Dans un sale État > Terrorisme d’Etat
Dans un sale État
par Bernard • le 20 mars 2016
Terrorisme d’Etat
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Le gouvernement français a beaucoup de chance : Le Côté lumineux de la Force vient de marquer un point dans son combat contre le Côté obscur. Les Jedi belges ont capturé le Sith recherché par toutes les polices jedi de la République galactique. L’Empire galactique de Daesh est mené au score… Manuel Skywalker Valls, disciple de Michel Obi-Wan Rocard, se frotte les mains… Les médias français tiennent là un sujet capable de remplir nombre de journaux écrits, radios ou télévisés.
Le gouvernement français a beaucoup de chance… La lutte contre la loi El Khomry passe au second plan des discussions… Le Côté répressif de la Force - si visible le jeudi 17 mars - peut continuer son sale boulot, la grande majorité des « mediaspectateurs » a l’attention tournée vers Bruges, sa prison et son nouvel embastillé.
Pendant ce temps, le gouvernement lance à ses opposants un message dépourvu de toute ambiguïté : sûr de son bon droit gagné par les urnes, il ne se laissera pas manœuvrer par la jeunesse qui ose lui faire face. Effacé, le syndrome Malik Oussekine…
Malik Oussekine, jeune étudiant franco-algérien de 22 ans, aimait le jazz. Le 6 décembre 1986, des heurts opposaient étudiants hostiles au projet de loi Devaquet (Le projet prévoyait notamment la sélection des étudiants à l’entrée des universités qui seraient mises en concurrence) aux forces du pouvoir dont une redoutable équipe de voltigeurs motocyclistes (une moto tout terrain, un pilote, un matraqueur pour « nettoyer » les rues après les manifestations...) Ce soir du 6 décembre… témoignage de Paul B. qui rentrait chez lui :« Je me suis dépêché de rentrer et il y avait ce jeune garçon que je ne connaissais pas qui essayait de rentrer ici. Donc j’ai laissé la porte ouverte parce que j’avais composé le code. Et j’ai essayé de refermer la porte aux CRS mais je n’ai pas été assez fort. […] Ils sont rentrés ici, ils l’ont frappé. […] Ils se sont précipités sur le type réfugié au fond et l’ont frappé avec une violence incroyable. Il est tombé, ils ont continué à frapper à coups de matraque et de pieds dans le ventre et dans le dos. »
Une fois leur besogne achevée, les voltigeurs s’en allèrent sans se soucier de l’état de Malik Oussekine. Le Samu dépêché sur place et les soins qui lui seront administrés à l’Hôpital Cochin n’y feront rien.
Officiellement, le décès de Malik « aurait été dû à une décompensation cardiaque créée par l’état pathologique rénal antérieur du patient ». Donc Malik avait commis l’erreur d’être au mauvais endroit au mauvais moment, d’avoir une tête de beur et d’étudiant, de sortir le soir pour écouter du jazz avec une insuffisance rénale.
Le mot de la fin pour Robert Pandraud, sinistre délégué auprès du ministre de l’intérieur (Charles Pasqua), chargé de la sécurité : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais d’aller faire le con dans les manifestations. »
Malgré ces dénégations, le Pouvoir, les gouvernements suivants ont fait profil bas en voyant chaque nouvelle manifestation de la jeunesse en colère comme un risque de reproduction de ce que l’on doit appeler un assassinat par les forces du pouvoir.
Et l’ombre de Malik a plané lorsque Cyril Ferez, syndicaliste à Sud, fut piétiné par les forces de l’ordre en marge d’une manifestation anti CPE le 18 mars 2 006.
La comparaison a été reprise lors de la mort de Rémi Fraisse, tué par les forces du pouvoir sur le site du barrage de Sivens le 26 octobre 2 014. Entraînant l’interdiction des grenades offensives « dans les opérations de maintien de l’ordre ».
La mort de Rémi Fraisse ayant, elle-même, rappelé celle de Vital Michalon le 31 juillet 1977, à Creys-Malville sur le site du surrégénérateur « Superphénix », d’un tir tendu de grenade offensive.
Et quand les forces du Pouvoir ne tuent pas, elles estropient, matraquent, gazent, arrêtent.
Ce n’était pas du Léo Malet, le brouillard au Pont de Tolbiac le 17 mars dernier… surement les nappes de gaz lacrymogènes dues à l’action musclée des CRS à la fac de Tolbiac.
