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par Evelyne Trân le 31 mai 2020

7e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER

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avec Jérémie Jeandidier et le concours de Fabien Roland et Evelyne Trân.

Le public qui aime la chanson repère le Cithéa comme étant le grand petit lieu de la chanson comme il y en a plus beaucoup, comme il y en a plus du tout. Pendant 6 ans je vais y rester en produisant un spectacle tous les mois. C’est beaucoup de travail mais je suis bien appuyé par le milieu libertaire.
Quand le Cithéa démarre, parallèlement, il y a un gros projet qui se prépare :
Le Théâtre Libertaire de Paris : le théâtre Dejazet.

C’est Hervé Trinquier et Joël Jacky Julien, alors eux c’est vraiment des copains de la Fédération anarchiste. Hervé Trinquier qui anime le groupe Fresnes Antony et Julien qui est un individuel.
Ils s’installent dans ce vieux théâtre qui date de l’époque du boulevard du crime à Paris, fin 19ème siècle.
C’est un théâtre très connu, populaire, c’est un théâtre de 700 places, un théâtre à l’italienne avec deux balcons. Un bon vieux théâtre. Je ne dirai pas qu’il est décrépi, parce qu’il n’est pas décrépi. Mais au fil des ans, ça n’a plus été un théâtre, c’est devenu un cinéma. Ils ont fait du cinéma, comme ça un peu n’importe quoi comme ça se faisait à l’époque : du kung-fu, même du porno. Ils passaient de tout là-dedans.
Quand ils reprennent ce théâtre, ils réunissent une vingtaine de copains de la Fédération anarchiste qui sont intéressés par le côté culturel pour avoir des coups de mains.

Il faut vraiment qu’ils en refassent un music-hall, ce n’est plus un music-hall. Il n’y a plus de fauteuils, faut refaire les fauteuils, faut refaire la scène. Il n’y a plus de sono, il n’y a pas d’éclairage. Il faut tout refaire.
C’est un projet privé. On a toujours pensé que le Théâtre Libertaire de Paris est le théâtre de la Fédération anarchiste.
Non ! Il est créé par deux militants de la Fédération anarchiste et il a un statut de théâtre privé.
Par contre, il est très proche du milieu libertaire. Ce théâtre sera à la disposition du mouvement libertaire pour y faire des galas quand ils en auront besoin gratuitement.

Moi, j’assiste à tout ça. Pendant 6 mois, les travaux sont effectués pour la plupart par des copains. Ceux qui savent monter un fauteuil, ceux qui savent s’occuper des éclairages. Il y a beaucoup de travail à faire. Y a 6 mois de travaux.
Le Théâtre Libertaire de Paris est inauguré. A l’époque où je commence le Cithéa, y’a le théâtre Dejazet qui s’installe.

Je vais les aider autant que je peux car je travaille.
Et Hervé Trinquier qui connaît mon goût pour la chanson me demandera de m’occuper de l’accès des loges chaque fois que je serai là. J’irai voir presque tous les spectacles. J’y emmène aussi mon petit garçon qui peut fréquenter la loge de Léo Ferré.
Il est très discret. Il se met dans un petit coin. Ça, ça lui plait. Le Théâtre Libertaire de Paris, 700 places, un beau théâtre ! En plus dans ce théâtre, va se créer une pièce qui s’appelle “La petite boutique des horreurs”. La version française, c’est la célèbre pièce américaine qui va se créer là et se jouer pendant un mois. Je vais emmener mon petit garçon voir le spectacle avec la fille de Marie-Josée Vilar.




“La petite boutique des horreurs”, formidable succès en Amérique qui a été créé en France au théâtre.
Après il y aura une version cinématographique qui ne sera pas une véritable réussite. Mais au théâtre, ça sera une vraie réussite et ça se passe au Théâtre Libertaire de Paris Dejazet pendant un mois.
C’est une pièce d’horreur pour les enfants, c’est vraiment spécial. J’ai souvenir, j’emmène mon fils Cédric et la fille de Marie-Josée Vilar dont je vais parler ensuite, qui se prénomme Bulle.
Bulle et Cédric ont envie d’aller voir cette pièce. Je suis avec eux. Ils sont terrifiés tous les deux pendant la pièce.
Mais ça leur plait. Ils sont tous les deux tremblants jusqu’à la fin. Ils ne savent pas ce qui va se passer à la fin de la pièce.
Le Théâtre Libertaire de Paris est un théâtre à l’italienne à deux étages avec un plafond qui est quand même assez haut.
Juste à la fin de la pièce, quand elle se termine, du plafond du théâtre descendent dans tout le théâtre des lianes. Le public, on est tous dans les lianes. Et les enfants qui étaient déjà terrorisés… C’est pour ça que Bulle qui a aujourd’hui 40 ans se rappelle très bien “La petite boutique des horreurs”.
Le Théâtre Libertaire de Paris pendant 6 ans va être un théâtre. C’est un théâtre qui fonctionnait tous les jours et c’était surtout la chanson.
L’inauguration a lieu avec deux soirées avec Léo Ferré. On va faire archi complet le soir. Il faut que le lieu achète un piano. On demande à Léo ce qu’il souhaite comme piano. C’est Paul Castagnier qui à l’époque est son pianiste.



