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Arts et Spectacles
par Evelyne Trân • le 27 janvier 2020
Poètes ? Deux papiers...
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A quoi sert la poésie ? Une lettre de Monsieur A. Ejjoud, poète marocain à Vincent Jarry, Directeur de « Rue des Poètes »
Irhoud, le 30 – 07 – o1
Cher Vincent Jarry,
A quoi sert la poésie ?
La dernière fois que cette miséreuse question m’a été lancée dans la figure, c’était au consulat de France, à Agadir, lorsque je me suis présenté pour demander un visa de quelques jours pour la France à l’aimable invitation de votre association « Poèmes en Gros & ½ Gros ».
Il n’y a que l’argent qui peut servir non pas la poésie et, pour avoir un visa pour le Pays de Baudelaire, il faut être riche. Poète ? Ils s’en foutent : le visa m’a été refusé.
Quand j’avais sept ans et pour arriver à l’école de mon village reculé, je devais faire neuf kilomètres chaque matin sur un âne. Nos instituteurs étaient plutôt des bourreaux que des éducateurs, ils punissaient avec, et surtout, sans raison. Quand mes deux frères plus jeunes ont atteint l’âge de l’école, nous étions trois à monter sur le dos du même âne et faire le même trajet. A midi, nous mangions du pain et du thé froid. Mon père, qui a servi dans l’armée française (et qui a été contraint de la quitter avec une invalidité sans rien avoir comme indemnité) avait gardé un tempérament militaire et il essayait de l’appliquer, à sa façon, sur ses enfants. Lorsque les vacances arrivaient, les travaux les plus pénibles nous attendaient dans les champs.
Dans une enfance, qu’elle soit douce ou amère, ou ni l’autre ni l’autre, peut-on imaginer une place à la poésie ? et que peut la poésie dans une situation régie par une condition aussi mystérieuse que l’enfance ?
L’enfant fragile et sensible que j’étais, pensait toujours qu’il y avait au-delà de la misère un autre monde plein de beauté et de marches de splendeurs et de joies : il avait une certitude presque totale de l’existence de ce monde, les séances de lecture à l’école l’emmenait pour un voyage différent, surtout quand il s’agissait de poésie, et, bien qu’il ne comprenait pas tout ce qu’il lisait, il a commencé à avoir cette envie bizarre qui le poussait à l’écart de ses frères pour lire Albouhtouri et rêver de son monde à lui qui s’étendait à des horizons infinis. Il lui arrivait, quelques fois, d’oublier le fardeau quotidien, de s’enfuir, de se sentir plus grand et de voir sa situation d’en haut, même si ce n’était que pour que quelques instants. De là, a commencé, une longue compagnie avec la poésie et qui n’a jamais cessé depuis.
Devenant adulte, j’ai gardé sans le savoir, une vision de l’existence ravivée par le sentiment de l’« à-quoi-bon », et lorsque j’ai écrit mes premiers poèmes, on m’a fait remarquer le côté splénétique dominant dans ce que j’écris. L’écriture serait-elle la continuation de l’enfance par d’autres formes ? Je ne sais pas, mais moi, je ne pense pas à tout cela en écrivant, je me contente seulement d’errer dans l’univers magique des mots.
Il m’arrive, quand le plaisir de m’assurer que le vin est bien le « breuvage éternel », s’offre à moi, de penser à Khayyâm qui, à travers la poésie, a essayé de capter la lumière, d’y nager à son extrême profondeur et, puisqu’il était en perpétuel désaccord avec la vie, il l’a « répudiée » et a « épousé la fille de la vigne ». Afin de vivre sa poésie en elle sous d’autres formes, il la vivait jusqu’à l’enivrement. Comme faisaient les soufis. Tant d’éléments nourrissent le désaccord : l’ennui de cette farce de tous les jours, le vide insoutenable, la sécheresse des instants trop lourds… Ainsi la poésie, pour Khayyâm et ses amis, devient le refuge qui protège de la folie, devient le silence profond et vertigineux où l’âme retrouve son ardeur et ses « Illuminations », où le poète devient maître du silence, exactement comme l’était Rimbaud, « c’est trop beau, trop ! Gardons notre silence » disait-il.