Salomé, 19 ans, a assisté à la scène à l’extérieur : « Les lumières bleues des camions de police étaient impressionnantes. J’ai vu des gens tomber par terre. Certains ont été gazés. Des policiers donnaient des coups de pied. Je n’avais jamais vu ça. Heureusement, un copain m’a attrapée et m’a dit de courir avec lui. Je craignais de tomber comme ça peut arriver lors de ces mouvements de foule. Le mot n’est pas trop fort : je suis traumatisée. »
Gaël, l’un des étudiants analyse cette opération policière comme une volonté d’empêcher le mouvement de se renforcer et grandir. Il poursuit et fait référence aux incidents qui ont eu lieu à Rennes, Bordeaux ou à Strasbourg : « Il y a une volonté politique de répression administrative et policière. La mobilisation grossit. »
Un autre participant tient à souligner que les étudiants violentés la veille sont « normaux », pas des « totos fêlés ». Il explique que la réponse policière a été disproportionnée au regard du calme des manifestants en face : « Certains ont été chargés alors qu’il n’y avait pas de réelle provocation. Tout juste des invectives. Mais j’imagine que les boucliers protègent contre ça. J’ai vu des jeunes traînés sur le sol, une fille pleurer après avoir été gazée. Il y avait aussi un vieux qui passait par là et qui a pris du gaz. Ces violences sont graves et exceptionnelles. »
Pendant une heure, les policiers ont aussi poursuivi ceux qui essayaient de s’échapper sur la dalle des Olympiades, juste en face de l’université.
Denis Merklen, professeur de sociologie à Paris 3, confirme ces récits. Il a assisté à ces scènes qu’il qualifie de « répression violente » alors qu’il passait juste aux abords de l’université. Il décrit un dispositif policier très important et raconte avoir vu un jeune homme se faire tabasser à coup de genoux ou parle encore de cette fille qui saignait abondamment de la tête et qui criait. Il raconte aussi les insultes proférées par certains policiers. L’universitaire précise que ce déchaînement de violences l’a surpris car de l’autre côté, dit-il, « à aucun moment il n’y a eu de comportements agressifs contre la fac, les policiers ou le mobilier urbain. On n’avait pas l’impression d’avoir affaire à des militants aguerris. Certains criaient juste “police partout, justice nulle part”. Rien de bien méchant ». (Source de ces différents témoignages : Mediapart.fr)
Dans d’autres circonstances, de tels témoignages auraient immanquablement fait penser à des actes de terrorisme.
Il est donc juste de dire alors que nous assistons là à un terrorisme d’Etat commandité par un gouvernement autoritaire qui se donne tous les moyens pour asservir « son » peuple.
Le gouvernement français a beaucoup de chance… La lutte contre la loi El Khomry passe au second plan des discussions… Le Côté répressif de la Force - si visible le jeudi 17 mars - peut continuer son sale boulot, la grande majorité des « mediaspectateurs » a l’attention tournée vers Bruges, sa prison et son nouvel embastillé.
Pendant ce temps, le gouvernement lance à ses opposants un message dépourvu de toute ambiguïté : sûr de son bon droit gagné par les urnes, il ne se laissera pas manœuvrer par la jeunesse qui ose lui faire face. Effacé, le syndrome Malik Oussekine…
Malik Oussekine, jeune étudiant franco-algérien de 22 ans, aimait le jazz. Le 6 décembre 1986, des heurts opposaient étudiants hostiles au projet de loi Devaquet (Le projet prévoyait notamment la sélection des étudiants à l’entrée des universités qui seraient mises en concurrence) aux forces du pouvoir dont une redoutable équipe de voltigeurs motocyclistes (une moto tout terrain, un pilote, un matraqueur pour « nettoyer » les rues après les manifestations...) Ce soir du 6 décembre… témoignage de Paul B. qui rentrait chez lui :« Je me suis dépêché de rentrer et il y avait ce jeune garçon que je ne connaissais pas qui essayait de rentrer ici. Donc j’ai laissé la porte ouverte parce que j’avais composé le code. Et j’ai essayé de refermer la porte aux CRS mais je n’ai pas été assez fort. […] Ils sont rentrés ici, ils l’ont frappé. […] Ils se sont précipités sur le type réfugié au fond et l’ont frappé avec une violence incroyable. Il est tombé, ils ont continué à frapper à coups de matraque et de pieds dans le ventre et dans le dos. »
Une fois leur besogne achevée, les voltigeurs s’en allèrent sans se soucier de l’état de Malik Oussekine. Le Samu dépêché sur place et les soins qui lui seront administrés à l’Hôpital Cochin n’y feront rien.
