C’est le moment de garder une part de nostalgie
Article extrait du Monde libertaire n°1829 de juin 2021
Une petite ville du sud de l’Ardèche, Les Vans. Nous sommes un 31 décembre, c’est un samedi matin, la poste est ouverte. Je pousse la porte et me trouve dans un bureau presque vide : de vivant, il y a un homme derrière son guichet ; de technologique, il y a une machine à affranchir. Si j’avais voulu un paquet de cigarettes je me serais adressé à un buraliste mais pour la lettre que je souhaitais expédier, j’allais logiquement au contact avec l’homme derrière son guichet, ce samedi 31 décembre.
Commence alors un dialogue à la Prévert :
- Désolé, mais le guichet est fermé…
- Alors qu’est-ce que vous faites là ?
- Le guichet est fermé mais la poste est ouverte…
- Et pour ma lettre ?
- Derrière vous, la machine à affranchir…
- Mais je ne sais pas m’en servir…
- Je vais vous montrer…
L’homme me rejoint à côté de l’appareil en question.
- Vous posez la lettre sur le plateau.
Je la lui tends – Allez-y !
Il s’exécute, joue avec l’écran tactile, me dit le montant à faire avaler au monnayeur.
- Je n’ai qu’un billet.
- Pas de problème, je vais vous faire de la monnaie.
Il s’exécute, va ouvrir la caisse du guichet fermé, me tend mon fric devenu digérable.
Je lui rends – Allez-y !
Il s’exécute, récupère la monnaie, me rend ce qu’il reste de mon billet et commence à repartir vers son guichet.
- Vous ne lui dites pas au revoir ?
- À qui ?
- À la machine qui va bientôt vous remplacer.
- …
- Ça ne vous dérange pas d’aider votre patron à supprimer votre emploi ?
- Bah, j’irai travailler dans l’usine qui fabrique ces machines…
Quel sens de la répartie ! Je l’ai laissé là, il est retourné derrière son guichet. J’aurais pu lui dire que ces foutues machines à affranchir concouraient à la fermeture de postes. Qu’un simple magasin qui en serait doté deviendrait agence postale et que pour toutes les questions que l’on posait d’habitude à des personnes bien vivantes, faudrait juste accepter Internet comme interlocuteur. Has-been les relations d’humain à humain.
Le gendarme et Internet (histoire également vécue)
Vous avez dû remarquer qu’il est de plus en plus difficile voire impossible de faire accepter un permis de conduire comme pièce d’identité… La même petite ville du sud de l’Ardèche, Les Vans, donc. Ayant eu dans le temps une carte nationale d’identité, pour en obtenir une nouvelle je dois passer par la case « gendarmerie » afin de déclarer la perte de la précédente. Rencontre en territoire ennemi…
Je sonne, un homme en bleu vient au portail.
- C’est pourquoi ?
- Pour déclarer la perte de ma carte d’identité.
- Vous l’avez perdue quand ?
- En 1994
- ??? (nous sommes en 2015)
- Je m’en suis passée jusqu’à maintenant…
- C’est plus nous qui nous en occupons, faut aller sur Internet. service-public.fr
Content de ne pas devoir m’éterniser en si bonne compagnie, je file chez moi, plonge sur mon ordi. Je tombe alors sur un formulaire à remplir en ligne où il m’est demandé : le numéro de la carte perdue, la date de son obtention et la personne me l’ayant délivrée… Mais possible d’imprimer un formulaire vierge, de le remplir et de l’envoyer en courrier papier. Je l’imprime…
Quelques jours plus tard, je fais un raid en territoire ennemi, coup de chance tombe sur le gus en bleu qui m’avait envoyé sur le net.
- Alors, c’est réglé votre problème de carte d’identité ?
- J’aimerais bien vous proposer de tester un truc…
Je lui tends le formulaire en lui demandant de le remplir comme si c’était pour lui. Arrivé à la question du numéro de la carte perdue, il plonge machinalement la main vers son portefeuille…
- Je vous rappelle que vous faites comme si vous l’aviez perdue …
- …
-Eh oui !
- Qu’ils sont cons !
J’aurais pu lui dire que le transfert d’un certain nombre de formalités administratives sur Internet enlevait aux gendarmerie leur rôle d’accueil des citoyens et donc provoquait la fermeture et le regroupement des gendarmeries. Mais, allez savoir pourquoi, cela n’avait pas du tout le même impact sur moi que pour les bureaux de poste…
La fonctionnaire et Internet (histoire tout autant vécue)
Je suis cette fois en Haut Gard, ville de Saint-Ambroix. Le fisc m’a rappelé que je lui devais du fric. Je vais donc à la perception. En dessus de la porte, une banderole « Non à la fermeture de la perception de Saint-Ambroix ». Je rentre, pas mal de monde avant moi. Je vois sur un présentoir une pétition « Non à la fermeture de la perception de Saint-Ambroix ». De la race des signeurs, je signe. Arrive mon tour, derrière le guichet une fonctionnaire du Trésor public.