A quoi sert la poésie ? Ou encore que peut faire la poésie face à la misère du monde ?
Je pense que sans la poésie, le monde sera en face de deux misères : la misère du monde et la misère du monde sans la poésie.
Je ne sais pas, cher Vincent Jarry, pourquoi ma lettre a pris cette forme. Je voulais seulement te dire merci. Comment exprimer ce qui est simple dans un monde loin d’être intelligible ? … Je veux aussi te dire bravo pour la » Rue des Poètes » qui, de ce coin reculé, grâce à notre ami Gérard Muth, m’a permis des belles rencontres avec des gens formidables : G. Jafeu, M.P. Sandrin, W. Lambersy, V. Jarry…
Avec mes amitiés
A. Ejjoud.
Nota de Vincent Jarry :
Omar Khayyam, poète du XII° ou XIII° siècle persan, grand algébriste, pré-rabelaisien a été interdit dans son pays d’origine, l’Iran, de 1978 à 2.000 ou 2.001, ce qui démontre bien à quoi sert le poète : à démontrer par l’absurde la fragilité et donc la férocité aveugle des dictatures, même si elles se prétendent douces.
Où se niche donc la poésie ?
Petite réflexion intemporelle telle une goutte d’eau au dos d’une cuillère
Nous aurions fort maille à partie si notre grosse tête pensante décidait de donner la parole à tous les continents qui constituent notre corps.
Les chemins de communication sont innombrables, certains sont visibles, d’autres pas, mais machina ex machina, il faut bien reconnaitre que ce sont la tête et le ventre qui s’arrogent les pleins pouvoirs. Comment dissimuler notre impatience d’ouïr que les mains et les pieds ont beau fébrilement, de concert demander la voix au chapitre, vu qu’ils sont si dépendants du moteur tronc, on oublie que viscéralement, en réalité, ils font partie de la sphère la plus spirituelle de notre corps.
Ce sont les peintres qui ont su attirer notre attention sur la capacité d’expression de ces membres, les pieds et les mains en les traitant comme des visages à part entière.
Quelle politique pour notre corps sinon celle de ne pas s’enorgueillir de résister aux vents et marées. Quand il ne reste rien à un homme, il lui reste dit-on, les pieds et les mains ou bien ? La peau, oui cet organe malicieux, froid ou chaud ou tempéré, toile à elle seule d’une nudité ressentie à travers tous ses pores.
J’exagère, mais comment ne pas réagir à ces opinions concernant les minorités silencieuses. J’entends sans cesse dire : nous ne faisons pas partie de la majorité, la poésie n’intéresse qu’un infime pourcentage de l’humanité. Les médecins seront d’accord pour dire que si nous prêtons de l’attention à l’orteil ou au petit doigt accidentés, c’est parce que leur infection peut paralyser le corps entier.
L’homme n’en est qu’au début de l’exploration de tous ses organes qui sont eux-mêmes en relation avec le soleil, la nuit, le jour, enfin pour résumer avec la création.
La poésie est un fait de nature, c’est un beau paysage qui nous éblouit, c’est une jolie voix qui nous émeut, c’est à travers un rayon de soleil, l’étonnement de s’éprouver tout à coup très proche d’une fourmi porteuse d’une miette de pain, s’enfouir sous une feuille. Et vous voudriez nous priver de cette vision sous prétexte que la terre tourne et nous avec. Mais ce minimal végétal, ce froid, ce chaud qui affleurent la largeur d’un poignet, c’est une richesse éprouvée qui vaut bien mille tempêtes dans un verre d’eau.
C’est étrange, ce chaud et ce froid que nous n’entendons pas à travers les écrans de télévision. Que dit l’homme de si important qu’il ait besoin d’installer partout des miroirs chancelants qui brouillent sa piste ?
A force de se croire le nombril de l’univers, l’homme ne s’entend plus, il devient sourd et aveugle à son environnement. Que nous disent les montagnes, les abeilles en écho aux paroles et gesticulations des hommes ?