Officiellement, le décès de Malik « aurait été dû à une décompensation cardiaque créée par l’état pathologique rénal antérieur du patient ». Donc Malik avait commis l’erreur d’être au mauvais endroit au mauvais moment, d’avoir une tête de beur et d’étudiant, de sortir le soir pour écouter du jazz avec une insuffisance rénale.
Le mot de la fin pour Robert Pandraud, sinistre délégué auprès du ministre de l’intérieur (Charles Pasqua), chargé de la sécurité : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais d’aller faire le con dans les manifestations. »
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Et l’ombre de Malik a plané lorsque Cyril Ferez, syndicaliste à Sud, fut piétiné par les forces de l’ordre en marge d’une manifestation anti CPE le 18 mars 2 006.
La comparaison a été reprise lors de la mort de Rémi Fraisse, tué par les forces du pouvoir sur le site du barrage de Sivens le 26 octobre 2 014. Entraînant l’interdiction des grenades offensives « dans les opérations de maintien de l’ordre ».
La mort de Rémi Fraisse ayant, elle-même, rappelé celle de Vital Michalon le 31 juillet 1977, à Creys-Malville sur le site du surrégénérateur « Superphénix », d’un tir tendu de grenade offensive.
Et quand les forces du Pouvoir ne tuent pas, elles estropient, matraquent, gazent, arrêtent.
Ce n’était pas du Léo Malet, le brouillard au Pont de Tolbiac le 17 mars dernier… surement les nappes de gaz lacrymogènes dues à l’action musclée des CRS à la fac de Tolbiac.
Salomé, 19 ans, a assisté à la scène à l’extérieur : « Les lumières bleues des camions de police étaient impressionnantes. J’ai vu des gens tomber par terre. Certains ont été gazés. Des policiers donnaient des coups de pied. Je n’avais jamais vu ça. Heureusement, un copain m’a attrapée et m’a dit de courir avec lui. Je craignais de tomber comme ça peut arriver lors de ces mouvements de foule. Le mot n’est pas trop fort : je suis traumatisée. »
Gaël, l’un des étudiants analyse cette opération policière comme une volonté d’empêcher le mouvement de se renforcer et grandir. Il poursuit et fait référence aux incidents qui ont eu lieu à Rennes, Bordeaux ou à Strasbourg : « Il y a une volonté politique de répression administrative et policière. La mobilisation grossit. »
Un autre participant tient à souligner que les étudiants violentés la veille sont « normaux », pas des « totos fêlés ». Il explique que la réponse policière a été disproportionnée au regard du calme des manifestants en face : « Certains ont été chargés alors qu’il n’y avait pas de réelle provocation. Tout juste des invectives. Mais j’imagine que les boucliers protègent contre ça. J’ai vu des jeunes traînés sur le sol, une fille pleurer après avoir été gazée. Il y avait aussi un vieux qui passait par là et qui a pris du gaz. Ces violences sont graves et exceptionnelles. »
Pendant une heure, les policiers ont aussi poursuivi ceux qui essayaient de s’échapper sur la dalle des Olympiades, juste en face de l’université.
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PAR : Bernard
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Fusion ou confusion ?
Obrigado ?
Au pays de Mickey et Donald
"Contingent rebelle". Rencontre débat à Alès (30)
Les migrants, pions d’un vieux conflit de voisinage
Chadri Sdiri
Surement un sabotage du grand complot !!!
Un ennemi public arrêté cette nuit
... mais il faut que tu t’en ailles
L’amer de glace
La honte !
Pour "les mettre à l’abri" ?
Michelin se dégonfle
Gonflés les gus
Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
propos de haine ordinaire
Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
La lumière contre l’obscurantisme
Encore une régression sociale !
jusqu’où ?
Avenir irradieux ?
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
Complètement barge
Acquittée !
état de terrorisme. La bourse aux alibis
Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
Terrorisme légal
Et le Valls a mis le temps...
No comment !
Méfiance
Un réfugié parmi tant d’autres : Le caricaturiste bielorusse Denis Lopatin.
Et une [MA]c[R]onnerie de plus !
Vox populi...
Notre père qui êtes odieux.
Goaaaaal !
Actualité brûlante
Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
La musique qui marche au pas...
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Choisis ton camp, camarade !
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
L’noisavé
Alors, rat... compte !
Révoltée !
C’est pour ton bien
Usine d’aliénés
Prédateur Social
Fourrière pour tous
Maudits codes-barres
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
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1 |
le 23 mars 2016 09:20:53 par luc lefort |
" Les Jedi belges ont capturé le Sith recherché par toutes les polices jedi de la République galactique. L’Empire galactique de Daesh est mené au score..."
en belgique, depuis hier le score de daesh est à nouveau explosif...