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Chroniques du temps réel
par Bernard • le 12 février 2016
Maudits codes-barres
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D’habitude, il a toujours droit à un petit sourire lorsqu’il passe à cette caisse. Pas dragueur, le Riton, juste un petit peu baratineur. Rien à voir avec le gus juste devant lui, genre mastodonte au chariot bourré jusqu’à la cravate. Très moche, la cravate… De l’autre côté du tapis, dans sa cage, y a cette femme appliquée à son boulot de zombie de la grande distribution. Riton, manquant "un peu" de finesse l’a surnommée Charlotte à cause du gars à la petite moustache des Temps modernes. La première fois, elle lui a fait une grimace de mécontentement avant de jeter un coup d’œil inquiet vers le bidule de vidéosurveillance pendu au plafond…
Faut dire que dans la "consororie" (les caisses étant le plus souvent défendues par des frangines, on va éviter de parler de "confrérie"…) des hôtesses de caisse, on rappelle souvent cette méchante embrouille arrivée à une collègue : 14 juin 2010, Martine, une caissière avec 16 ans d’ancienneté dans sa boite est retrouvée dans un état comateux dans les toilettes de son Carrefour de Moulins. Elle avait été convoquée l’après-midi même par sa hiérarchie pour avoir salué le lundi de Pentecôte une salariée entre la pointeuse et sa prise de service. Tentative de suicide aux anxiolytiques… Elle s’en est sortie et a planté Carrefour aux prudhommes.
Alors Charlotte, elle courbe l’échine sous l’œil de Big Brother. Elle accepte les horaires qu’on lui donne, les jours fériés à bosser sans se plaindre, les clients qui ne la voient pas, les apprentis Lupin qu’elle voudrait ne pas alpaguer s’il n’y avait pas ce foutu œil pendu au plafond [note] . Sans parler des vigiles…
Riton, ce soir, il a juste des croquettes pour le greffier et un pack d’Adelscott aussi l’appoint est là, dans le creux de sa main. Riton voudrait pousser le mastodonte qui traîne à vider ses tonnes d’achats sur le tapis roulant. Pas un regard du type pour Charlotte. Difficile de faire attention à une simple esclave quand on vient d’appeler un correspondant sur son smartphone et qu’on parle sans se soucier de l’entourage… Charlotte, transparente, finit de scanner l’ensemble des articles, prend la carte de fidélité tendue au jugé. La carte en main, Charlotte fait une légère grimace…
En septembre 2012, Adélaïde, jeune étudiante à Amiens gagne sa vie (qu’elle avait déjà), le samedi, dans une cage estampillée Auchan à Péronne (Somme). Sa mère est venue faire quelques menus achats, pas grand-chose, dans ce supermarché. Elle a utilisé alors la carte de fidélité de sa fille pour bénéficier d’un bon d’achat de 10% sur sa facture d’une trentaine d’euros, soit l’équivalent de trois euros, une fortune… Pas de chance, cette carte est normalement réservée aux salariés du magasin, donc à Adélaïde seule. Et vlan, licenciement pour faute grave.
Riton, lui il paie en espèces. Pas de carte de fidélité, pas de carte bancaire traçabilité limitée mais pas simple. Riton pose son appoint dans la main tendue de Charlotte. Impossible pour elle de rater la valse du code-barres pour le pack de bières…
Il manquait 5,32 euros dans la caisse. Vanessa, 37 ans, handicapée à 80 % par une sclérose en plaques, caissière au supermarché Carrefour Market de Mézières-sur-Seine (Yvelines) a reçu un courrier lui annonçant son licenciement pour faute grave. Motif : le 22 décembre 2015, peu avant 20 heures, fin de journée, fatigue associée à la prise de ses médicaments costauds, elle n’a pas scanné un pack de bière d’une valeur de 5,02 euros ainsi que deux sacs en plastique de 15 centimes chacun. Soit un total de 5,32 euros. Sa hiérarchie l’accuse d’avoir volontairement fraudé. Après une mise à pied d’un mois, elle est licenciée. Finalement pour éviter la mauvaise pub, la direction nationale de Carrefour, qui dit avoir appris l’affaire par la presse, « regrette cet incident et recherche des solutions »… La direction du magasin, après l’avoir quasiment traitée de voleuse, propose à Vanessa sa réintégration dans l’entreprise.