Donnant, donné. Les relations entre hommes ne seraient que des rapports de marchandage, il faut lutter pour vivre. Alors supprimons tous ces arbres sauvages, au bord des routes qui donnent encore des fruits sans que nous les ayons sommés d’être. Vendons nos places au soleil, vendons la terre, vendons-nous ! Somme toute, restera le désert dont personne ne veut, et puis la faim, la soif et tout recommencera tandis que les océans et les montagnes parleront poésie à notre place. Quel rêve ! Où sont les spectateurs ?
Paris, le 27 Janvier 2020
Evelyne Trân
Irhoud, le 30 – 07 – o1
Cher Vincent Jarry,
A quoi sert la poésie ?
La dernière fois que cette miséreuse question m’a été lancée dans la figure, c’était au consulat de France, à Agadir, lorsque je me suis présenté pour demander un visa de quelques jours pour la France à l’aimable invitation de votre association « Poèmes en Gros & ½ Gros ».
Il n’y a que l’argent qui peut servir non pas la poésie et, pour avoir un visa pour le Pays de Baudelaire, il faut être riche. Poète ? Ils s’en foutent : le visa m’a été refusé.
Quand j’avais sept ans et pour arriver à l’école de mon village reculé, je devais faire neuf kilomètres chaque matin sur un âne. Nos instituteurs étaient plutôt des bourreaux que des éducateurs, ils punissaient avec, et surtout, sans raison. Quand mes deux frères plus jeunes ont atteint l’âge de l’école, nous étions trois à monter sur le dos du même âne et faire le même trajet. A midi, nous mangions du pain et du thé froid. Mon père, qui a servi dans l’armée française (et qui a été contraint de la quitter avec une invalidité sans rien avoir comme indemnité) avait gardé un tempérament militaire et il essayait de l’appliquer, à sa façon, sur ses enfants. Lorsque les vacances arrivaient, les travaux les plus pénibles nous attendaient dans les champs.
Dans une enfance, qu’elle soit douce ou amère, ou ni l’autre ni l’autre, peut-on imaginer une place à la poésie ? et que peut la poésie dans une situation régie par une condition aussi mystérieuse que l’enfance ?
L’enfant fragile et sensible que j’étais, pensait toujours qu’il y avait au-delà de la misère un autre monde plein de beauté et de marches de splendeurs et de joies : il avait une certitude presque totale de l’existence de ce monde, les séances de lecture à l’école l’emmenait pour un voyage différent, surtout quand il s’agissait de poésie, et, bien qu’il ne comprenait pas tout ce qu’il lisait, il a commencé à avoir cette envie bizarre qui le poussait à l’écart de ses frères pour lire Albouhtouri et rêver de son monde à lui qui s’étendait à des horizons infinis. Il lui arrivait, quelques fois, d’oublier le fardeau quotidien, de s’enfuir, de se sentir plus grand et de voir sa situation d’en haut, même si ce n’était que pour que quelques instants. De là, a commencé, une longue compagnie avec la poésie et qui n’a jamais cessé depuis.
Devenant adulte, j’ai gardé sans le savoir, une vision de l’existence ravivée par le sentiment de l’« à-quoi-bon », et lorsque j’ai écrit mes premiers poèmes, on m’a fait remarquer le côté splénétique dominant dans ce que j’écris. L’écriture serait-elle la continuation de l’enfance par d’autres formes ? Je ne sais pas, mais moi, je ne pense pas à tout cela en écrivant, je me contente seulement d’errer dans l’univers magique des mots.
Il m’arrive, quand le plaisir de m’assurer que le vin est bien le « breuvage éternel », s’offre à moi, de penser à Khayyâm qui, à travers la poésie, a essayé de capter la lumière, d’y nager à son extrême profondeur et, puisqu’il était en perpétuel désaccord avec la vie, il l’a « répudiée » et a « épousé la fille de la vigne ». Afin de vivre sa poésie en elle sous d’autres formes, il la vivait jusqu’à l’enivrement. Comme faisaient les soufis. Tant d’éléments nourrissent le désaccord : l’ennui de cette farce de tous les jours, le vide insoutenable, la sécheresse des instants trop lourds… Ainsi la poésie, pour Khayyâm et ses amis, devient le refuge qui protège de la folie, devient le silence profond et vertigineux où l’âme retrouve son ardeur et ses « Illuminations », où le poète devient maître du silence, exactement comme l’était Rimbaud, « c’est trop beau, trop ! Gardons notre silence » disait-il.
