrir la moindre solution, mais il constitue le cœur même du problème, puisqu’il exige une croissance continue ; or une croissance illimitée – même verte (ce qui est une imposture) – dans un monde limité est strictement impossible. De plus, la croissance ne se réalise qu’à la condition d’en faire porter le poids et le prix sur la nature, les conditions de travail des salariés, la santé des consommateurs et les générations futures. Et le discours autour d’une prétendue dématérialisation de l’économie est un leurre qu’avouent eux-mêmes beaucoup de partisans du numérique. Vous n’ignorez rien de cette réalité ; vous placez seulement – sans doute au nom d’un service rendu à la nation – vos ambitions personnelles au-dessus d’un « intérêt général » : le maintien des conditions d’habitabilité de la planète.
Le refus, collectif mais surtout des « élites », d’assumer les conséquences de ses actes, le déni consternant des réalités géophysiques de la Terre, le prélèvement des « ressources » plus rapide que le rythme de leur renouvellement ont rendu insoutenables nos modes de vie, ont conduit l’humanité à dépasser de nombreuses limites de la planète jusqu’à atteindre des « points de basculement », prélude à un effondrement dont nul ne sait ce qui peut émerger. Le seul espoir de maintenir les conditions d’une vie décente sur la planète est l’anéantissement du capitalisme. Garant de ce système en tant que Premier ministre, vous constituez un obstacle non négligeable à l’émancipation de l’humanité, et même à sa seule survie. Ce qui devrait vous dissuader d’asséner des leçons.
« Une écologie punitive et décroissante, une écologie moralisatrice voire sectaire qui ont beaucoup nui et continuent de desservir la cause », dites-vous. Coluche aurait sans doute glissé : « Quand on n’a que ça à dire, on devrait fermer sa gueule » !
Jean-Pierre Tertrais, août 2020
PAR : Jean-Pierre Tertrais
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1 |
le 5 octobre 2020 22:09:06 par Luisa |
La Terre est devenue l’annexe de l’enfer ...
Un très Grand MERCI à Vous Monsieur !