On l’appelle Popaul, il est aveugle. C’est Popaul qui va choisir le piano. Le théâtre l’achète mais c’est Popaul qui le choisit.
Ce piano va devenir une légende. On est en 1986, aujourd’hui en 2020, ce piano a servi pendant 6 ans au théâtre libertaire de Paris. Et depuis la création du forum Léo Ferré, dont on parlera plus tard, il est au forum Léo Ferré.
La légende dit que c’est le piano à Léo Ferré. Dans les légendes, il y a tout le temps une partie de vérité.
Mais la légende, c’est la légende. Ce n’est pas le piano de Léo Ferré.
C’est le piano du théâtre libertaire de Paris et plus particulièrement de son directeur Hervé Trinquier qui l’a acheté à titre personnel. Mais effectivement, on a demandé à Léo de choisir et il a choisi par l’intermédiaire de son pianiste.
Pendant les 6 années, qu’il passait chaque année au TLP, au début il était avec son pianiste. Après, il n’avait plus de pianiste, c’est lui qui jouait. En quelque sorte, c’est devenu le piano à Léo. Mais la légende dit que c’est son piano, ce n’est pas tout à fait vrai. Mais il y a une part de vérité.

Quand j’organise des spectacles au Cithéa, je suis connu pour être l’un des partenaires de la Fédération anarchiste pour les galas de la région parisienne, ça va me permettre d’organiser des spectacles dans ce théâtre quand je le souhaite.
Je le ferai une à deux fois par an. Je ne louais pas le théâtre, j’étais en coréalisation avec lui. On se partageait la recette. Mais c’était entendu que c’était moi qui amenais le projet et c’est moi qui devais le porter.

Le théâtre m’aidait, car le théâtre avait rapidement une notoriété assez importante. C’était plus facile de jouer là qu’ailleurs et puis mettre en circuit. Mais il ne faisait pas un effort. C’était à moi de le faire, il fallait que je persuade Hervé Trinquier le directeur du théâtre qu’on allait faire une recette acceptable, lui permettant au moins d’amortir les frais.
Ce théâtre de 700 places, il avait été remis en marche en grande partie grâce au bénévolat, pas entièrement mais en grande partie grâce au bénévolat. Mais un théâtre de 700 places ouvert tous les jours ne peut pas tourner uniquement avec du bénévolat.
Il y avait des salariés. Chaque jour, le matin, il fallait qu’il y ait 10 000 francs dans la caisse pour payer les frais du théâtre.
Il y avait la location du bail. Il fallait ça. Quand on faisait les spectacles, le minimum c’était de faire une recette. Et même ça, ce n’était pas assez. Il fallait persuader le directeur du théâtre. Moi, je lui proposais des projets au début pour Marie-Josée Vilar. Il l’aimait bien, mais il n’était pas persuadé qu’elle ferait une recette suffisante.
Il y a eu un film entier qui lui a été consacré sur Arte : “Hervé Trinquier au théâtre libertaire de Paris”.
Quand il parlait de moi : “Patrick Kipper, quand il rentrait dans mon bureau quand il me présentait un projet, des fois je lui disais non. Je le raccompagnais à la porte de mon bureau. On avait des rapports entre militants. Il était très courtois. Il partait, je retournais à mon bureau. Le problème, c’est qu’il était déjà rentré par la fenêtre. Il m’attendait de nouveau assis à la table pour recommencer la discussion, toujours aussi courtois. J’avais du mal à m’en débarrasser.”
Il ne m’a jamais refusé de spectacle. Sauf une fois.
Les spectacles que je produisais, j’en faisais un ou deux. Je les ai tous réussis au niveau financier.
Par contre, quelquefois, je lui ai proposé des premières parties qu’il me demandait, notamment pour Léo Ferré.
Il me demande pour Léo Ferré une première partie féminine.
Je lui propose Marie-Josée Vilar. Je vais être vaincu. Il ne va pas vouloir. Je ne vais pas réussir à le décider




Ce qui va fâcher ma chanteuse après moi. Parce que je n’ai pas été capable de le décider. Il pense que son public ne va pas l’apprécier.
Il a tort à mon avis. Mais voilà, c’est le patron. C’est un autre choix qu’il a fait qui est Véronique Pestel.




C’est moi aussi qui lui ai proposé. C’était pas le premier choix. C’est la seule fois qu’il m’a refusé quelque chose pendant les six ans du théâtre libertaire de Paris.

Je continue à travailler chez l’Oréal. Il y a le Cithéa tous les mois et puis y’a Radio Libertaire qui a commencé en 1981.
Je suis parmi les militants de la Fédération anarchiste qui créent la radio. Mais au début je n’y participe pas.
J’y participe en tant que militant simplement. A partir de 1986, je vais coanimer une émission sur la chanson avec Nicolas Choquet qui lui - on est en 2020 - est toujours à l’antenne 35 ans après.
Le jeune prof de maths qui est toujours prof de maths, aujourd’hui il a un peu passé la cinquantaine.
Nicolas Choquet avec qui Rachel Sonalm a fait de nombreuses émissions. Je l’ai emmenée une bonne douzaine de fois.




Lui il est à l’antenne tous les samedis depuis 35 ans, faut le faire quand même. Surtout qu’il assure la technique et l’animation de l’émission. Il est aux manettes et il interviewe.
Au début, l’émission faisait 3 heures, depuis quelques années, elle fait une heure 30.
Maintenant, il fait la technique aussi sur l’émission qui arrive après, une semaine c’est sur le polar, l’autre semaine sur la bande dessinée. C’est lui après qui est aux manettes techniques et qui fait l’illustration sonore des émissions. 35 ans, faut le faire !
Donc y’a Radio Libertaire, je coanime.
Ça fait beaucoup de choses. Moi ça va extrêmement m’occuper.
Ces 5 ans qui terminent les années 80, c’est hyper chargé. Ça va être le début pour moi de 20 années d’hyper activité.








PAR : Evelyne Trân
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