A quoi sert la poésie ? Ou encore que peut faire la poésie face à la misère du monde ?
Je pense que sans la poésie, le monde sera en face de deux misères : la misère du monde et la misère du monde sans la poésie.
Je ne sais pas, cher Vincent Jarry, pourquoi ma lettre a pris cette forme. Je voulais seulement te dire merci. Comment exprimer ce qui est simple dans un monde loin d’être intelligible ? … Je veux aussi te dire bravo pour la » Rue des Poètes » qui, de ce coin reculé, grâce à notre ami Gérard Muth, m’a permis des belles rencontres avec des gens formidables : G. Jafeu, M.P. Sandrin, W. Lambersy, V. Jarry…
Avec mes amitiés
A. Ejjoud.
Nota de Vincent Jarry :
Omar Khayyam, poète du XII° ou XIII° siècle persan, grand algébriste, pré-rabelaisien a été interdit dans son pays d’origine, l’Iran, de 1978 à 2.000 ou 2.001, ce qui démontre bien à quoi sert le poète : à démontrer par l’absurde la fragilité et donc la férocité aveugle des dictatures, même si elles se prétendent douces.
Où se niche donc la poésie ?
Petite réflexion intemporelle telle une goutte d’eau au dos d’une cuillère
Nous aurions fort maille à partie si notre grosse tête pensante décidait de donner la parole à tous les continents qui constituent notre corps.
Les chemins de communication sont innombrables, certains sont visibles, d’autres pas, mais machina ex machina, il faut bien reconnaitre que ce sont la tête et le ventre qui s’arrogent les pleins pouvoirs. Comment dissimuler notre impatience d’ouïr que les mains et les pieds ont beau fébrilement, de concert demander la voix au chapitre, vu qu’ils sont si dépendants du moteur tronc, on oublie que viscéralement, en réalité, ils font partie de la sphère la plus spirituelle de notre corps.
Ce sont les peintres qui ont su attirer notre attention sur la capacité d’expression de ces membres, les pieds et les mains en les traitant comme des visages à part entière.
Quelle politique pour notre corps sinon celle de ne pas s’enorgueillir de résister aux vents et marées. Quand il ne reste rien à un homme, il lui reste dit-on, les pieds et les mains ou bien ? La peau, oui cet organe malicieux, froid ou chaud ou tempéré, toile à elle seule d’une nudité ressentie à travers tous ses pores.
J’exagère, mais comment ne pas réagir à ces opinions concernant les minorités silencieuses. J’entends sans cesse dire : nous ne faisons pas partie de la majorité, la poésie n’intéresse qu’un infime pourcentage de l’humanité. Les médecins seront d’accord pour dire que si nous prêtons de l’attention à l’orteil ou au petit doigt accidentés, c’est parce que leur infection peut paralyser le corps entier.
L’homme n’en est qu’au début de l’exploration de tous ses organes qui sont eux-mêmes en relation avec le soleil, la nuit, le jour, enfin pour résumer avec la création.
La poésie est un fait de nature, c’est un beau paysage qui nous éblouit, c’est une jolie voix qui nous émeut, c’est à travers un rayon de soleil, l’étonnement de s’éprouver tout à coup très proche d’une fourmi porteuse d’une miette de pain, s’enfouir sous une feuille. Et vous voudriez nous priver de cette vision sous prétexte que la terre tourne et nous avec. Mais ce minimal végétal, ce froid, ce chaud qui affleurent la largeur d’un poignet, c’est une richesse éprouvée qui vaut bien mille tempêtes dans un verre d’eau.
C’est étrange, ce chaud et ce froid que nous n’entendons pas à travers les écrans de télévision. Que dit l’homme de si important qu’il ait besoin d’installer partout des miroirs chancelants qui brouillent sa piste ?
A force de se croire le nombril de l’univers, l’homme ne s’entend plus, il devient sourd et aveugle à son environnement. Que nous disent les montagnes, les abeilles en écho aux paroles et gesticulations des hommes ?