Charlotte sourit à Riton qui pourrait être son arrière-grand-père. Un jour peut-être, Riton lui parlera du commerce d’avant. Quand on entrait dans une boutique, qu’on allait jusqu’au comptoir pour demander au vendeur ou à la vendeuse le produit désiré. Rien de plus ou presque. Et puis les capitalos ont regardé du côté des USA… A Memphis, en 1916, apparaît le premier self-service avec des marchandises déjà emballées, vantées par la publicité, la réclame, à portée de main des clients. Tu rentrais dans cette nasse pour acheter une bricole et hop, tu avais toutes ces marchandises qui te faisaient de l’œil comme les sirènes tentant de draguer ce va-en-guerre d’Ulysse. Riton se rappelle de l’arrivée en 1948 de ces foutus temples de la tentation dans une France qui s’était mise au jazz, au chewing gum et à la consommation malgré les cartes de rationnement toujours en vigueur.
Riton ne se décide pas à quitter le sourire fatigué de Charlotte. Il temporise, fait semblant d’avoir oublié un truc. Facile avec tous ces trucs à portée de main. Des chewing gum… Pas simple avec ses fausses dents. Derrière lui, un minot fourre discrètement un lot de "pâte à mâcher" dans sa poche.
Riton se rappelle avant, quand on pouvait acheter au détail. Avec l’arrivée des libres services, bonjour les quinze couches de plastoc autour des trucs toujours vendus en plus grand nombre que souhaité. Ou alors, encore plus vicelard, en plus petit nombre pour nous obliger à en prendre un paquet de plus et donc avoir du surplus… Dixit les requins de la distribution, juste pour lutter contre la démarque inconnue… La fauche quoi…
Riton, un jour il racontera à Charlotte une bien belle histoire inconnue des livres officiels… Il lui parlera d’individus ne produisant qu’en fonction des besoins définis. Rien à voir avec ces rapaces qui produisent des trucs inutiles avant de faire croire aux consommateurs qu’ils en ont besoin. Il lui parlera de prise au tas où chacun se sert librement quand le tas est suffisamment important sinon, ben… on rationne solidairement…
Un jour… Mais pour l’instant Riton lance un dernier sourire à Charlotte. Charlotte lance un dernier sourire au vieux monsieur si jeune. Elle le suit du regard jusqu’à la porte.
Riton passe à côté de la niche des vigiles, aboie histoire de les exciter un peu, hausse les épaules histoire de faire bouger le gros "A cerclé" rouge qui orne son perfecto… Passé l’âge de stresser à cause de foutus chiens de garde…
Faut dire que dans la "consororie" (les caisses étant le plus souvent défendues par des frangines, on va éviter de parler de "confrérie"…) des hôtesses de caisse, on rappelle souvent cette méchante embrouille arrivée à une collègue : 14 juin 2010, Martine, une caissière avec 16 ans d’ancienneté dans sa boite est retrouvée dans un état comateux dans les toilettes de son Carrefour de Moulins. Elle avait été convoquée l’après-midi même par sa hiérarchie pour avoir salué le lundi de Pentecôte une salariée entre la pointeuse et sa prise de service. Tentative de suicide aux anxiolytiques… Elle s’en est sortie et a planté Carrefour aux prudhommes.