- C’est pourquoi ?
Je lui tends un papier - Je viens payer ce truc.
- Faut le faire sur Internet.
- Je préfère avoir affaire à un humain.
- Y a une tolérance pour cette année mais l’année prochain faudra le faire sur impots.gouv.fr sinon vous aurez une pénalité.
- Et pour les personnes qui ne maîtrisent pas l’informatique.
- Ce n’est pas de mon ressort.
-Une minute s’il vous plaît.
Je file chercher la pétition, lui demande de barrer ma signature puisqu’elle trouve normale qu’on remplace les petites perceptions par Internet.
- Vous avez fini, y a des gens qui attendent…
Le fils du postier et les souvenirs (Histoire forcément vécue)
Fils de postier, je me souviens du standard téléphonique.
Lorsque l’abonné 16 voulait entrer en communication avec le 22, il actionnait une dynamo dans ce qu’on appelait un combiné téléphonique. La dynamo envoyait une décharge électrique dans le fil jusqu’au standard. Au standard, prévenue par une sonnerie, ma mère voyait que le volet en cuivre n°16 était tombé, elle correspondait avec l’abonné n°16 qui lui indiquait vouloir le 22. Ma mère commençait par discuter avec le 16 de la pluie, des enfants ou de la recette du farcement (plat traditionnel de la Vallée de l’Arve en Hte Savoie). S’il y avait lieu, elle renseignait le 16 sur un point quelconque. Après avoir pris congé, elle prenait la fiche mâle n°16 et la branchait dans la prise femelle n°22. La communication était établie et ma mère savait ce qu’elle allait préparer pour le repas du dimanche. Et si l’abonné 16 voulait communiquer avec un numéro hors secteur, ma mère plaçait la fiche mâle n°16 dans une fiche femelle « interurbain » qui avait pour effet d’appeler une collègue de la vallée, de discuter brièvement le temps de demander si, pour le farcement, il valait mieux prendre des poires sèches plutôt que des poires fraîches. « Bon, c’est pas tout… Tu me mets en communication avec le 22 à Asnières ? Merci. »
Et c’est ainsi que de branchement en branchement, de discussion en discussion, suite à une chaîne humaine, il était possible de communiquer.
Lorsque des usagers des PTT n’avaient pas de téléphone, il était possible de les joindre par télégramme.
Là aussi, une chaîne humaine se mettait en action, convoyant le message jusqu’à son destinataire. Le dernier maillon était le porteur qui s’invitait alors chez les gens avec la précieuse missive à la main. « Merci petit – tendant un pourboire – tu veux un morceau de farcement ? »
L’arrivée des téléphones portables a signé l’arrêt de mort des télégrammes. Orange, qui en avait la gestion depuis 2013, a arrêté son service de télégramme le 30 avril 2018.
Ne crachons pas sur le progrès mais ne faut-il pas déplorer que ce progrès s’accompagne souvent de « regrès » pour les rapports humains ? A nous de gripper la machine en privilégiant l’humain à la technologie. Retournons dans les bureaux, assiégeons les guichets avant leur disparition. On peut faire une exception pour les gendarmeries…
Bernard P.
Groupe d’Aubenas
Groupe d’Aubenas
Une porte qui doit s’ouvrir
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Une bonne pub pour l’abstention
Au revoir Madame Catherine Ribeiro
L’ajustice chronique
Le silence des anneaux
Juste quelqu’une de bien...
Pour tout bagage, il y a trente ans...
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Début juillet à Publico
Debout les damnés Soulèvements de la Terre !
Mouettes, goélands vs "poulets"
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Si c’est lui qui le dit...
un repas qui coûte une fortune
Ce gag vous est offert par la police
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Ah, ces article définis (dé)contractés !...
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ÉDITO DU ML N°1849
Ce n’est ni un poisson d’avril ni un lapin de Pâques.
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si ça vous chante...
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ÉDITO DU ML N°1847
Un peu partout, le 19, c’est dans la rue.
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Edito du Monde libertaire n° 1845 de décembre 2022
ÉDITO DU ML N°1845
à devenir foot !!!
la liberté de la presse agressée
8.000.000.000
L’Ardèche jumelée avec le Donbass ou quand les militaires jouent à la guerre…
Comme ça...
Faire rimer Bühler et Radio libertaire
Il pleut et c’est une sale journée
ÉDITO DU ML N°1844
ÉDITO DU ML N°1843
Where is Charly ( third of the name) ?