Donnant, donné. Les relations entre hommes ne seraient que des rapports de marchandage, il faut lutter pour vivre. Alors supprimons tous ces arbres sauvages, au bord des routes qui donnent encore des fruits sans que nous les ayons sommés d’être. Vendons nos places au soleil, vendons la terre, vendons-nous ! Somme toute, restera le désert dont personne ne veut, et puis la faim, la soif et tout recommencera tandis que les océans et les montagnes parleront poésie à notre place. Quel rêve ! Où sont les spectateurs ?
Paris, le 27 Janvier 2020
Evelyne Trân
PAR : Evelyne Trân
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Entendre le temps qui pousse… de Pascale LOCQUIN
Henri CALET, un doux anarchiste
Le brigadier est mat en trois coups
Même le brigadier a une mère
Le brigadier, Emile, et l’autre...
On est par trop sérieux quand on est brigadier
Le fauteuil d’artiste de Frédéric ZEITOUN
"Quand des blancs qui ne se connaissent pas se mettent à parler entre eux, il y a un nègre qui va mourir." pense le brigadier...
Nelly et Monsieur Brigadier
"La boule huit en coin avec effet rétro pour me placer !" annonce le brigadier
Le brigadier est amoureux
Le brigadier, un arbre mort. Ça fait réfléchir...
Le brigadier préfère les madeleines aux financiers
Pour le brigadier, pas de doute, l’incertitude est une valeur sûre. En principe...
Fa, ré, fa, ré joue le brigadier sur son clavier
Nouvelles de temps de guerre
Le nez rouge du brigadier
Le brigadier se voyait déjà...
Le massage n’est pas pour le brigadier
C’est les autres... dont le brigadier
Une table pour le brigadier
Brigadier, aimez-vous Brahms ?... ou Sagan ?...
Dans le bistrot d’Alphonse, le brigadier paye un verre.
Le poète des rues
Le flûtiste et la colombe.
Le brigadier se "ballade" à Paris
Témoignage d’une passagère d’autobus
Le brigadier se met à table
le brigadier va piano
Quoi ! Quoi ! quoisse le brigadier fou.
Le brigadier qui ne dit mots, passant...
Le brigadier, festivalier en Avignon
Le brigadier se fait faire la lecture
REPAS DE SOUTIEN AU PROCES DE TRAN TO NGA
Un spectacle musical pour le brigadier
Mais de quoi as-tu l’air ?
Quand le brigadier "rewind" la dernière bande
Le Brigadier connait-il Nora ?
Le brigadier se souvient de ce temps-là
Marguerite et le brigadier
Belle rencontre pour le brigadier
La femme est l’avenir du brigadier
S’accompagnant d’un doigt ou quelques doigts le brigadier se clowne.
Assieds-toi, brigadier !
Le brigadier au chevet
Le brigadier et le sourire noir de Mémé
Ne Bruscon pas le brigadier...
Le nouveau brigadier
Brigadier, écoute... Elles te parlent...
AY Brigadier !
Le brigadier témoin de l’Histoire
Joséphine BAKER. Les dernières années. La renaissance d’une étoile.
Le brigadier nous dit qu’au milieu coule une frontière
Un livre : Correspondance avec la Mouette Anton TCHEKHOV et Lydia MIZINOVA
En hiver, le brigadier songe à une mouette en avril
Le Brigadier à perdre la raison
Le brigadier aux violons
Joséphine Baker racontée par un de ses enfants
Le brigadier et lui
Un brigadier slave
Le brigadier sur l’autre rive
Brigadier, un double !
Le brigadier, en attendant Antigone...
Agent orange : un film.
Le brigadier connaît la chanson
La passeggiata del brigadiere a Roma, città aperta
Conférence de soutien à Tran To Nga
Le brigadier a l’âme slave
Le soleil n’a pas encore disparu !
Des nouvelles du procès de Tran To Nga contre les fabricants de l’agent orange
Le brigadier en ce début d’octobre
Le brigadier rencontre Romain Gary
Le brigadier rencontre Camus
Le brigadier du temps perdu
La rentrée du brigadier
Exposition sur l’agent orange
Affect ou éthique?
Le vigile et la flûte traversière
Le brigadier a-t-il son pass ?...