Alors Charlotte, elle courbe l’échine sous l’œil de Big Brother. Elle accepte les horaires qu’on lui donne, les jours fériés à bosser sans se plaindre, les clients qui ne la voient pas, les apprentis Lupin qu’elle voudrait ne pas alpaguer s’il n’y avait pas ce foutu œil pendu au plafond [note] . Sans parler des vigiles…
Riton, ce soir, il a juste des croquettes pour le greffier et un pack d’Adelscott aussi l’appoint est là, dans le creux de sa main. Riton voudrait pousser le mastodonte qui traîne à vider ses tonnes d’achats sur le tapis roulant. Pas un regard du type pour Charlotte. Difficile de faire attention à une simple esclave quand on vient d’appeler un correspondant sur son smartphone et qu’on parle sans se soucier de l’entourage… Charlotte, transparente, finit de scanner l’ensemble des articles, prend la carte de fidélité tendue au jugé. La carte en main, Charlotte fait une légère grimace…
En septembre 2012, Adélaïde, jeune étudiante à Amiens gagne sa vie (qu’elle avait déjà), le samedi, dans une cage estampillée Auchan à Péronne (Somme). Sa mère est venue faire quelques menus achats, pas grand-chose, dans ce supermarché. Elle a utilisé alors la carte de fidélité de sa fille pour bénéficier d’un bon d’achat de 10% sur sa facture d’une trentaine d’euros, soit l’équivalent de trois euros, une fortune… Pas de chance, cette carte est normalement réservée aux salariés du magasin, donc à Adélaïde seule. Et vlan, licenciement pour faute grave.
Riton, lui il paie en espèces. Pas de carte de fidélité, pas de carte bancaire traçabilité limitée mais pas simple. Riton pose son appoint dans la main tendue de Charlotte. Impossible pour elle de rater la valse du code-barres pour le pack de bières…
Il manquait 5,32 euros dans la caisse. Vanessa, 37 ans, handicapée à 80 % par une sclérose en plaques, caissière au supermarché Carrefour Market de Mézières-sur-Seine (Yvelines) a reçu un courrier lui annonçant son licenciement pour faute grave. Motif : le 22 décembre 2015, peu avant 20 heures, fin de journée, fatigue associée à la prise de ses médicaments costauds, elle n’a pas scanné un pack de bière d’une valeur de 5,02 euros ainsi que deux sacs en plastique de 15 centimes chacun. Soit un total de 5,32 euros. Sa hiérarchie l’accuse d’avoir volontairement fraudé. Après une mise à pied d’un mois, elle est licenciée. Finalement pour éviter la mauvaise pub, la direction nationale de Carrefour, qui dit avoir appris l’affaire par la presse, « regrette cet incident et recherche des solutions »… La direction du magasin, après l’avoir quasiment traitée de voleuse, propose à Vanessa sa réintégration dans l’entreprise.
Charlotte sourit à Riton qui pourrait être son arrière-grand-père. Un jour peut-être, Riton lui parlera du commerce d’avant. Quand on entrait dans une boutique, qu’on allait jusqu’au comptoir pour demander au vendeur ou à la vendeuse le produit désiré. Rien de plus ou presque. Et puis les capitalos ont regardé du côté des USA… A Memphis, en 1916, apparaît le premier self-service avec des marchandises déjà emballées, vantées par la publicité, la réclame, à portée de main des clients. Tu rentrais dans cette nasse pour acheter une bricole et hop, tu avais toutes ces marchandises qui te faisaient de l’œil comme les sirènes tentant de draguer ce va-en-guerre d’Ulysse. Riton se rappelle de l’arrivée en 1948 de ces foutus temples de la tentation dans une France qui s’était mise au jazz, au chewing gum et à la consommation malgré les cartes de rationnement toujours en vigueur.
Riton ne se décide pas à quitter le sourire fatigué de Charlotte. Il temporise, fait semblant d’avoir oublié un truc. Facile avec tous ces trucs à portée de main. Des chewing gum… Pas simple avec ses fausses dents. Derrière lui, un minot fourre discrètement un lot de "pâte à mâcher" dans sa poche.
Riton se rappelle avant, quand on pouvait acheter au détail. Avec l’arrivée des libres services, bonjour les quinze couches de plastoc autour des trucs toujours vendus en plus grand nombre que souhaité. Ou alors, encore plus vicelard, en plus petit nombre pour nous obliger à en prendre un paquet de plus et donc avoir du surplus… Dixit les requins de la distribution, juste pour lutter contre la démarque inconnue… La fauche quoi…
Riton, un jour il racontera à Charlotte une bien belle histoire inconnue des livres officiels… Il lui parlera d’individus ne produisant qu’en fonction des besoins définis. Rien à voir avec ces rapaces qui produisent des trucs inutiles avant de faire croire aux consommateurs qu’ils en ont besoin. Il lui parlera de prise au tas où chacun se sert librement quand le tas est suffisamment important sinon, ben… on rationne solidairement…
Un jour… Mais pour l’instant Riton lance un dernier sourire à Charlotte. Charlotte lance un dernier sourire au vieux monsieur si jeune. Elle le suit du regard jusqu’à la porte.