J’avais pas dit "Jaques a dit dehors" !
Cocoricons !!!
Le vrai visage du capitalisme
On a d’autres crèmes à fouetter !!!
Élève zélé
Ecrivains prolétaires de tous les pays…
Souffrance muette sur mer calme
T’ar taggeurs à la récraie !
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A quand le retour des gibets à Salem ?
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Ecce homo
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Constat
Au pays de la Bible et du fusil.
Lettre à Élise
Souvenir... du présent
ÉDITO DU ML N°1837
Multirécidivistes
ÉDITO DU ML N°1834
Sur mes cahiers de lycéenne, j’écris ton nom… Liberté
A la dérive...
Sur le voile qu’on m’oblige à porter, j’écris ton nom...
161
Machin Machine papier machine
Les Éditions libertaires au pays du soleil levant
Des jeunes... ou plutôt, déjeune avec Zemmour
Justice vraiment aveugle...
Eh bien mes Cauchon ! ...
Pan le piaf, t’es mort !
Texas, ton univers impitoyable.
On se réveille ?
ÉDITO DU ML N°1831
Le truc qu’il fallait éviter
Voilà enfin que...
Miracle
Soldat de dieu, sous ta soutane tu restes un travailleur !
Ne nous faisons pas prier...
Angélique Ionatos
Juste comme ça...
ÉDITO DU ML N°1829
Tout bénef pour Matzneff
Arrêtez les massacres !
Le Monde et l’immonde...
Désaccord d’Evian
ÉDITO DU ML N°1827
Arrête ton char, Dassault !
Le 17
Ne se courber devant aucune autorité, si respectée qu’elle soit ; n’accepter aucun principe, tant qu’il n’est pas établi par la raison.
ça me fout le cafard
Des larmes de sang
Basta Giscard !
Con fini vs confinés
Je ne me donnerai pas la peine de pleurer, je ne me donnerai pas la peine d’avoir peur....
L’Aube a perdu sa dorure...
Rude Nouvelle : David Graeber...
Camarde versus camarade
Inspecteur Labavure...
My dealer is rich…
Des nouvelles du Rojava
Nomination
En pensant à Rajsfus
un 18 juin peut en cacher un autre...
13 juin.
Pollution
Chair à virus !
Copinage éphémère
Cause toujours !...
Pas de chance pour les Pieds Nickelés
Pour "Délation" composez le 17...
Meutre à Béziers
Toussez avec la Poste
c’est la guerre !
Fusion ou confusion ?
Obrigado ?
Au pays de Mickey et Donald
"Contingent rebelle". Rencontre débat à Alès (30)
Les migrants, pions d’un vieux conflit de voisinage
Chadri Sdiri
Surement un sabotage du grand complot !!!
Un ennemi public arrêté cette nuit
... mais il faut que tu t’en ailles
L’amer de glace
La honte !
Pour "les mettre à l’abri" ?
Michelin se dégonfle
Gonflés les gus
Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
propos de haine ordinaire
Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
La lumière contre l’obscurantisme
Encore une régression sociale !
jusqu’où ?
Avenir irradieux ?
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
Complètement barge
Acquittée !
état de terrorisme. La bourse aux alibis
Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
Terrorisme légal
Et le Valls a mis le temps...
No comment !
Méfiance
Un réfugié parmi tant d’autres : Le caricaturiste bielorusse Denis Lopatin.
Et une [MA]c[R]onnerie de plus !
Vox populi...
Notre père qui êtes odieux.
Goaaaaal !
Actualité brûlante
Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
La musique qui marche au pas...
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Choisis ton camp, camarade !
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
Terrorisme d’Etat
L’noisavé
Alors, rat... compte !
Révoltée !
C’est pour ton bien
Usine d’aliénés
Prédateur Social
Fourrière pour tous
Maudits codes-barres
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
1 |
le 9 août 2021 14:27:49 par Luisa |
Merci beaucoup pour ces confidences/témoignages qui me parlent terriblement ! J’en profite pour t’en raconter une vécue aussi il y a plusieurs décennies. Des amis à mes parents racontaient qu’après avoir composé leur numéro, une voix de femme très aimable disait « le numéro que vous avez demandé n’est plus attribué, veuillez consulter l’annuaire ou votre nouvelle documentation » alors, Paulette ( elle s’appelait Paulette ) mît sa main sur le combiné pour dire en chuchotant à Marius ( il s’appelait comme ça ) qui lui disait « bah alors t’en mets du temps ! » Et Paulette de remercier en boucle la dame très polie - « mais elle n’arrête pas de dire la même chose et je n’ose pas lui raccrocher au nez tellement elle est aimable ! »
Quand ils ont appris la prouesse technologique, ils avaient presque …. honte !!