Poupée en chiffons
Quand le brigadier rencontre Proudhon et Courbet
Bon anniversaire Francis Blanche !
Le brigadier toujours en Avignon
le brigadier festivalier
Le brigadier en Avignon
Le brigadier pour ce premier jour d’été
le brigadier de la mi-juin
Le brigadier frappe à la porte du ML
Ecoutez, c’est le brigadier...
Les voilà, Les trois coups du brigadier
Procès intenté par Madame TRAN To Nga à l’encontre de 14 firmes américaines.
L’agent orange-dioxine. Le tribunal d’Evry fait la sourde oreille
V’la le brigadier qui va reprendre du service
???? Cascade d’un poème ou quelle mouche te pique ????
L’agent orange-dioxine
Histoire d’un maillon faible
Vive les librairies d’occasion !
De Déborah Levy à George Orwell
Le printemps de la poésie
Les chants révolutionnaires d’EUGENE POTTIER (1816-1887)
Ma Chère Montagne
Ma terre empoisonnée de Tran To Nga
Les Grandes Traversées d’Helen JUREN
Brigadier même pas mort !
D’Anne Sylvestre à Camus
L’agent orange-dioxine : Résumé du procès qui a débuté ce 25 Janvier 2021 à Evry.
L’agent orange-dioxine
Passé, présent, futur
Pour qui vous prenez-vous ?
Bas les masques !
Les mots parlent d’eux mêmes
En attendant Godot... Isabelle Sprung.
Histoire de bus.
le brigadier tapera trois fois
Un biptyque
Elle
A propos de l’aquoibonisme
Bol d’air
Le théâtre de la vie
Double visite du brigadier
Une fantaisie du brigadier
le brigadier et la SORCIERE
Le brigadier néanmoins
Le retour du brigadier libertaire
Connaissiez-vous Henry Pessar ?
11e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Liberté j’écris ton nom
Connaissez-vous Velibor Čolić ?
Le RAT-roseur Rat-rosé...
10e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
9e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Mais ne dîtes pas n’importe quoi !
8e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Fourmi humaine
Sans visage
7e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Tous ces visages qui disent « ouf »
6e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
5e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
COVID 19 encore et encore
4e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
En relisant Baudelaire
3e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Suite des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Qui se cache derrière son masque ?
CAMUS
Avoir ou ne pas avoir le coronavirus
Confidence de femme
Brigadier !
Candide, le brigadier ?
Le brigadier prend le Tramway, correspondance à Mouette
Et revoilà le brigadier !
L’essence d’un individu c’est son intimité
Le brigadier est de retour...
Je m’appelle Erik Satie, comme tout le monde
Et pendant ce temps Simone veille
A voir, deux spectacles au féminin
deux pièces (de théâtre) à visiter au 36, rue des Mathurins
du théâtre en ce début d’année : Saigon / Paris Aller Simple
aux vagues d’un poète
Spectacles de résistance à découvrir au théâtre
SPECTACLES AU FEMININ A LA MANUFACTURE DES ABBESSES
Nouveaux coups paisibles du brigadier : BERLIN 33
Au théâtre : POINTS DE NON-RETOUR. QUAIS DE SEINE
théâtre : l’analphabète
Au théâtre "Change me"
c’est encore du théâtre : Killing robots
Théâtre : QUAIS DE SEINE
théâtre : Et là-haut les oiseaux
Théâtre : TANT QU’IL Y AURA DES COQUELICOTS...
théâtre : l’ingénu de Voltaire
théâtre : Les témoins
Théâtre : un sac de billes
théâtre : Pour un oui ou pour un non
Les coups paisibles du brigadier. Chroniques théâtrales de septembre 2019
Au bord du trottoir
Histoire d’un poète
au poète orgueilleux
La brodeuse
Dans quel monde vivons-nous ?
Portrait d’hybride
Tout va bien
La lutte
Page 57
théâtre : Sang négrier
Théâtre : CROCODILES -L’HISTOIRE VRAIE D’UN JEUNE EN EXIL
Théâtre : Europa (Esperanza)
Théâtre : Léo et Lui
théâtre : THIAROYE - POINT DE NON RETOUR
"Pas pleurer"
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