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PAR : Bernard
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Les cahiers au feu, la ministre au milieu
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Le silence des anneaux
Juste quelqu’une de bien...
Pour tout bagage, il y a trente ans...
Le Pandraud de l’année
Début juillet à Publico
Debout les damnés Soulèvements de la Terre !
Mouettes, goélands vs "poulets"
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Ce n’est ni un poisson d’avril ni un lapin de Pâques.
Si ça vous chante encore
si ça vous chante...
ça devait arriver...
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Un peu partout, le 19, c’est dans la rue.
Retombées.
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à devenir foot !!!
la liberté de la presse agressée
8.000.000.000
L’Ardèche jumelée avec le Donbass ou quand les militaires jouent à la guerre…
Comme ça...
Faire rimer Bühler et Radio libertaire
Il pleut et c’est une sale journée
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ÉDITO DU ML N°1843
Where is Charly ( third of the name) ?
J’avais pas dit "Jaques a dit dehors" !
Cocoricons !!!
Le vrai visage du capitalisme
On a d’autres crèmes à fouetter !!!
Élève zélé
Ecrivains prolétaires de tous les pays…
Souffrance muette sur mer calme
T’ar taggeurs à la récraie !
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Juste parce que c’était bien
A quand le retour des gibets à Salem ?
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Ecce homo
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Au pays de la Bible et du fusil.
Lettre à Élise
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Sur mes cahiers de lycéenne, j’écris ton nom… Liberté
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Sur le voile qu’on m’oblige à porter, j’écris ton nom...
161
Machin Machine papier machine
Les Éditions libertaires au pays du soleil levant
Des jeunes... ou plutôt, déjeune avec Zemmour
Justice vraiment aveugle...
Eh bien mes Cauchon ! ...
Pan le piaf, t’es mort !
Texas, ton univers impitoyable.
On se réveille ?
ÉDITO DU ML N°1831
Le truc qu’il fallait éviter
Voilà enfin que...
Miracle
C’est le moment de garder une part de nostalgie
Soldat de dieu, sous ta soutane tu restes un travailleur !
Ne nous faisons pas prier...
Angélique Ionatos
Juste comme ça...
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Tout bénef pour Matzneff
Arrêtez les massacres !
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ÉDITO DU ML N°1827
Arrête ton char, Dassault !
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Ne se courber devant aucune autorité, si respectée qu’elle soit ; n’accepter aucun principe, tant qu’il n’est pas établi par la raison.
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Fusion ou confusion ?
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Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
propos de haine ordinaire
Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
La lumière contre l’obscurantisme
Encore une régression sociale !
jusqu’où ?
Avenir irradieux ?
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
Complètement barge
Acquittée !
état de terrorisme. La bourse aux alibis
Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
Terrorisme légal
Et le Valls a mis le temps...
No comment !
Méfiance
Un réfugié parmi tant d’autres : Le caricaturiste bielorusse Denis Lopatin.
Et une [MA]c[R]onnerie de plus !
Vox populi...
Notre père qui êtes odieux.
Goaaaaal !
Actualité brûlante
Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
La musique qui marche au pas...
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Choisis ton camp, camarade !
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
Terrorisme d’Etat
L’noisavé
Alors, rat... compte !
Révoltée !
C’est pour ton bien
Usine d’aliénés
Prédateur Social
Fourrière pour tous
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
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1 |
le 26 février 2016 17:50:57 par L'ami Stoufle |
Super!
2 |
le 13 mai 2016 13:35:45 par brice |
Cela fait déja longtemps que Carrefour surveille jusque ans les chiottes leurs salariés ! c’est absolument abominable ! Et je constate que la justice ne dit rien ! Honte à la justice !